samedi 30 septembre 2017

VEZELAY ET SA BASILIQUE SAINTE MADELEINE


Depuis 1979, la basilique et le site de Vézelay sont inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco.
La colline est actuellement classée " site historique" , c'est pourquoi les Beaux-Arts ont voulu préserver la beauté des paysages et conserver les pierres, témoins d'un passé prestigieux.
 Vézelay fait partie des "Plus Beaux Villages de France", association qui regroupe 154 villages français pittoresques.
Mais c'est aussi un haut lieu de spiritualité et point de départ du pélerinage  menant à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Vézelay compte aussi parmi les 17 villes françaises ayant le label "Villes Sanctuaires en France", telles que: Le Mont Saint-Michel, Lourdes, Lisieux, Chartres, Sainte Anne d'Auray, Rocamadour...























Les incontournables

  • La basilique Sainte-Madeleine
  • La Maison du Visiteur (préparation à la visite de la basilique : diaporama, maquettes...)
  • Le musée de l’Oeuvre-Viollet-le-Duc (outils de visite pour déficients visuels)
  • La Maison Jules Roy (maison d’écrivain)
  • Le musée Zervos (art moderne 1925-1965) dans la maison Romain Rolland
  • La visite guidée du village (association Guides de Pays des Collines) 
  • La visite guidée du village et de la basilique (art, histoire, symbolisme, tradition par Lorant Hecquet, conférencier professionnel) - Circuit de visite sensoriel audioguidé pour déficients visuels
  • Le tour des remparts en calèche

VEZELAY SUR WIKIPEDIA

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vendredi 29 septembre 2017

MARCEL MARIONNEAU VU PAR JEAN-PIERRE FAURIE





" La maison de Marcel Marionneau , sise en bord de route, a été recouverte de peintures et d’écrits il y a bien des années. L’entretien de ces décors muraux ne le préoccupe pas. En octobre 2005 son travail est celui d’un peintre sculpteur.
 « J’ai eu deux maîtres : Gordon à Angers et Georges Muguet à Auteuil. Ce dernier a été l’un des derniers élèves d’Antoine Bourdelle. C’est lui qui m’a dit :  "on entre en sculpture comme on entre en religion" .

Son travail de sculpteur est axé sur « le volume courbe » avec l’utilisation d’une « enceinte à pression ». « C’est la suite du volume sphérique pour lequel on utilise le compas et du volume cubique pour lequel on utilise l’équerre. Dans le volume il y a la sculpture et la statuaire »
Marcel Marionneau  l’annonce avec force , il est sculpteur. « La sculpture créé le volume théoriquement calculable et qui n’est en aucun cas le fruit du dessin. La statuaire naît du dessin. Tout ce qui est dessiné vient et est de l’écriture »
En octobre 2005 la préoccupation de Marcel Marionneau  était « le relief à plan mobile » mais aussi des peintures alchimiques et ésotériques tirées de « l’Aluette » ( ou jeu de la Vache), un jeu d’origine ibérique, se pratiquant sans parole mais en faisant des signes. « Ça fait plus de cinq ans que j’y travaille et je suis en train de terminer. Ce sera exposé, peut-être, à La Roche-sur-Yon »

Jean-Pierre Faurie.


Marcel Marionneau
Né le 20 novembre  1943
Le Bourg sous la Roche en Vendée


Pour en savoir plus :

 LE SITE DE MARCEL MARIONNEAU



( cliquer sur le lien)


jeudi 28 septembre 2017

" DALI : EURÊKA " AU MUSEE D'ART MODERNE DE CERET





Pour nous, ce mois de septembre 2017 fut sous le signe de la folie DALI avec des visites à Figueras, Pubol, Cadaques ... et Céret.
Il ne vous reste que très peu de jours pour découvrir " DALI : EURÊKA " puisque l'exposition se termine le 1er octobre...
C'est une magnifique exposition avec un film sur l'artiste catalan ... prévoir une demi-journée pour
savourer œuvres et vidéo. 


























"Dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme, André Breton définissait Dalí comme « le prince de l’intelligence catalane ». Dalí s’est en effet intéressé à toutes les disciplines scientifiques, de l’astrophysique à la théorie de la relativité, de la psychanalyse à la génétique, jusqu’aux théories contemporaines et très complexes des catastrophes ou des cordes.
Cette curiosité universelle fait de Dalí un héritier des grands Maîtres de la Renaissance. La science nourrit sa pensée, sa capacité à interpréter le monde extérieur comme sa propre psyché. Elle répond à son besoin fondamental de chercher, dans l’univers et ses règles, la vérification d’une intuition personnelle et irrationnelle.
Assimilant le Temps à une matière malléable – à du camembert coulant –, Dalí revendique l’héritage des grands maîtres du Passé tout en opérant une projection, une prémonition sur l’Avenir.
Dès ses années de formation, Dalí montre un intérêt pour l’astronomie, la psychanalyse, les sciences naturelles, l’entomologie, la théorie de la relativité. Il a accès à ces disciplines à la Residencia de estudiantes de Madrid, où le philosophe José Ortega y Gasset, traducteur de Freud, Einstein ou encore Marinetti, organise conférences et rencontres.
Au tournant des années 30, l’artiste élabore sa célèbre théorie de la Méthode paranoïaque-critique, largement dominée par les thèses de la psychanalyse, qui montrera de réels points de convergences avec les recherches du jeune Jacques Lacan sur la paranoïa. Dalí envisage dès lors de lier plus intimement art et science.
Les premiers essais nucléaires puis les bombes sur Hiroshima et Nagasaki en 1945 l’amènent à s’intéresser à la structure atomique de la matière. Effectuant un retour au catholicisme, il propose des représentations nucléaires des figures de l’art sacré, Christ et madones.
Dalí n’hésite pas à aller à la rencontre des savants : il rend visite à Freud à Londres en 1938, puis à Francis Crick à New York (prix Nobel en 1962 avec Watson pour la découverte de la structure de l’ADN). Il rencontra Dennis Gabor, prix Nobel de physique pour la découverte de l’holographie qui occupera Dalí dans les années 70. Enfin, René Thom, l’auteur de la théorie des catastrophes et Marcel Pagès et la théorie de l’antigravitation. C’est d’ailleurs en compagnie de Marcel Pagès que Dalí se rend à Céret le 27 août 1965, pour une journée fantasque et riche en événements largement évoquée dans l’exposition.
En 1985, Dalí réunissait dans son musée de Figueras un aréopage de scientifiques de renommées mondiales pour un symposium intitulé « Procès au hasard ». Très affaibli depuis la disparition de sa femme Gala, le Maître suivait les débats par vidéo transmission de sa chambre. Ces moments poignants de celui qui était terrorisé par la mort et qui s’était promis l’immortalité physique, attestent d’un insatiable appétit de connaissances et de curiosité pour les sciences.
L’exposition sera organisée en une série de chapitres thématiques traitant d’un domaine scientifique réinterprété par la méthode paranoïaque-critique dalinienne. Une approche originale de l’œuvre de l’artiste visionnaire. « Je suis fou » aimait à déclarer l’artiste. La science – et l’exposition du musée d’art moderne de Céret – apportent la preuve que « La seule différence entre un fou et [lui], c’est [qu’il n’est] pas fou »."

Ouvert tous les jours de 10h à 19h
Musée d’art moderne de Céret
8, bd Maréchal-Joffre, 
66403 Céret Cedex

LE SITE DU MUSÉE

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JUSQU'AU 1er OCTOBRE 


mercredi 27 septembre 2017

BONHEURS DE L’ÉTÉ


































1 ET 19 ET 21 ET 28 ET 29 JOSEPH DONADELLO
2 ET 8 PASCAL AUDIN
3 ET 20 ET 22 JOAQUIM BAPTISTA ANTUNES
4 ET 5 CHARLES BOUSSION
6 ET 7 CATHERINE SLOWIK
9 ET 10 ET 15 GÉRARD SENDREY
11 ET 12 PHILIPPE AINI
13 ET 14 ET 16 ET 17 ET 23 ET 24  CLAUDINE GOUX
18 LE CERF DE SYLVIE
25 DEMIN
26 ET 27 JOSÉ DE MARSEILLETTE