dimanche 30 septembre 2012

LES STAELENS VUS PAR APOLLINE

Pour accompagner les photos d'Apolline j'ai choisi aujourd'hui un texte que j'aurais aimé écrire, le texte magnifique de Nadine Servant  :



" Le monde habité de Ghyslaine et Sylvain Staëlens a pris racine en Auvergne où ils ont choisi de demeurer. La rencontre s’est faite entre un paysage extérieur et un monde intérieur qui leur est commun. Ce paysage âpre, sans âge, les a dépouillés d’une modernité superflue qui a laissé place à leur imaginaire enfoui. Ils ont exploré sans limites et mis au jour des parcelles de vérité cachée. La Terre est leur élément et ils lui empruntent ce qu’elle a de plus noble. En osmose totale, l’un continue la sculpture que l’autre a commencée, sans heurts, sans que l’on puisse deviner quelle main a posé la dernière ou la première pièce. Une cohabitation de deux personnalités qui confère à leurs oeuvres une identité unique troublante.

D’entrelacs complexes naissent des bas-reliefs, totems, poupées et animaux, assemblages combinés et savants de branches et de racines, de métaux rouillés, de tissus et de fil de fer, le tout souvent saupoudré de terre rouge volcanique.

Ils n’existent qu’en eux-mêmes, c’est-à-dire incapables d’apparaître autrement qu’ils sont et, délivrés du jugement des autres, ils se soucient comme d’une guigne des interdits, des brouillages de la culture, de la bienséance. Une brèche sur le réel qui ouvre des perspectives inattendues. Dénonçant le conformisme et les compromissions, ils sont impitoyables pour l’arrogance et l’hypocrisie et font fi de la trompeuse satisfaction du discours de bon aloi qui est un obstacle à l’accomplissement de soi. Les visages transfigurés de leurs compositions en sont un témoignage évident.

La vigueur de leurs créations génère une sidération étonnée. Les bas-reliefs et totems, issus d’on ne sait quelle civilisation primitive, saisissent par la puissance expressive et la force tellurique qui ouvrent des perspectives inattendues, révélant les multiples facettes de leur individualité à la Janus. La présence déstabilisante de leurs oeuvres diffuse d’émouvantes sensations au spectateur attentif, jusqu’à ce qu’il entre dans la danse et perde pied dans les absurdités du théâtre de la vie.

Ces regards hallucinés, stupéfaits, égarés nous conduisent, au-delà de nous-mêmes, à nous poser constamment les mêmes questions."








LES STAELENS ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

LES PHOTOS D'APOLLINE



 

samedi 29 septembre 2012

LES STAELENS A NEW YORK ET PARIS !


De notre passage chez les Staëlens nous ne garderons qu’un total émerveillement et une réelle admiration.
Il y a eu tout d’abord l’exposition de Mauriac, avec des artistes de valeur, des œuvres judicieusement choisies et la présence incroyable des trois sentinelles magnifiques accueillant les visiteurs et trouvant leur place sous le ciel étoilé de la Chapelle de Marmontel .








Puis nous avons eu la chance de visiter maison et atelier, de voir le bas-relief en devenir, les sculptures envahissant les lieux, les murs, le plafond, la table surchargée de matériaux divers...


                                                  (photo d'Apolline)


                                            (photo d'Apolline)






 
 
 
 


        (ces trois  dernières photos appartiennent aux Staëlens et sont visibles sur leur site)

Le bonheur de voir la petite mendiante " La Sainte Misère" dans le soleil couchant, de la voir au fil des heures se transformer, s'illuminer ...






 Et enfin aujourd’hui l’exposition de la Halle Saint Pierre.
 Je crois que les visiteurs venus voir «  Banditi dell’ arte » ont eu un choc en pénétrant dans le hall et se souviendront longtemps du bas-relief, du pélérin et des oeuvres présentées depuis mi-septembre .
C'est impressionnant car les sculptures habitent totalement la pièce.
Les œuvres les plus récentes se mêlent aux œuvres de sable rouge et les magnifient ..











