dimanche 31 juillet 2011
samedi 30 juillet 2011
vendredi 29 juillet 2011
jeudi 28 juillet 2011
mercredi 27 juillet 2011
RAYMOND LOEWENTHAL PHOTOGRAPHE
http://www.raymondloewenthal.com/
(Ces photos ne sont pas libres de droits )
mardi 26 juillet 2011
lundi 25 juillet 2011
LE GATEAU D'ISABELLE
" L'école d'art du Beauvaisis organise des ateliers d'une journée à la Maladrerie, ouverts à tous, petits et grands, avec ou sans pratique artistique.
Celui du dimanche 15 mai avait pour thème "sculpteurs-pâtissiers du dimanche".
Dans ce cadre magnifique, chacun était invité à " imaginer, créer un banquet sur table dressée qui sera à déguster des yeux et figé par l'objectif photographique des apprentis sculpteurs-pâtissiers de l'atelier" .
" La journée (de 10h à 17h) passe très vite dans l'effervescence de l'invention et de la fabrication à l'aide de matériaux variés (papiers et cartons de toutes les couleurs, vrais bonbons, fil de fer etc).
Avec les conseils de 2 enseignantes de l'école, on essaie, on recommence, on coupe, on tord, on colle, on agrafe, on peint si on veut... puis arrive le résultat final avec la séance photos et l'observation des oeuvres des autres participants, avec la surprise d'avoir réalisé quelque chose qu'on n'aurait jamais fait seul et surtout l'impression de s'être bien amusé !"
Moi j'aime !
dimanche 24 juillet 2011
GLADYS HULOT
http://www.gladyshulot.com/
et GLADYS HULOT sur LES GRIGRIS :
http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2009/10/gladys-hulot.html
samedi 23 juillet 2011
vendredi 22 juillet 2011
ELFI ET LA CATHEDRALE DE REIMS
jeudi 21 juillet 2011
L'INAPERCU DE SYLVIE GERMAIN
mercredi 20 juillet 2011
POUR CAROLYN CARLSON
mardi 19 juillet 2011
BROCANTE DE MAI .....
lundi 18 juillet 2011
UN PEU D'ART BRUT AU MUSEE DEPARTEMENTAL BRETON DE QUIMPER !
Et c'est donc là que j'ai découvert des faux et canes décoratives (en bois sculpté au couteau en ajours datant des années 1940-1950 )
"Ces objets décoratifs furent sculptés par un patient de l'Hôpital psychiatrique Lezvelec de Saint Avé prés de Vannes .
On connaît quelques exemples de la faux dont le décor se référe à la mort faucheuse des hommes: le serpent et la clef du Paradis, le biniou instrument du diable et la femme (bretonne en coiffe) priant pour le salut des âmes . "
http://www.museedepartementalbreton.fr/photos
Musée Départemental Breton
1 rue du Roi Gradlon
29000 Quimper
dimanche 17 juillet 2011
LES CERFS DE VERONIQUE MUTSCHLER
(Linogravure inspirée du roman d'Orson Scott Card : " Espoir du cerf ")
Et son site à découvrir :
http://wizzz.telerama.fr/muts
http://wizzz.telerama.fr/muts/photos/5721934618
http://v.muts.pagesperso-orange.fr/
samedi 16 juillet 2011
vendredi 15 juillet 2011
L'ABBAYE D'ALCOBACA AU PORTUGAL
Au cœur de l'Estrémadure portugaise, le monastère de Santa Maria d'Alcobaça s'élève en joyau de l'art cistercien ... une splendeur à visiter !
Le monastère de Santa Maria d'Alcobaça, au nord de Lisbonne, Portugal, est fondé au XIIe siècle par le roi Alphonse Ier. Par l'ampleur de ses dimensions, la clarté du parti architectural, la beauté du matériau et le soin apporté à l'exécution, il est considéré comme un chef-d'œuvre de l'art gothique cistercien. Le monastère est imprégné de l'idéal de simplicité ascétique prôné par saint Bernard, une simplicité que les transformations successives apportées au fil des siècles n'ont pas altérée. Il est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO depuis 1989. Il est déclaré en juillet 2007 comme une des sept merveilles du Portugal.
