mercredi 8 janvier 2014

LE MUSEE DE LA VIE ROMANTIQUE A PARIS

Une place offerte grâce à Connaissance des Arts ... et la découverte d'un nouveau musée parisien !


"Le musée de la Vie romantique est installé dans la maison du peintre Ary Scheffer, construite en 1830. Situé à Pigalle, dans le quartier de La Nouvelle Athènes, le musée reconstitue un cadre historique harmonieux évoquant l’époque romantique.
Le rez-de-chaussée est consacré à George Sand : portraits, meubles, et bijoux des XVIIe et XIXe siècles.
 Au premier étage, les toiles du peintre Ary Scheffer sont entourées d’œuvres de ses contemporains. Deux expositions temporaires annuelles sont organisées ainsi que des concerts, des lectures et animations pour enfants. Dans le jardin du musée, le salon de thé saisonnier, véritable havre de paix ouvert de mars à octobre, permet de faire une pause gourmande."




François-HippolyteDebon-Un justicier



Pierre-Raymond Monvoisin -La mort de Cléopâtre


Léon Cogniet -Les Saintes Femmes au tombeau vers 1836

François-Claudius Compte-Calix -Sainte Elisabeth de Hongrie -1844



Après la visite, profitez d’un temps de repos sous les ombrages des arbres du jardin du musée de la Vie romantique…
 Ouvert dans la serre, de mars à octobre, du mardi au dimanche, de 10h00 à 17h30...




Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan

16 rue Chaptal - 75009 Paris
Tél. : 01 55 31 95 67

Ouvert tous les jours, de 10h à 18h sauf les lundis et jours fériés.


 LE SITE DU MUSÉE

SUR WIKIPEDIA 

*** Coup de cœur dans ce musée  pour les dendrites de George Sand :






"George Sand, comme beaucoup d’écrivains de son époque, savait peindre et dessiner. Jeune fille, elle avait pratiqué l’aquarelle et plus tard elle fit souvent des croquis de ses proches. Elle avait d’abord tenté de gagner sa vie en utilisant ce savoir faire, et peignit des fleurs et des oiseaux sur des tabatières et des étuis à cigares. En 1838, elle réalisa avec Auguste Charpentier, un éventail – actuellement au musée de la Vie romantique – qui est une charge humoristique la représentant entourée de ses amis à Nohant. Au début des années 1860 elle se mit à fabriquer des dendrites. La technique consistait à retoucher au pinceau ou à la plume une forme abstraite obtenue par pliage de taches d’encre ou de pigment projetées sur papier. Des paysages légèrement oniriques émergeaient de ces formes retravaillées. Cette activité s’intensifia à la fin de sa vie et les silhouettes de ses petites-filles et du chien Fadet apparurent alors dans des décors jusque-là déserts."


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