Ce que j’aime dans le travail des Staëlens c’est leur capacité à se renouveler tout en étant parfaitement identifiables. On sent une envie d’aller plus loin, d’utiliser de nouvelles matières, de faire la part belle aux tissus .
Mais en même temps du premier coup d’œil on sait qu’ils sont derrière les guetteurs, passeurs et autres guerriers.

L’histoire de Ghyslaine et de Sylvain est avant tout une histoire d’amour et de cet amour jaillissent des êtres qui n’ont rien d’anecdotiques, des êtres qui restent dans nos cœurs et sous nos paupières, des êtres de force et de lumière, des êtres douloureux et hybrides.

Tout un peuple est en marche, un peuple indestructible,  aussi violent et fascinant que l’amour qui unit leurs créateurs.

De la fragilité des matériaux de récupération  il ne reste plus rien qu’une noblesse, qu’une majesté et cette transfiguration est incroyable.

Qu’ils portent des noms apaisants ("la bergère", "la fée," "l’accordéoniste", "la danse de la vie"," le scribe" , "le magicien du village", " poupée " …) ou des noms douloureux ("Don Quichotte", "l’homme des steppes",  "le purgatoire", "la goule", "le fou", "momie" ) les sculptures de Ghyslaine et de Sylvain EXISTENT avec splendeur !

LES STAELENS DÉMIURGES BIENVEILLANTS , " FABRICATEUR DES MONDES, DES CIEUX ET DU DIABLE ", ONT SU EXORCISER LEURS DIABLES ET DONNENT A VOIR ...

Et nous restons là sidérés, émerveillés, heureux et surpris  ...




 

J’espère et je pense que l’heure de la reconnaissance a sonné.
Après une exposition à New York «  L’exposition  Restless à la Galerie Cavin-Morris » qui durera jusqu’au 6 octobre, une nouvelle exposition est prévue du 1er au 28 octobre à la Maison du Passeur d’Herblay ( 1 quai du Génie) .
 

* Un vernissage en présence des artistes est prévu le samedi 6 octobre à partir de 17h

 


*** LE SITE DES STAELENS


*** LES STAELENS ET  LES GRIGRIS
 

vendredi 28 septembre 2012

DEZOPILANT A REIMS BIEN SUR CE 28 SEPTEMBRE 2012 !





Vendredi 28 septembre - 18h au Cafégem – 12 rue Passe-Demoiselles – 51100 Reims
dans le cadre du 7ème festival interpol’art de Reims
lancement du 14 HS de deZopilant
46 minutes pour un meurtre
Venez ! Faites tourner l’invit !

J'ai découvert cet étonnant petit journal chez mon amie Marie-Christine Bourven .
Je voulais vous donner l'envie de le lire, de vous le faire offrir et voilà que le vernissage de ce soir me donne l'occasion de dézopiler un peu ...
Pour vous une rapide présentation proposée par Didier !






Nom : deZopilant


Naissance : le jour de l’Initiale, à Reims, face cathédrale, dans les mouvements d’une poétique électronique.

Description : Collectif associé pour la promotion du fait poétique. Agit par

• sa feuille de chou deZopilante (13 n°)

• l’animation d’ateliers d’écriture

• la création de spectacles

• l’action conjonctive et jubilatoire de tout créateur rencontré..

Fondateurs : môssieur M (typoète), et l’actuel dD’ d’Maubeuge (performer de mots)

Auteurs publiés dans sa feuille : Isabelle Monin /Cécile Perret / isabelle Lamblin / Anne Belmon / Momo le marteau / Remi Bouvier / Marie-Christine Bourven / Philippe Cloes / Djamel Serghini / Yann Darnault / Saïd Nourine, Cé / dédé d’Maubeuge / thelgein / /*IDEM*\ / Sophie Tel / ciseleur / Lady A. / et quatre auteurs inconnus, V. et le reste du recensement est en cours…

Citations : On ne s’abonne pas à deZopilant, on abonne ceux qu’on aime à deZopilant.



