Petit retour en arrière avec cet article du journal de la Haute-Marne écrit par Nicola Frisé le 16/02/2011 :
" Enfin ! C’est ce que doivent se dirent tous les amoureux du Petit Paris. Car des travaux de réhabilitation de l’ancienne confection située avenue de la République vont enfin démarrer, au début du mois de mars. Et ce, pour une durée évaluée de six mois.
Le site était resté un peu à l’abandon ces derniers mois, malgré un rachat du site par la Ville à Katy Couprie, fin 2007-début 2008. A la décharge de la municipalité, les recherches entreprises
pour trouver un architecte spécialisé, auprès de la direction régionale des Affaires culturelles
(Drac) notamment, sont restées vaines. «Mais nous avions bien en tête de sauver ce patrimoine intéressant pour Saint-Dizier», assure François Cornut-Gentille, lorsqu’il évoque ce bâtiment qui plus est,classé.
Finalement, la Ville a été sollicitée par un employé municipal de la ville de Joinville, M. Dubrigny.
Intéressé par le projet, ce «bricoleur un peu génial» comme l’appelle le député-maire, a passé
plusieurs entrevues avec la Ville.
La commune de Joinville a donné son accord pour le “prêter” six mois (sans option d’achat) à
la cité bragarde. A partir du 1er mars, c’est donc ce Joinvillois qui s’attellera aux travaux du Petit
Paris gérés en régie municipale.
Celui qui travaillait auparavant dans une entreprise de restauration des monuments historiques
verra l’architecte des Bâtiments de France en Haute-Marne, Jérôme Auger, ainsi que l’architecte-
conseil de la Ville, Jean- Paul Deschamps, le chapeauter.
Des employés des services techniques seront mis à sa disposition selon les besoins et l'avancement
du chantier. Les travaux concernent l’extérieur de la bâtisse, et l’intérieur, d’une superficie
de 70 m2 environ, sur deux niveaux.
Le coût des travaux - hors salaires- est estimé par la Ville à 20 000 €. «C’est l’enveloppe définie,
mais elle peut être plus élevée ou plus basse», reprend François Cornut-Gentille, qui n’exclut aucune possibilité sur les suites (culturelles) données à l’ouvrage au terme des travaux. Les six
mois de réflexion correspondant au temps des travaux ne seront pas de trop. Pour trouver la bonne
formule. Et concerter les différents acteurs de ce futur lieu culturel remis au goût du jour."
Et cet autre article de Bertrand Puyssegur paru dans La voix de la Haute-Marne le 11/02/11 :
Le site était resté un peu à l’abandon ces derniers mois, malgré un rachat du site par la Ville à Katy Couprie, fin 2007-début 2008. A la décharge de la municipalité, les recherches entreprises
pour trouver un architecte spécialisé, auprès de la direction régionale des Affaires culturelles
(Drac) notamment, sont restées vaines. «Mais nous avions bien en tête de sauver ce patrimoine intéressant pour Saint-Dizier», assure François Cornut-Gentille, lorsqu’il évoque ce bâtiment qui plus est,classé.
Finalement, la Ville a été sollicitée par un employé municipal de la ville de Joinville, M. Dubrigny.
Intéressé par le projet, ce «bricoleur un peu génial» comme l’appelle le député-maire, a passé
plusieurs entrevues avec la Ville.
La commune de Joinville a donné son accord pour le “prêter” six mois (sans option d’achat) à
la cité bragarde. A partir du 1er mars, c’est donc ce Joinvillois qui s’attellera aux travaux du Petit
Paris gérés en régie municipale.
Celui qui travaillait auparavant dans une entreprise de restauration des monuments historiques
verra l’architecte des Bâtiments de France en Haute-Marne, Jérôme Auger, ainsi que l’architecte-
conseil de la Ville, Jean- Paul Deschamps, le chapeauter.
Des employés des services techniques seront mis à sa disposition selon les besoins et l'avancement
du chantier. Les travaux concernent l’extérieur de la bâtisse, et l’intérieur, d’une superficie
de 70 m2 environ, sur deux niveaux.
Le coût des travaux - hors salaires- est estimé par la Ville à 20 000 €. «C’est l’enveloppe définie,
mais elle peut être plus élevée ou plus basse», reprend François Cornut-Gentille, qui n’exclut aucune possibilité sur les suites (culturelles) données à l’ouvrage au terme des travaux. Les six
mois de réflexion correspondant au temps des travaux ne seront pas de trop. Pour trouver la bonne
formule. Et concerter les différents acteurs de ce futur lieu culturel remis au goût du jour."
Et cet autre article de Bertrand Puyssegur paru dans La voix de la Haute-Marne le 11/02/11 :
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