vendredi 8 mai 2015

JEPHAN DE VILLIERS FOREVER

A lui, si souvent croisé dans mes périples et mes voyages, je ne peux dire que mon admiration ....




" Jephan de Villiers, donne vie à son peuple imaginaire ; ce sont des êtres hybrides à mi-chemin entre l’ange, l’oiseau et l’homme. Ces anges sont tels que Serres les écrit : des envoyés, des messagers, «des émigrés ou des nomades errant dans la vallée ordinaire terrestre"

 Elisabeth Recurt, Matérialité Naturelle, mémoire fictive : le pouvoir d’engendrer une civilisation. Etc Montréal



"  C’est une civilisation nomade qu’il a imaginé et créé avec des végétaux, de la terre et des plumes. Surgis de l’écorce du monde, les habitants de l’Arbonie sont là pour rappeler au spectateur un passé mythique. Avec leur écriture indéchiffrable, ils parlent d’un temps imaginaire ou l’humain et la nature respiraient ensemble" .

LA DÉPÊCHE DU MIDI



"   Par lui la terre parle une langue oubliée des Hommes  "

Christian Noorbergen




 " A partir de ces riens laissé par la forêt et la vague Jephan de Villiers crée une œuvre d’absence, d’invisible d’une singulière présence. Et cette métamorphose caresse notre mémoire d’on ne sait quoi dans le sens du merveilleux."

 Marie-Guy Baron, LE FIGARO




" Une enfant passant par là fit l’autre jour la remarque à Jephan de Villiers: «Mais dit donc, Monsieur, tu sais donc voler a l’intérieur de toi...» Et qui dirait mieux ce sentiment d'apesanteur qu’on éprouve en traversant l’Arbonie, à l’écoute de la poésie du monde?"
Jean-Louis Kuffer, 24 HEURES LAUSANNE



"La sculpture, c’est parfois beaucoup plus que la sculpture. Chez Jephan de Villiers qui assemble et construit des figures à partir de matériaux récoltés dans la forêt, la nostalgie des civilisations perdue est absolue, comme sa fascination de la vie sous l'écorce ...
De cette double attention est née l’utopie la plus surprenante et la plus poétique qui soit, chaque élément contribuant à animer une sorte de vie processionnaire dont émane une musique puissante et grave."

Daniele Gillemon, LE SOIR




"L’univers inspiré par Jephan de Villiers est non seulement habité, mais il est aussi étrangement vivant... Organisés en procession ou regroupés en d’étranges convois funéraires, ils pleurent la disparition des grands arbres."

 Harry Bellet, LE MONDE




" Les personnages de Jephan de Villiers nous regardent droit dans le cœur, comme s’ils nous posaient la question décisive, comme si nous avions la clé de l’énigme, c’est peut-être pour cela qu’ils nous bouleversent..."

Catherine David, LE NOUVEL OBSERVATEUR






 "Ces petites figures sont un véritable et très troublant travail de visionnaire. Et s'efforçant d’en percevoir la plainte ou les murmures profonds Jephan de Villiers s’est transporté dans un monde lointain. On croirait qu’il sait ce que deviendront les hommes."

 Pierre Vavasseur, LE PARISIEN




" Jean-François de Villiers est né le 4 avril 1940 au Chesnay, près de Versailles. Enfant, il est isolé du monde par de fréquents ennuis de santé.

Dans le jardin de sa grand-mère, un marronnier complice lui fait des signes par la fenêtre. Il réalise ses premières peintures et sculptures vers l'âge de douze ans et construit d'immenses villages de terre et d'écorces. Il aime le cirque, le théâtre et le mime. En 1958, il commence une série de peintures à l'œuf : les coquilles sont remplies de gouaches de couleurs différentes et lancées par la fenêtre sur de grands papiers noirs.

En 1960, lors de l’inauguration du couvent de la Tourette, Le Corbusier lui écrit : « (…) âge vingt ans, tout est devant vous, dépend de vous, voir, discerner, choisir et agir et votre conscience pour juger ! (…) »."


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LE SITE DE L'ARTISTE

... Et bientôt chez Béatrice Soulié " Terre d'Arbonie ... Secrets"
Du 28 mai au 11 juillet 

Vernissage le jeudi 28 mai de 18 h à 22 h







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