Partenariat :

• Atelier de gravure Recto Verso –Reims- ;

• micr0lab, collectif artistique protéiforme et évolutif (CoopART loi 1901) : production et diffusion d'œuvres d'art http://micr0lab.org/

• Partycul System Reims http://www.partyculsystem.com/,

• Inter Pol’art 2012 http://www.interpolart.com/

• Slam tribu, Reims http://www.slamtribu.fr/

• Maison de la poésie de Tinqueux http://www.danslalune.org/

• Librairie la belle image, Reims

• Bar polar les vengeances tardives Lyon. http://www.les-vengeances-tardives.fr/

• Lycée Saint Michel, Reims http://www.groupesaintmichel.fr/lycee/2012/03/16/operation-dragon-deau/


Signe particulier : collectif manquant de forces vives pour assouvir tous ses désirs.



Adresse : http://dezopilant.fr/zop
association deZopilant
10, rue Léon Blum
51220 Reims la Neuvillette

Contact : didier@dezopilant.fr





LE BLOG DE DIDIER

LE SITE DE DEZOPLILANT (permettant de partager la page facebook)

(cliquer sur les liens)


Et pour terminer deux poèmes de Marie-Christine Bourven, vous pourrez retrouver le second dans le n° 13 de DEZOPILANT !



DEUX POEMES

 Seras-tu  moi à la lueur d’une lanterne caverneuse 
ou d’un réverbère  houleux
Ou d’un lampion de papier ondoyant à la lueur de mon âme sèche et dépeuplée ?

 Seras-tu toi, penchant naturel
Rêveur de phylactères à la parole cryptée
Au songe d’une nuit d’été envahies de sauterelles et de mouches bourdonnantes ?

 Serais-je toi au fond des déserts capricieux
Confié à l’insouciance des transports nonchalants
Tel est mon caractère croasse la grenouille sur le dos du scorpion

Coquins, malins à chacun son bréviaire
Gredins ou pudibonds à chacun son destin

 Autrement dit
L’autre ment
Futile et incrédule
Fût-il un autre aux premiers jours du monde
Fût-il moi-même pour un bout du chemin

Serais-je encore moi , demain, chez lui, chez toi , au festival du temps ?
L’histoire à sa merci, n’en vaut pas la chandelle, à la lueur d’une lanterne altérée

 

                                            ***************************

 Autrement dit, je suis définitif pensait quelqu’un en son for intérieur
Quelqu’un d’à peu près lucide
Et qui folâtrait  sur un lit de ronces et de mauviettes torréfiées
Encombrées d’effluves insomniaques

 

Mais voilà qu’il transpire la terre par les pores de ses geysers engourdis
Et qu’il pâlit dans le noir, la rougeur des bouffons
Soufflant des vapeurs torrides
Ou chevauchant d’une haleine placide des tartuffes  en cavale
Sont-ce des troufions de comptoir ? Des mannequins empanachés ?
Des courtisans de bitume campés, bien chevillés  sur le trottoir des idées reçues
Est-ce encore quelqu’un ou quelque chose sur le point de trahir son âme byzantine
Bien emballée dans une histoire sans nom
Libéré de son naturel artifice

 Confidences pour confidences, c’est un caractère obséquieux
Que je vous livre à domicile
Chez qui vous folâtrez en souvenir de rien
Chez qui vous dînerez au lendemain du Grand Soir avoué

 Idolâtres grimaçants.
Autrefois c’était tout autre chose
Et autre chose, c’était encore autrement
Pour la postérité

Je suis définitivement  provisoire se disait à rebours quelqu’un en son for intérieur

 

 

jeudi 27 septembre 2012

POLE KA ET TRISTAN DES LIMBES CHEZ MOJITO A REIMS

 
Le 31aout la boutique Mojito proposait un nouveau vernissage ...
 
J'ai eu une belle surprise aujourd'hui en retrouvant le travail de POLE KA (déjà évoquée sur Les Grigris) et en découvrant le travail de TRISTAN DES LIMBES .
 
L'harmonie est parfaite entre les deux artistes qui se mêlent pour notre plus grand plaisir . C'est à la fois dérangeant et plein de poésie, plein de subtilités et d'angoisses .
 
