tag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post7074516622500351740..comments2024-03-28T11:31:10.797+01:00Comments on LES GRIGRIS DE SOPHIE: IEMZA ENCORE ET TOUJOURS ....Sophiehttp://www.blogger.com/profile/14484635101445676573noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post-88201800314090617752012-04-13T08:33:37.102+02:002012-04-13T08:33:37.102+02:00la souffrance devient beauté!la souffrance devient beauté!ELFIhttps://www.blogger.com/profile/08709697150109137719noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9196981531248127097.post-19479289413867224882012-04-13T05:09:24.766+02:002012-04-13T05:09:24.766+02:00l'éphémère est souffrance..
Jolie formule qui...l'éphémère est souffrance..<br /><br />Jolie formule qui coïncide en effet à cet éphémère-là et à ces images peintes dessus.<br />- En fait, plus que de l’éphémère nous voyons ici des ruines et une friche abandonnée à la nature et à ses forces destructrices. Dévastation et souffrance.<br />- Et ces images peintes sont tout à fait adaptées à cette souffrance. On pense du coup à ces films des années 70 qui nous montraient une humanité post-apocalypse (nucléaire, 3ème guerre, voire même catastrophe écologique etc.) genre mad-Max et compagnie.<br /><br />Quant à l’éphémère en art, il s’est affirmé comme force irrespectueuse et joyeuse, en particulier dans l’art-de-rue. On peut dessiner à la craie sur la chaussée ou peindre au pochoir sur un vieux mur : qu’importe ? On n’a que faire de la pérennité.Jean-Pierre Hamelhttps://www.blogger.com/profile/11710977375524249836noreply@blogger.com