Voilà ce que l'on pouvait lire sur le MYCELIUM d'octobre ....
"Yves Durand
Né le 12 septembre 1922 à Lesconil (Finistère), mort le 24 novembre 2005 à Pont l'Abbé.
Infirme de naissance – il est né handicapé de la jambe gauche –, ‘Youen’ Durand était le fils d’un marin et d’une femme de ménage. Ne pouvant partir en mer, il dirigea trente ans la criée de Lesconil, en pays Bigouden. Parallèlement il pratiquait la peinture et concevait des maquettes en coquillages de sa région : un drakkar, une caravelle, un carrosse, une façade de château. Puis il se mit à confectionner des tableaux de coquillages d’une exécution très soigneuse pour illustrer ses rêves ou la chronique locale. De 1988 à l’an 2000 il devait composer en moyenne un tableau par an et laissa à sa mort une trentaine de petits chefs d’œuvre, parfois de très grande dimension.
« Tous en coquillages de couleurs naturelles », les tableaux de Yves Durand étaient vernis et utilisaient 56 espèces issues de la région. Régulièrement exposés à la Maison des Associations de son bourg natal, ils furent, au cours des ans, admirés par 61 872 visiteurs et rapportèrent la somme de 48 980 F, intégralement versée au Centre Communal d’Action Sociale. A la mort de l’auteur, ce qui restait de l’œuvre fut donné à la commune et redécouvert peu après par une jeune artiste qui s’est fixé pour mission de lui donner une seconde vie. "
YVES DURAND ET MYCELIUM
YVES DURAND ET LES GRIGRIS DE SOPHIE
(cliquer sur les liens)
"Yves Durand
Né le 12 septembre 1922 à Lesconil (Finistère), mort le 24 novembre 2005 à Pont l'Abbé.
Infirme de naissance – il est né handicapé de la jambe gauche –, ‘Youen’ Durand était le fils d’un marin et d’une femme de ménage. Ne pouvant partir en mer, il dirigea trente ans la criée de Lesconil, en pays Bigouden. Parallèlement il pratiquait la peinture et concevait des maquettes en coquillages de sa région : un drakkar, une caravelle, un carrosse, une façade de château. Puis il se mit à confectionner des tableaux de coquillages d’une exécution très soigneuse pour illustrer ses rêves ou la chronique locale. De 1988 à l’an 2000 il devait composer en moyenne un tableau par an et laissa à sa mort une trentaine de petits chefs d’œuvre, parfois de très grande dimension.
« Tous en coquillages de couleurs naturelles », les tableaux de Yves Durand étaient vernis et utilisaient 56 espèces issues de la région. Régulièrement exposés à la Maison des Associations de son bourg natal, ils furent, au cours des ans, admirés par 61 872 visiteurs et rapportèrent la somme de 48 980 F, intégralement versée au Centre Communal d’Action Sociale. A la mort de l’auteur, ce qui restait de l’œuvre fut donné à la commune et redécouvert peu après par une jeune artiste qui s’est fixé pour mission de lui donner une seconde vie. "
YVES DURAND ET MYCELIUM
YVES DURAND ET LES GRIGRIS DE SOPHIE
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oui, c'est une belle découverte,j'ai eu la chance de les voir et c'est un travail incroyable que ce soit dans l'utilisation du relief, le tri des coquillages. Je regrette de n'avoirs pas eu l'occasion de croiser cet artiste qui habitait juste à côté de chez nou
RépondreSupprimermerci Sophie de ton hospitalité .... Yves Durand accordait peu d'importance à ses peintures , il en donnait volontiers alors qu'il n'a donné qu'un seul tableau de coquillages !!! je pense qu'il savait que ceux ci étaient "exceptionnels"
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerImpressionné par ces tableaux, je souhaiterais savoir s'ils sont exposés dans une galerie, j'aimerais pouvoir découvrir sont oeuvre plus en détail. Merci.
Harry pouvez vous me donner votre adresse sur: lesgrigrisdesophie@gmail.com
RépondreSupprimerMerci !
Sophie