"  Deux artistes talentueuses et complémentaires qu'on imagine autour d'une table d' anatomiste, l'une déchirant les chairs et l'autre disséquant les artères.
Mais ne soyez pas effrayés ce ne sont que leurs cœurs et leurs corps qu'elles ouvrent sur la table!"
 
Un lieu et des artistes qu'il faut découvrir de toute urgence !
 
 
 
 
 
 
 
 
POLE KA

" Pole Ka, une artiste discrète dont les créations s’affichent sur les murs de Paris depuis plus d’un an. Pourtant cela fait plus longtemps que Pole Ka couche ses visions sur du papier. Des traits fins, un style travaillé pour des images aiguisées qui attirent le regard.
On y découvre un univers onirique peuplé de coupes chirurgicales et de personnages imaginaires"


TRISTAN DES LIMBES

" Tristan des Limbes est très prolifique. Ses collages se retrouvent un peu partout ...
Ses collages n'ont rien de joyeux comme l'indique son nom. Quant aux limbes, c'est un endroit près de l'enfer qui accueille ceux qui ne peuvent accéder au Paradis immédiatement. C'est aussi là que vont les âmes des enfants morts sans baptême selon certaines croyances."




 
 
 
 
 
(cliquer sur les liens)
 
 
 
 
 














Mojito Skateshop
15 rue du Clou dans le Fer
Reims 51100.

Tel: 03 26 04 54 95

 *** LE SITE DE LA BOUTIQUE


*** LES GRIGRIS DE SOPHIE ET L'ART DE LA RUE


 

mercredi 26 septembre 2012

MARC GERENTON A LA GALERIE MARIE-JOSE DEGRELLE

 
 











Je reprends l'excellent texte de présentation de Françoise Kunzé , envoyé par Marie-José :
 


" Marc Gérenton : le corps absent

C’est côté galerie et côté jardin que Marie-José Degrelle
présente pour cette rentrée les oeuvres de Marc Gérenton. Une partie dans sa galerie de la rue Goïot à Reims, une autre dans le parc Taittinger voisin. Les mains et les pieds de ces corps absents, figures obsessionnelles de l’artiste axonais y sont terriblement présents.



La galeriste rémoise Marie-José Degrelle continue de s’investir pour ses artistes et s’allie pour cette rentrée à la maison Taittinger, ses voisins, pour présenter les nouvelles oeuvres de Marc Gérenton de part et d’autre de la rue Goïot.



La galerie qui offre au sous-sol l’espace exceptionnel que l’on sait, se double pour Marc Gérenton d’un cadre à ciel ouvert avec le parc de la grande maison de champagne qui lui fait face.
On aperçoit d’ailleurs par-dessus le mur, l’une de ces mains ouvertes chères à l’artiste axonais qui semble appeler le visiteur à pénétrer sous les arbres.

Quant à la galerie Degrelle, elle arbore sur son toit en guise de signal, une autre oeuvre de l’artiste,
une chaise du même orange fluo dont les pieds figurent bras et jambes munis des mêmes mains ouvertes et des mêmes pieds bien à plat sur terre, qui composent une partie récurrente de son oeuvre.

Il faut d’abord visiter le sous-sol de la galerie qui présente l’exposition que Marie-José Degrelle a baptisé « Vis à vie ».

« Parce que  nous sommes en vis à vis avec le parc où est exposée une partie des oeuvres et je suis ravie que Vitalie Taittinger ait accepté de nous ouvrir son jardin, et « vie » parce que pour moi, l’oeuvre de Marc Gérenton, c’est la vie. »
On ne peut que lui donner raison en découvrant l’oeuvre magistrale créée spécialement pour cette exposition et qui occupe tout l’espace important du sous-sol. Huit gigantesques « personnages » dont les corps sont matérialisés par un foisonnement d’objets hétéroclites semblent courir, s’élancer et même voler, tournant en rond comme sur un manège géant, pieds et mains étant comme toujours les seuls éléments humains de ces corps surgis du néant.

« J’ai voulu créer pour la galerie des ambiances différentes pour montrer toutes les facettes de mon travail »indique l’artiste qui vit et travaille toujours à Blérancourt dans l’Aisne.

