lundi 28 janvier 2019

SALIM KARAMI : ARTISTE IRANIEN

Le galeriste Morteza Zahedi partage sur Facebook des artistes exceptionnels .
Il a eu la gentillesse de m'envoyer des visuels d'un artiste présent dans sa galerie : 
SALIM KARAMI.
Le voici aujourd'hui sur les Grigris ... 

















"Salim Karami est né à Rasht, au nord-ouest de l’Iran. Ce n'est qu'à l'âge de soixante ans que la peinture devient une obsession. Il a fait son premier travail au stylo en 1996, au dos d’une affiche publicitaire. Ses travaux ont été créés de manière instinctive et illettrée, en se basant sur sa formation. Pour la première fois, Salim a exposé ses œuvres dans la galerie "Ou" à Rasht en 2008. En 2011, sa deuxième exposition a eu lieu à la galerie "Marlik" à Rasht, et en 2013, la troisième exposition solo intitulée "The Eden collection" a eu lieu à la galerie Homa à Téhéran. Il a obtenu le diplôme d'honneur, l'icône lors de la 8ème biennale nationale de la peinture iranienne. Il a souffert d'insuffisance rénale pendant de nombreuses années et a dû subir une transplantation rénale. Il est décédé d'un cancer le 25 février 2013.


  Quelques visuels trouvés sur Google ...



 

 




 L'artiste a été présenté chez Claire Corcia en novembre 2018 







 Avec un texte de Matthieu Péronnet :

"Décédé en 2013, à l’âge d’environ 75 ans. Salim Karami a laissé d’admirables dessins réalisés au stylo à bille, qui empruntent à la fois à l’art du tapis (les bordures, les motifs floraux stylisés et les couleurs où dominent le rouge carmin, le bleu marine et le blanc ivoire), de la miniature et de l’incrustation. Son sujet de prédilection est un arbre, qui nous rappelle immanquablement l’arbre de vie, symbole de fertilité, d’enracinement à la Terre-Mère et de lien entre le monde terrestre et les mondes invisibles (souterrain et céleste). La force des traits de stylo, l’explosion des couleurs, donnent une vitalité intense à ces arbres. Ses dessins nous rappellent que le mot « paradis » a été emprunté à l’ancien persan pairidaeza, littéralement « jardin clos »."



LA GALERIE DE MORTEZA ZAHEDI


 LE TEXTE DE MATTHIEU PERONNET

 SUR ARTWORKS

CHEZ POLYSÉMIE

GALERIE HAMER

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