samedi 31 octobre 2015
vendredi 30 octobre 2015
LE VILLAGE MINIATURE DE SYLVAINE ET LIONEL PERRIAULT A CUTTOLI-CORTICCHIATO
Lionel Périault,
originaire de Rennes, a trouvé refuge en Corse du Sud. Happé par la
beauté du « pays » et celle de Sylvaine, il a réalisé sa Bretagne sur
les coteaux du Cuttoli, village proche d'Ajaccio.
L'histoire
Pas de chance et peu de références familiales pour Lionel Périault, qui très jeune, se retrouve à l'assistance publique. Un animateur bienveillant fait entrer l'adolescent à l'école des mousses de Saint-Malo pour devenir terre-neuvas. Lors d'une campagne de pêche, un accident aura raison du jeune avenir de Lionel. « Une sale journée pour moi ! »
Gardien de phare à Sartène
Volontaire, Lionel retrouve du travail comme marin pêcheur à Saint-Servan, village proche de la cité corsaire. « J'avais 19 ans, et je commençais à me construire une vie comme tout le monde ».
Un peu d'argent en poche, le jeune Rennais part en vacances en Corse. Mais ses économies ne lui suffiront pas pour retourner en Bretagne. « Alors j'ai fait des petits boulots pour subvenir à mes besoins », se souvient Lionel. Un jour qu'il taquinait la sardine dans le port d'Ajaccio, une jeunette passe dans son dos : « Que fais tu là ? » « J'attends de voir la marée ! » La jeune fille pouffe de rire. « Tu vas l'attendre longtemps ! » Une longue et belle histoire venait de débuter entre Sylvaine
la Corse et Lionel le Breton.
Bien accueilli sur ses nouvelles terres, Lionel poursuivra son activité professionnelle comme gardien de phare à Sartène, au-dessus d'Ajaccio.
Dans la maison que le couple fait construire sur les coteaux de Cuttoli, une idée de décoration des extérieurs passe par la tête de Lionel et Sylvaine. « Pourquoi ne pas construire un village où des maisons bretonnes et corses se côtoieraient ? »
Ouvert au public
Depuis plus de douze ans, Sylvaine l'architecte et Lionel l'entrepreneur, sculptent la pente de leur jardin. Des maisons aux toits de pierres ou d'ardoises, des églises, châteaux, des commerces poussent comme des champignons sur le coteau brûlé par le soleil.
« Nos matières premières pour les réalisations viennent de Bretagne ou de Corse. Tous les ans, nous partons nous ressourcer à Saint-Malo et nous rapportons, dans notre camping-car, des morceaux de moellons et d'ardoises qui rentrent ensuite dans nos constructions, raconte Lionel Périault. 400 monuments sont déjà accrochés sur la pente de la villa. Pour asseoir nos réalisations, nous avons déjà utilisé 46 tonnes de sable et de ciment et autant de gros rochers. »
Pour animer le tout, Lionel a conçu, grâce à des moteurs de micro-ondes, plusieurs automates. « Nous sommes des autodidactes et on qualifie notre travail de naïf. Ça nous va bien ! On fait ce qui nous plaît, et depuis six ans maintenant, nous ouvrons au public. Les réactions sont toujours positives et encourageantes. Nous allons continuer pour marquer encore plus fort cette alliance breton-corse. Et kénavo à la Bretagne ! », termine Lionel Périault qui, en plus de ses petites maisons, s'est lancé dans la sculpture.
PHILIPPE BRIEND pour OUEST FRANCE
FRANCE DIMANCHE DU 5 JUIN 2012
Et LIONEL est aussi sculpteur ....
LE BLOG DE LIONEL
LE LIEN VERS FRANCE DIMANCHE
RETROUVEZ LIONEL SUR FACEBOOK
LE LIEN VERS OUEST FRANCE
UNE VIDEO
(cliquer sur les liens)
LE VILLAGE MINIATURE SERA FERME JUSQU'AU 1ER JUIN 2016 .
LIONEL SERA EN EFFET EN FRANCE ET A L'ETRANGER POUR FAIRE DES CONCOURS ET DES EXPOSITIONS DE SCULPTURES.
L'histoire
Pas de chance et peu de références familiales pour Lionel Périault, qui très jeune, se retrouve à l'assistance publique. Un animateur bienveillant fait entrer l'adolescent à l'école des mousses de Saint-Malo pour devenir terre-neuvas. Lors d'une campagne de pêche, un accident aura raison du jeune avenir de Lionel. « Une sale journée pour moi ! »
Gardien de phare à Sartène
Volontaire, Lionel retrouve du travail comme marin pêcheur à Saint-Servan, village proche de la cité corsaire. « J'avais 19 ans, et je commençais à me construire une vie comme tout le monde ».
