samedi 1 octobre 2022

FAITH XLVII... MOI J'AIME

  

Voilà une découverte facebookienne que je dois à Stella ...

"Faith XLVII est une artiste d’origine sud-africaine. Née à Cape Town en 1979, elle vit actuellement à Los Angeles.

C’est l’une des rares femmes qui a su s’imposer dans le milieu de l’art urbain traditionnellement très masculin, elle bénéficie aujourd’hui d’une reconnaissance internationale."

 


 

"Alors que certains voient dans un bâtiment délabré la preuve que le monde se débarrasse des indésirables, Faith récupère ces éléments oubliés avec une sensualité qui lui est propre et les présente avec un talent de virtuose."

 



 J'ai bien sûr cherché d'autres visuels sur Google ....

 


 

"Je ne suis pas religieuse, mais je prie par mon travail les démons et les dieux inconnus. Je cherche mon âme dans les couleurs et vide mon être à travers des paraboles de portes de métal rouillées et perdues".

 














 

" Faith47, est une des rares femmes à s’être imposée dans le monde très masculin du street art. Autodidacte, elle revendique son pseudonyme de “la foi” qu’elle traduit dans ses œuvres, sans défendre aucune religion particulière. “Ce qui m’influence dans toutes les religions, c’est leur rapport aux temps et aux questions existentielles qu’elles soulèvent “. Par son travail, Faith47 tente de désarmer les stratégies de la realpolitik mondiale, afin de faire progresser l’expression de la vérité personnelle de chacun. De cette façon, son travail est à la fois une libération intérieure et spirituelle qui parle de la complexité de la condition humaine, de ses histoires déviantes et de sa recherche existentielle. Elle aime expérimenter et varier les techniques selon les supports, que ce soit en extérieur avec la peinture, la cartographie par projection, l’installation vidéo, ou en atelier par des créations sur toile ou sur bois.

En tant qu’artiste femme et d’Afrique du Sud, la démarche de Faith explore à la fois des sujets féministes et des problématiques politiques, économiques et sociales. Témoin d’extrêmes inégalités sociales et de dynamiques inquiétantes tant raciales que de genre, son œuvre est une libération intérieure. Malgré la morosité des questions traitées telles que l’injustice, la pauvreté, les inégalités et l’apartheid, son travail est tourné vers l’humanisme, la spiritualité et l’espoir.

Autodidacte, elle découvre la scène graffiti à l’âge de 16 ans. Jeune mère à 18 ans, elle débute sa carrière artistique en tant que graphiste à l'âge de 19 ans. Elle travaille principalement en atelier sur des toiles pour des expositions mais se tourne peu à peu vers les arts de la rue en travaillant sur des matériaux urbains comme la signalisation routière, les portes et les murs. Elle peint dans des endroits abandonnés en utilisant une grande variété d'outils artistiques, y compris la peinture à la bombe, l'encre, le graphite, la peinture à l'huile et le collage. Elle a exposé ses œuvres en Suède, au Royaume-Uni, en France, en Tunisie, aux États-Unis, en Australie, en Italie, en Espagne, au Canada, en Afrique du Sud, en Autriche, en Suisse, en Allemagne, et ses créations de rue se retrouvent maintenant dans les grandes villes du monde entier."



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