« Ils’agit ici de la décomposition d’un même mouvement. »
Le personnage représenté en huit poses dynamiques, tient en équilibre comme par miracle. Le corps absent est remplacé par une structure non pas décorative, mais composée d’objets qui sont tous autobiographiques.

«  Il faut juste que ça tienne » sourit Marc Gérenton qui a lié les uns aux autres son fauteuil d’enfant, sa vieille raquette de tennis, un balai, un jouet en plastique, un banjo, des outils, une béquille, un filet à papillons…
« Ce sont des objets que je trimbale et ils ont tous une histoire. »







Le fil rouge évidemment ce sont ces huit paires de mains et de pieds peints en orange et qui cadrent l’oeuvre. L’un de ses copains « bricoleur de sons », EmmanuelMailly, a mis en musique cette oeuvre foisonnante et mélancolique.

 


Au premier étage de la galerie, l’ambiance est tout autre. Le noir domine avec une série de trois chaises sculpturales dont
les quatre pieds tubulaires sont jambes et bras terminés par les fameux pieds et mains.


« Pour moi, c’est inquiétant, mais c’est aussi burlesque. On est proche du mime désarticulé. Sur le mur, une série



en scène à partir du vide une superposition d’images qui tentent de former des silhouettes dansantes.
Comment fait-il tenir debout ces deux branches d’arbres bras et jambes démesurées dont le corps est le simple décor dans lequel on le pose? Mystère. Il faut traverser la rue et entrer dans le parc Taittinger pour rencontrer une dizaine de ces personnages sans corps constitué mais terriblement humains, tordus, implorants, dansants, suppliants, accrochés aux arbres… et qui imposent leurs silhouettes par la force de ces mains et de ces pieds, extrémités obsessionnelles de ces corps absents.





Marc Gérenton. Vis à vie. Galerie Marie-José Degrelle et parc Taittinger
jusqu’au 3 novembre du jeudi au samedi de 14h30 à 19het sur rendez-vous au 06.71.92.15.22. www.galerie-m-j-d.fr




UNE SENSIBILITÉ PARTICULIÈRE





Une exposition à la maison des arts de Laon, une résidence d’artiste à Compiègne, une exposition collective à Paris, rien
que pour 2012, Marc Gérenton expose pour la troisième fois à Reims chez Marie-José Degrelle. Il vit et travaille à Blérancourt dans l’Aisne au milieu de la nature. Après cinq années à l’école des Beaux-arts de Reims, il est prix de la Villa Médicis hors les murs et prix de la Casa Velasquez avant de se lancer dans un travail très personnel et totalement identifiable tellement il est riche d’une sensibilité particulière. Marc Gérenton a exposé un peu partout en France et en Europe, notamment en Allemagne, au Portugal, en Croatie ou en Angleterre.
Il rentre même d’un séjour à Vanuatu où il a exposé avec l’Alliance française.






PROCHAINEMENT CHEZ DEGRELLE

 C’est l’artiste marnaise Manon Harrois qui aura en novembre et jusqu’à la fin de l’année, les honneurs des cimaises de la galerie Degrelle. Des photos grand format en noir et blanc de ses aïeules, couvertes d’une sérigraphie à l’encre bleue. C’est un langage, une sorte d’écriture qui masque les visages…




L’effet est bluffant.


LE CONSEIL RÉGIONAL SOUTIENT LES GALERISTE
 


Comme l’an dernier, Marie-José Degrelle présentera quelquesuns de ses artistes champardennais à Paris sur le salon SLIK en marge de l’Art Fair du 17 au 21 octobre. Ce sera cette fois au Garage, 66 rue de Turenne dans le quartier du Marais. Le conseil régional a proposé cette année un soutien dans cette démarche à tous les galeristes de la région Champagne-Ardenne.
Et c’est une belle opportunité en effet de présenter à Paris la jeune création contemporaine champardennaise. Marie-
José y présentera quatre femmes : Armelle Blary, Clotilde Potron, Manon Harrois et Sylvia Lacaisse."


 
 
 
 
 





BIENTOT LES CERFS DE MARC GERENTON SUR LES GRIGRIS !