Un peu d'argent en poche, le jeune Rennais part en vacances en Corse. Mais ses économies ne lui suffiront pas pour retourner en Bretagne. « Alors j'ai fait des petits boulots pour subvenir à mes besoins », se souvient Lionel. Un jour qu'il taquinait la sardine dans le port d'Ajaccio, une jeunette passe dans son dos : « Que fais tu là ? » « J'attends de voir la marée ! » La jeune fille pouffe de rire. « Tu vas l'attendre longtemps ! » Une longue et belle histoire venait de débuter entre Sylvaine
la Corse et Lionel le Breton.
Bien accueilli sur ses nouvelles terres, Lionel poursuivra son activité professionnelle comme gardien de phare à Sartène, au-dessus d'Ajaccio.
Dans la maison que le couple fait construire sur les coteaux de Cuttoli, une idée de décoration des extérieurs passe par la tête de Lionel et Sylvaine. « Pourquoi ne pas construire un village où des maisons bretonnes et corses se côtoieraient ? »
Ouvert au public
Depuis plus de douze ans, Sylvaine l'architecte et Lionel l'entrepreneur, sculptent la pente de leur jardin. Des maisons aux toits de pierres ou d'ardoises, des églises, châteaux, des commerces poussent comme des champignons sur le coteau brûlé par le soleil.
« Nos matières premières pour les réalisations viennent de Bretagne ou de Corse. Tous les ans, nous partons nous ressourcer à Saint-Malo et nous rapportons, dans notre camping-car, des morceaux de moellons et d'ardoises qui rentrent ensuite dans nos constructions, raconte Lionel Périault. 400 monuments sont déjà accrochés sur la pente de la villa. Pour asseoir nos réalisations, nous avons déjà utilisé 46 tonnes de sable et de ciment et autant de gros rochers. »
Pour animer le tout, Lionel a conçu, grâce à des moteurs de micro-ondes, plusieurs automates. « Nous sommes des autodidactes et on qualifie notre travail de naïf. Ça nous va bien ! On fait ce qui nous plaît, et depuis six ans maintenant, nous ouvrons au public. Les réactions sont toujours positives et encourageantes. Nous allons continuer pour marquer encore plus fort cette alliance breton-corse. Et kénavo à la Bretagne ! », termine Lionel Périault qui, en plus de ses petites maisons, s'est lancé dans la sculpture.
PHILIPPE BRIEND pour OUEST FRANCE
" Laissez-vous transporter dans un
monde de rêve. Depuis onze ans, Lionel et Sylvaine, deux retraités
passionnés d’art plastique, sculptent, peignent et créent de nombreux
objets. Ils ont construit un village miniature dans un jardin à quelques
minutes d’Ajaccio à tel point qu’aujourd’hui, ce village compte plus de
400 constructions. Ils ont réalisé un musée à ciel ouvert !
« Tout a commencé par hasard. On avait
des arbres mimosas dans notre jardin, seulement mon épouse Sylvaine
étant allergique, j’ai dû les couper. Ma femme m’a alors demandé de
construire des petites maisons miniatures pour combler le vide et très
vite il y en a eu une, puis deux, puis trois… Sylvaine dessinait les
constructions des villages corse et breton et d’autres nés de nos
imaginations, et moi et je les réalisais.
Il a fallu 44 tonnes de sable et de
ciment, autant de gros rochers, 3 tonnes de pierre de rivière pour
édifier ce village d’une longueur de 70 mètres et de 10 mètres de
hauteur. 400 édifices ont été réalisés : phares, maisons, moulins,
bergeries, ponts, château médiéval, îles sanguinaires, scènes diverses,
un village de la Haute-Corse, un de la Corse du Sud, un autre provençal,
un village breton avec son port et ses chalutiers… Vient s’ajouter un
village d’automates avec les métiers d’autrefois, des poupées chinées
dans les brocantes que l’on anime avec des moteurs de micro-ondes.
Le village miniature ne nous suffisait
plus, alors on s’est lancé dans des sculptures et des grandes fresques
en mosaïque grâce à un magasin de carrelage qui nous donne ses invendus.
Nous avons alors rajouté un panier en pierre et béton avec des fleurs
en ciment d’une hauteur de 2,50 m et de 2 tonnes, une tour Eiffel en
mosaïque de 2 tonnes et de 4 mètres de haut, une princesse des mers
Moana haute de 2,50 m, 1,5 tonne et faite avec 1500 coquillages, une
statue de sirène, un hippocampe et plusieurs autres fresques…
Nous sommes vraiment des passionnés des
arts plastiques et nous avons installé une salle d’exposition avec nos
créations et les visiteurs sont fascinés par le côté insolite de nos
œuvres »" .FRANCE DIMANCHE DU 5 JUIN 2012
Et LIONEL est aussi sculpteur ....
Musée du
village miniature
Lieu dit
giacherellu plaine de cuttoli
20167 cuttoli-corticchiato
Tel
04 95 25 18 60
LE BLOG DE LIONEL
LE LIEN VERS FRANCE DIMANCHE
RETROUVEZ LIONEL SUR FACEBOOK
LE LIEN VERS OUEST FRANCE
UNE VIDEO
(cliquer sur les liens)
LE VILLAGE MINIATURE SERA FERME JUSQU'AU 1ER JUIN 2016 .
