dimanche 20 janvier 2019

COCO ...PEINTRE DU FACTEUR CHEVAL


Je reçois grâce à mon blog des messages passionnants, des propositions de découvertes, d'artistes, de lieux .
Un jour Claude Louis Berthon m'a parlé de COCO...
A l'heure où sort sur les écrans le film de Nils Tavernier sur l'incontournable facteur (avec Jacques Gamblin et Laetitia Casta) j'aimerais partager avec vous l'histoire de COCO et quelques visuels de son travail.





Voici le mail de Claude Louis Berthon :

Mon message concerne "La Collection de Coco peintre du facteur Cheval "réalisée en 1987, exposée à Hauterives en l'été 1987 et au Palais Idéal en 2000.

Une trentaine d'huiles sur toile peintes spontanément (en 1987) par "Coco" en hommage au célèbre "architecte " retrace "La Couleur en plus "  la saga familiale du facteur .
La rencontre avec une vieille photo noir et blanc d'un portrait de Ferdinand Cheval déclenche chez Coco "un pousse à peindre spontané et impératif "

Coco n'a jusque là pratiquement jamais pris un pinceau et à la suite de son premier portrait (celui de l'affiche de l'expo 1987 organisée par la Municipalité d' Hauterives) elle n'a de cesse en quelques semaines de produire cette singulière "Collection".
Coco "autodidacte spontanée", Marie Claude née Duclap, ardéchoise de naissance (2 juillet 1950) à la Voulte sur Rhône, Ardèche.

La disparition en 1978 de son grand-père paternel Alexandre , facteur rural à Saint marcel d’Ardèche et la disparition de sa sœur Michèle à 36 ans d'un cancer foudroyant  en 1985 pourraient nous donner une piste "inconsciente" à "ce pousse à peindre "soudain et spontané ...

Affiches et cartes postales du premier portrait seront éditées pour la circonstance et distribuées au Palais Idéal . Le Conseil général en fera sa première de couverture de juin 1987. Les articles de presse seront conséquents et cette exposition très porteuse pour la fréquentation du Palais Idéal. ...!!!

Un portrait  acquis  par la Municipalité en 1988 est  entreposé actuellement à l'espace muséal  ou à la Villa Alicius.

Certes la singularité de Coco se porte plus vers une démarche " naïve " et s'apparente peu avec l'art brut ... bien que l'on peut évoquer "un déclenchement "... un passage à l'acte étrange,  illustré par le biais d'un regard fusionnel avec ce "grand-père facteur  illustre "













UNE VIDÉO

UN LIEN

UN LIEN 

LE FILM DE NILS TAVERNIER SUR YOU TUBE

LA BANDE ANNONCE DU FILM DE NILS TAVERNIER 

LES GRIGRIS DE SOPHIE ET LE PALAIS DU FACTEUR CHEVAL

(cliquer)


 


 Pour Claude Louis Berthon


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