(cliquer)
jeudi 14 juillet 2011
mercredi 13 juillet 2011
"LE MAUVAIS SANG" de TCHICAYA U TAM'SI
Effeuille ainsi la fleur
Les miroirs s’embueront
au jeu des balafons
Où l’eau crève un noceur
Il avait pris la vie
Par le mauvais côté
Des chairs de nouveau-né
Qui puent fort le gri-gri
et c’était hibiscus
ou fleur d’eucalyptus
effeuille effeuille effeuille
Ell’ me prend dans ses bras
-rue mon fou –chèvrefeuille
-mon cœur en éclata …
mardi 12 juillet 2011
lundi 11 juillet 2011
DES CERFS DANS" UNE VEILLEE SINGULIERE " ...
" La veillée, la façon la plus simple, la plus directe de se réunir, que ce soit les habitants d’un village ou le public d’un théâtre. Construire d’abord une scénographie qui raconte quelque chose de la rencontre : Nous montons notre petit gradin. Le public nous aide à installer l’entourage des rideaux rouges. Exactement comme un petit chapiteau sans toit. Sur scène, il y a Hadi Boudechiche et Claire Latarget tous les deux autour d’un coffre en bois. Ils ne se sont pas revus depuis 25 ans. La malle contient leurs souvenirs de leurs vacances passées ensemble. C’était dans un grand domaine aujourd’hui disparu. Ils sont là, ce soir, pour ouvrir la malle. Dans la malle : des bricolages fabriqués avec Papy-Tonton. Mais qui est ce vieux monsieur, ni grand-père, ni oncle ? Un retraité, ancien préhistorien, spécialiste des grottes peintes. Il apprend aux enfants comment les hommes préhistoriques faisaient du feu… Cette malle est un héritage ! Au fond de la cave du Domaine dans l’atelier de Papy-Tonton, il y a un passage secret qui mène à une grotte ornée. La plus belle des grottes peintes jamais découverte, même plus belle que Lascau. Cette malle est la clef ! Ces deux conteurs nous font revivre le temps de l’enfance. C’est un spectacle de grande proximité, qui joue du vrai et du faux, de l’imaginaire et du réel, du passé et du présent. En sortant du spectacle : les parents siffle « Caravan » de Duke Ellington et les enfants veulent apprendre à faire du feu comme leurs arrière, arrière, arrière... grand-parents." Christian Carrignon |
http://www.theatredecuisine.com/dyn/spip.php?article394
http://www.theatredecuisine.com/dyn/spip.php?mot258
http://www.nova-villa.com/spectacles-sedan.html
Théâtre de Cuisine - Friche La Belle de Mai
41, rue Jobin - 13003 MARSEILLE
dimanche 10 juillet 2011
samedi 9 juillet 2011
" MICHEL ANGE FACE AUX MURS" D'ARMAND FARRACHI
LU DANS « MICHEL ANGE FACE AUX MURS » D’ARMAND FARRACHI
(l’un et l’autre Gallimard)
…. « Ainsi Emile Littré , depuis l’enfance jusqu’à son dernier souffle, accablé de douleurs, perclus de fatigue, plongé dans la dépression , le cauchemar ou l’insomnie, s’occupait à lutter contre tant de maux en consacrant sa vie au travail acharné, opiniâtre, plutôt qu’à l’oisiveté qui libère les démons, exacerbe la souffrance et prolonge l’ennui, étudiant tout ce qu’il pouvait, la médecine puisqu’il souffrait, la philologie puisqu’il parlait , la philosophie puisqu’il pensait, s’obligeant aux recensements les plus longs, les plus ardus, les plus ingrats, pourvu qu’il y faille une assiduité sans répit, sans distraction, que s’y absorbe tout son temps, ses jours, ses nuits, transformant l’inutile insomnie en pages et la triste vie en œuvre comme le plomb en or , ne rédigeant pas seulement un immense dictionnaire qui incluait l’étymologie, l’histoire, la prononciation , des centaines de milliers d’exemples pris à six cents auteurs avec leurs références, mais encore l’Analyse raisonnée du cours de philosophie d’Auguste Comte, l’Histoire naturelle de Pline, des articles quotidiens au Journal des savants à la Revue de philosophie , une histoire de la langue avec son supplément, une histoire littéraire, avec sa suite, quantité de « fragments », « paroles » , « origine », »glanures »….s’astreignant encore aux traductions complexes ,touffues, longues, anciennes, difficiles, dix volumes d’Hippocrate, l’Iliade, la Divine comédie, mises non dans le français ordinaire qui vient sans peine, mais dans la pseudo « langue d’oïl » médiévale qu’il invente, où chaque mot impose un effort, une recherche, une tension contre l’usage courant, le simple, le fluide, le spontané, une langue incompréhensible qu’il faudrait, comme il le reconnaît lui-même, traduire à nouveau, comme Joyce le fit aussi dans Finnegans Wake, et lorsqu’il ne travaillait pas, il restait prostré, hébété, stupide, immobile et muet, pour ainsi dire « comme mort » lui aussi . »
vendredi 8 juillet 2011
LES BOUTONS DE RENEE
Les brocantes recèlent des trésors ....aujourd'hui j'ai acheté un nombre incalculable de boutons à deux dames charmantes.