LIONEL SERA EN EFFET EN FRANCE ET A L'ETRANGER POUR FAIRE DES CONCOURS ET DES EXPOSITIONS DE SCULPTURES.
jeudi 29 octobre 2015
LA VILLA MON DESIR A SOTTEVILLE LES ROUEN
Aout 2015 ...
Rencontre avec M. et Mme Crépin les actuels propriétaires de la " VILLA MON DÉSIR .
Ils ont gardé en état les mosaïques,les fresques murales, la façade, le puits ....
"Nous sommes bien au numéro 13 mais de la rue de la Nation.
L'édifice sur ses façades apparentes est recouvert et paré de fresques et médaillons en mosaïque.
Au milieu du petit jardinet délimité par des allées et plusieurs plate-bande dont celle centrale se situe le puits. Latéralement à la propriété un appentis se trouve lui aussi paré de fresques en mosaïque de vaisselle cassée.
En bordure de propriété, côté rue, des bas reliefs ornent les petits murets que surplombent un grillage.
Après avoir fait plus ample connaissance, après que M. Crépin ait découvert mes intentions, Michel Crépin m'autorise à prendre des photos des motifs de sa maison et de sa propriété ornée de fresques en mosaïque.
M. Crépin m'explique qu'il a fait l'acquisition de cette propriété en 1972.
Il a connu l'ancien propriétaire à qui il a acheté cette maison et son décor dont les initiales sont inscrites dans un des motifs: "M.D" signées en 1936. Cette datation attise une fois de plus ma curiosité car dans l'ouvrage de Pascal Lemaire il est question de bombardements de la seconde guerre mondiale qui ont frappé Sotteville-lès-Rouen.
Cette maison existait et a survécu au bombardements qui ont détruits quasiment cette cité de la rive-gauche de la Seine normande.
Monsieur Crépin affine ses dires et revient sur sa mémoire des faits de cette époque ainsi il se remémore que cette maison a été édifiée avant les bombardements (datation 1936). Les matériaux et les morceaux de vaisselle proviennent en partie des anciennes carrières souterraines de Sotteville-lès-Rouen implantées jadis à proximité de l'établissement scolaire voisin et qui d'après les archives départementales ont bien existé."
UN LIEN
(cliquer sur le lien)
Rencontre avec M. et Mme Crépin les actuels propriétaires de la " VILLA MON DÉSIR .
Ils ont gardé en état les mosaïques,les fresques murales, la façade, le puits ....
"Nous sommes bien au numéro 13 mais de la rue de la Nation.
L'édifice sur ses façades apparentes est recouvert et paré de fresques et médaillons en mosaïque.
Au milieu du petit jardinet délimité par des allées et plusieurs plate-bande dont celle centrale se situe le puits. Latéralement à la propriété un appentis se trouve lui aussi paré de fresques en mosaïque de vaisselle cassée.
En bordure de propriété, côté rue, des bas reliefs ornent les petits murets que surplombent un grillage.
Après avoir fait plus ample connaissance, après que M. Crépin ait découvert mes intentions, Michel Crépin m'autorise à prendre des photos des motifs de sa maison et de sa propriété ornée de fresques en mosaïque.
M. Crépin m'explique qu'il a fait l'acquisition de cette propriété en 1972.
Il a connu l'ancien propriétaire à qui il a acheté cette maison et son décor dont les initiales sont inscrites dans un des motifs: "M.D" signées en 1936. Cette datation attise une fois de plus ma curiosité car dans l'ouvrage de Pascal Lemaire il est question de bombardements de la seconde guerre mondiale qui ont frappé Sotteville-lès-Rouen.
Cette maison existait et a survécu au bombardements qui ont détruits quasiment cette cité de la rive-gauche de la Seine normande.
Monsieur Crépin affine ses dires et revient sur sa mémoire des faits de cette époque ainsi il se remémore que cette maison a été édifiée avant les bombardements (datation 1936). Les matériaux et les morceaux de vaisselle proviennent en partie des anciennes carrières souterraines de Sotteville-lès-Rouen implantées jadis à proximité de l'établissement scolaire voisin et qui d'après les archives départementales ont bien existé."
UN LIEN
(cliquer sur le lien)
mercredi 28 octobre 2015
MICHEL POZZETTO ... QUELQUES OEUVRES
" Moi le chevalier oublié, jeté ... et récupéré ... je viens aujourd'hui voir la plus belle des conquêtes, "Le Cheval ... qui danse" .
Ces photos sont issues du catalogue réalisé sur MICHEL POZZETTO et sont publiées avec
l'autorisation de ANDIDOTE SOLUTIONS GRAPHIQUES.
LES GRIGRIS DE SOPHIE ET MICHEL POZZETTO
(cliquer sur le lien)
MICHEL POZZETTO
Mas chamblé
13550 PALLUDS DE NOVES