vendredi 13 avril 2012

IEMZA ENCORE ET TOUJOURS ....

Parce qu'il faut garder traces de ce lieu en  déconstruction ...
Parce que pour moi l'éphémère est souffrance ...
De nouveau ce week end le besoin de voir ...














D'autres photos ...

IEMZA ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

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2 commentaires:

  1. l'éphémère est souffrance..

    Jolie formule qui coïncide en effet à cet éphémère-là et à ces images peintes dessus.
    - En fait, plus que de l’éphémère nous voyons ici des ruines et une friche abandonnée à la nature et à ses forces destructrices. Dévastation et souffrance.
    - Et ces images peintes sont tout à fait adaptées à cette souffrance. On pense du coup à ces films des années 70 qui nous montraient une humanité post-apocalypse (nucléaire, 3ème guerre, voire même catastrophe écologique etc.) genre mad-Max et compagnie.

    Quant à l’éphémère en art, il s’est affirmé comme force irrespectueuse et joyeuse, en particulier dans l’art-de-rue. On peut dessiner à la craie sur la chaussée ou peindre au pochoir sur un vieux mur : qu’importe ? On n’a que faire de la pérennité.

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  2. la souffrance devient beauté!

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