tag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post3298462022991836403..comments2024-03-28T11:31:10.797+01:00Comments on LES GRIGRIS DE SOPHIE: PEUT ON ENCORE SAUVER LA MAISON DE BODAN LITNIANSKI ?Sophiehttp://www.blogger.com/profile/14484635101445676573noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post-34335055904546990362013-05-01T23:39:49.188+02:002013-05-01T23:39:49.188+02:009 Jean-Marc Huygen, op. cit., p. 12.
10 À partir ...<br /><br />9 Jean-Marc Huygen, op. cit., p. 12.<br /><br />10 À partir de 1923 environ, Schwitters se dédie intensément à la construction du Merzbau. Il sera obligé de le recommencer trois fois : d’abord à Hanovre, puis en 1937 pendant l’exil norvégien, et en 1947, au cours de l'exil en Angleterre. Le Merzbau de Hanovre a été détruit en 1943 pendant un bombardement aérien des forces alliées. En 1951, la construction norvégienne a été la victime d'un incendie. Il ne reste que la construction anglaise, mais elle est restée parcellaire, car Schwitters est mort alors qu’il y travaillait.<br /><br />11 Kurt Schwitters, (manifestes théoriques & poétiques), Paris, Ivréa, 1994, p. 19.<br /><br />12 Ibid.<br /><br />13Cf. Andrea Oppenheimer Dean et Timothy Hursley, Rural Studio – Samuel Mockbee and an Architecture of Decency, Princeton Architectural Press, 2002 ; Andrea Oppenheimer Dean et Timothy Hursley, Proceed and Be Bold: Rural Studio After Samuel Mockbee, Princeton Architectural Press, 2005 ; Samuel Mockbee, David Moos, Gail Trenchsel, Samuel Mockbee and the Rural Studio: Community Architecture, Birmingham Museum of Art, 2005. Cf. aussi le site officiel de Rural Studio http://www.cadc.auburn.edu/rural-studio/<br /><br />14 Pour une bibliographie exhaustive sur Bodan Litnianski, cf. Bruno Montpied, « Bodan Litnianski : un palais de ruines prolétaires » in Id., Eloge des jardins anarchiques, L’Insomniac, Paris, 2011, p. 140-154. Accompagné d’un film documentaire de Remy Ricordeau, Bricoleurs de Paradis, cet ouvrage rassemble des nombreux textes théoriques, des petites bibliographies et un riche répertoire iconographique daté 2010 sur des créateurs autodidactes ayant décoré leur jardin, notamment dans la France septentrionale.<br /><br />15 Agnès Varda, Les glaneurs et la glaneuse. Film documentaire, Ratings : Kids+16, France, 2000, Couleurs, 82 min. Cast : Bodan Litnanski, Agnès Varda, François Wertheimer.<br /><br />16 Denys Riout, « Pas si bête que mal habillé », in Le jardin des merveilles de Bodan Litnianski, (préface d’Agnès Varda), Amiens, éditions Vivement Dimanche, 2004. L’auteur se fait ici l’écho de Yona Friedman, architecte contestataire parmi les plus enflammés et influents de l’époque contemporaine. Cf. Yona Friedman, Utopies réalisables, Paris, 10/18, 1975 et Id., Une utopie réalisée, catalogue ARC/Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 1975.<br /><br />17 « Habitants paysagistes », c’est le nom donné par Bernard Lassus aux créateurs de jardins imagés et oniriques au hasard des banlieues ou des campagnes, des autodidactes appartenant majoritairement à la classe populaire (ouvriers et employés) et à la frange inférieure des classes moyennes (artisans et petits commerçants). Cf. Bernard Lassus, Paysages quotidiens, de l’ambiance au démesurable, catalogue Musée des Arts Décoratifs, 1975 et Id., Jardins imaginaires, Paris, les Presses de la Connaissance, 1977.<br /><br />18 Cf. Michel Ragon, L’Architecte, le Prince et la Démocratie - Vers une démocratisation de l’Architecture ?, Paris, Albin Michel, 1977.<br /><br />19 « L’ARTISTE LIBRE EST UN AMATEUR PROFESSIONNEL », déclare Jorn, incitant à réhabiliter l’attitude esthétique, ou expérimentale, de l’amateur, qu’il considère à l’origine de tout progrès. Cf. Asger Jorn, Pour la forme, Paris, Allia, 2001, p. 32.<br />Sophiehttps://www.blogger.com/profile/14484635101445676573noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post-88809488875958780512013-05-01T23:39:32.578+02:002013-05-01T23:39:32.578+02:001 Cf. Jean-Pierre Martinon, « Systèmes de l'hé...1 Cf. Jean-Pierre Martinon, « Systèmes de l'hétéroclite et de l'éphémère. Les habitants bricoleurs : leurs demeures et leurs jardins », in Architecture et comportement, n°1, vol. 1, Saint Saphorin – Suisse, 1981, p.88-89.<br /><br />2 Jean-Marc Huygen, La poubelle et l’architecte - Vers le réemploi des matériaux, Arles, Actes Sud, coll. L’impensé, 2008, p. 65.<br /><br />3 Michel Ragon, L’Architecte, le Prince et la Démocratie - Vers une démocratisation de l’Architecture ?, Albin Michel, 1977, p. 15.<br /><br />4 Asger Jorn bâtira lui-même une architecture sauvage entre 1957 et 1972, le Jardin d’Albisola, avec des matériaux de rebut principalement.<br /><br />5 L’expression « développement soutenable » (de l’anglais sustainable development, communément traduit « développement durable ») est proposée par le Rapport Brundtland, intitulé « Notre avenir à tous » et publié en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement des Nations Unies (WCED). Cf. http://fr.wikisource.org/wiki/Rapport_Brundtland<br /><br />6 Cf. Jean-Marc Huygen, op. cit. p. 74-82.<br /><br />7 Ibid., p. 52-70.<br /><br />8 De l’objet réemployé, on garde la matière et la forme, pendant qu’en recyclant on donne une nouvelle forme à la matière pour la destiner à un nouvel usage. Le réemploi permet de garder l’histoire de l’objet, alors que le recyclage tend à l’effacer.<br />Sophiehttps://www.blogger.com/profile/14484635101445676573noreply@blogger.com