Ce sont les boutons de RENEE et ils me plaisent beaucoup !
jeudi 7 juillet 2011
mercredi 6 juillet 2011
LE FEUILLETE DE SAUMON D'AGATHA CHRISTIE
« Le poissonnier vous a encore eue, ma chère, disait-elle.
Il n’est pas frais, ce poisson. Vous ne l’avez pas testé avec le doigt comme je vous avais expliqué. Il faut le tâter, regarder l’œil, lui mettre le doigt dans l’œil.
Je considérai le poisson avec circonspection.
Lui mettre le doigt dans l’œil me paraissait quelque peu cavalier.
Posez le debout sur sa queue, aussi, pour voir s’il s’affaisse ou s’il se tient. »
FEUILLETÉ DE SAUMON
Ingrédients :
-1 pâte feuilletée
-300g de saumon frais
-20 g de chair à saucisse
-20 g de pain de mie
-4 brins de persil
-3 ou 4 oignons nouveaux
-1 jaune d’œuf
-sel, poivre
Dans une casserole pleine d’eau salée, mettez le saumon à pocher environ 10 minutes, à gros bouillons.
Pendant ce temps, épluchez les oignons et passez-les au mixeur ainsi que le persil.
Joignez-y la mie de pain, la chair à saucisse, sel, poivre et hachez à nouveau le tout, pour former une purée homogène.
Ajoutez le cas échéant un peu de court- bouillon pour que le mélange ne soit pas trop sec.
Lorsque le saumon est cuit, égouttez-le puis découpez des morceaux de taille moyenne, et réservez.
Découpez dans la pâte brisée deux morceaux en forme de poisson, puis disposez sur l’un deux une couche de farce, les morceaux de saumon cuit pour une seconde couche, puis encore une couche de farce. Terminez en refermant le feuilleté avec l’autre morceau de pâte et soudez bien les bords.
Vous pouvez vous amuser à découper dans les chutes de pâte un morceau pour la queue, un pour la nageoire et un pour l’œil du poisson.
Préchauffez le four à 220° (th 7/8).
Badigeonnez la pâte avec un jaune d’œuf puis enfournez le poisson dans un plat à four beurré.
Au bout de 20 minutes, baissez la température à 150° (th 5) et laissez cuire encore 10 minutes.
Dégustez chaud ou froid.
mardi 5 juillet 2011
L'OGRE DE MOSCOVIE DE VICTOR HUGO
Un ogre des bois était amoureux d'une fée.
Il décida de lui rendre visite.
La fée avait un fils, on les laissa tout seuls dans l'antichambre.
Comment passer le temps quand il neige, et quand on n'a personne avec qui dire un mot ? L'ogre se mit alors à croquer le marmot.
Bon conseil aux amants
L'amour fut de tout temps un bien rude Ananké.
Si l'on ne veut pas être à la porte flanqué,
Dès qu'on aime une belle, on s'observe, on se scrute ;
On met le naturel de côté ; bête brute,
On se fait ange ; on est le nain Micromégas ;
Surtout on ne fait point chez elle de dégâts ;
On se tait, on attend, jamais on ne s'ennuie,
On trouve bon le givre et la bise et la pluie,
On n'a ni faim, ni soif, on est de droit transi ;
Un coup de dent de trop vous perd.
Oyez ceci :Un brave ogre des bois, natif de Moscovie,
Était fort amoureux d'une fée, et l'envie
Qu'il avait d'épouser cette dame s'accrut
Au point de rendre fou ce pauvre coeur tout brut :
L'ogre, un beau jour d'hiver, peigne sa peau velue,
Se présente au palais de la fée, et salue,
Et s'annonce à l'huissier comme prince Ogrousky.
La fée avait un fils, on ne sait pas de qui.
Elle était ce jour-là sortie, et quant au mioche,
Bel enfant blond nourri de crème et de brioche,
Don fait par quelque Ulysse à cette Calypso,
Il était sous la porte et jouait au cerceau.
On laissa l'ogre et lui tout seuls dans l'antichambre
.Comment passer le temps quand il neige en décembre.
Et quand on n'a personne avec qui dire un mot ?
L'ogre se mit alors à croquer le marmot.
C'est très simple. Pourtant c'est aller un peu vite,
Même lorsqu'on est ogre et qu'on est moscovite,
Que de gober ainsi les mioches du prochain.
Le bâillement d'un ogre est frère de la faim.
Quand la dame rentra, plus d'enfant. On s'informe.
La fée avise l'ogre avec sa bouche énorme.
As-tu vu, cria-t-elle, un bel enfant que j'ai ?
Le bon ogre naïf lui dit : Je l'ai mangé.
Or, c'était maladroit. Vous qui cherchez à plaire,
Jugez ce que devint l'ogre devant la mère
Furieuse qu'il eût soupé de son dauphin.
Que l'exemple vous serve ; aimez, mais soyez fin ;
Adorez votre belle, et soyez plein d'astuce ;
N'allez pas lui manger, comme cet ogre russe,
Son enfant, ou marcher sur la patte à son chien.
Et moi j'entends JULOS chanter ....JULOS BEAUCARNE bien sur !
lundi 4 juillet 2011
MON CAPTEUR DE REVES
Le capteur de rêves conserve les belles images de la nuit et brûle les mauvaises aux premières lueurs du jour...
Et pour lire la légende huronne des capteurs de rêves reportez vous à :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Attrapeur_de_r%C3%AAves
dimanche 3 juillet 2011
samedi 2 juillet 2011
LA MAITRESSE DES EPICES DE CHITRA BANERJEE DIVAKARUNI
« Ah, l’attrait de ce danger !
Ils m’aiment parce qu’ils sentent que je comprends cela. Ils me détestent aussi un peu pour la même raison.
Et puis, il y a les questions que je pose. A la femme dodue vêtue de caleçons en polyester qui peluche et d’une tunique achetée chez Safeway , les cheveux rassemblés en un chignon serré, qui se penche au-dessus d’un petit monticule de piments verts qu’elle choisit avec le plus grand sérieux : « Est-ce que votre mari a retrouvé du travail depuis le licenciement ? »
A la jeune femme qui entre en coup de vent avec un bébé sur la hanche pour acheter de la poudre de dhania jîra : « Le saignement, ça fait encore mal, vous voulez quelque chose qui soulage ? ».
Je vois la secousse électrique, la même à chaque fois, se propager dans leur corps .Je pourrais presque en rire, si la pitié ne me tiraillait pas tant. Les traits de leur visage tressautent comme si j’avais posé les mains sur l’ovale délicat de la mâchoire et de la pommette pour les tourner vers moi.
Alors que, bien sûr, je n’en ai rien fait.
Il n’est pas permis aux maîtresses de toucher ceux qui viennent à elles.
De bouleverser le mécanisme fragile du donner et du recevoir qui règle nos vies de façon si précaire. »
vendredi 1 juillet 2011
L'ESPACE LOUIS JOUVET A RETHEL
Ce cerf jardinier ...pour Hélène ou pour Sophie ???