mardi 10 juin 2025

"MAISON MARGUERITES" PRESENTE PLURI'ELLES A TUSSON (16)


 

 

« Maison Marguerites » est une association composée de la CdC Coeur de Charente, d’un collège de personnes issues de la société civile et d’un collège d’artistes nationaux. « Maison Marguerites » a pour but de mettre en œuvre toutes manifestations, opérations ou animations culturelles sur le Cœur de Charente et plus largement sur le territoire régional favorisant les Arts Visuels et plus particulièrement les Arts Singuliers Pluriels dans l’ensemble de leurs composantes… « Maison Marguerites » a pour but d’organiser toutes expositions, de gérer tous lieux favorisant la découverte, la pratique et la promotion de ces Arts, « Maison Marguerites » a pour but accompagner et aider les artistes œuvrant dans ce secteur de la création artistique, « Maison Marguerites », a pour but le développement culturel du territoire, de développer de nouveau public, de participer à la formation des plus jeunes et d’accompagner les publics dit défavorisés.




Une première exposition Art Singuliers Pluri’ELLES 

Lien direct à la MAISON du Patrimoine et au passé de ce lieu... Lien direct avec la COMMUNE de Tusson et son histoire... Lien à MARGUERITE de VALOIS. Femme de conviction, engagée et touchée par le monde de l’art et les artistes... Un symbole en ces temps de remise en cause... de l’égalité homme/femme, .... des acquis féministes, Un clin d’œil aux valeurs humanistes, aux sentiments simples, désintéressés et sans arrière-pensée, La recherche et l’affirmation d’un renouveau artistique, la mise en valeur d’une création originale, novatrice, parallèle, l’expression de tous les attributs des artistes singuliers...

17 créatrices singulières + 1 homme ... Une première exposition d’œuvres de femmes de tous âges, travaillant diverses matières et venant de toute la France... Une photographie de la création contemporaine féminine dans toutes ses composantes, avec une présences fortes d’artistes de la Région... 1/3 des artistes résident en Région Nouvelle Aquitaine...

 

 

 


 Carole propose de faire une installation à partir de ces objets et matériaux nobles. Carole Parpillon a suivi une formation en danse classique et en danse contemporaine à Lyon avec A.Astié et à Paris avec différents chorégraphes au CND, TCD. En 98, une formation pour l’enseignement de la danse lui permet de travailler avec des chorégraphes importants tel Philippe Découflé ou Bob Wilson... Elle suit aussi des formations auprès des Plasticiens, M.C. Beck, C. Buri-Herscher, V. Lenouvel. Interventions dansées au Centre Georges Pompidou dans le cadre des parcours «Clin d’oeil». Depuis 1998, Carole est chorégraphe et interprète de la Cie itotoyo. En 2001, Carole plonge dans l’univers du très jeune public. Depuis elle crée et interprète des spectacles tout public à partir de 6 mois et familiaux. En parallèle de la création, Carole mène des projets de sensibilisation à la danse et d’activité d’éveil par la danse. Elle aime se confronter à la matière et se lance facilement des défis telle que la réalisation d’installations d’envergures

 

 

 

 

 Les peintures et les élévations de Carine apportent le lyrisme et l’envolée nécessaires à toutes installations. “L'exploration de la matière équivaut à marcher pieds nus sur la terre comme faire un geste, un mouvement, avoir une sensation... Peindre, sculpter, c'est pareil... C'est envisager un espace défini et y entrevoir tous les passages, tous les paysages... Il y a la présence matérielle, le tissus, le pigment, la terre… c'est le corps, Il y a le goût du passé, les gens autour, la mémoire, l'amour, l'espoir... c'est l’âme, A la rencontre des deux est le geste, le moment présent qui questionne les li mites et le temps qui passe. C'est le lieu où se perdre, se trouver, se retrouver, dans le vide et le silence. A la frontière, tel un funambule...

 

 

 


Sa première passion, la danse, rêve effacé par une grave maladie des poumons à 5 ans, et séparation de ses parents en même temps. Elle oublie en dessinant sur du papier avec des crayons de couleur, sur la table de la cuisine. Ennuie à l’école… les beaux arts ? Sa mère s’y oppose. A partir de là, Évelyne se laisse aller à sa propre expression... Elle expose partout : de New-York à Amsterdam, de Karlsruhe à Bruxelles et dans les grands musées français..

 

 

 

 

 « ...Les sculptures de Hélène Yousse témoignent de la quête du Moi de l’artiste et de son essence existentielle. Sans artifice, jetant en pâture, elle et son besoin de dire, elle créé. Ses émotions résonnent et nous font vibrer, instaurant entre ses œuvres et nous un dialogue muet et puissant. Sa technique, en permanente évolution, lui permet de travailler différents matériaux. L’opacité complexe du bronze, ou au contraire la fragilité obtenue grâce à l’utilisation de matériaux organiques et ou synthétiques nous renvoient à chaque fois à l’image de notre propre carnation, à notre propre devenir de mortel … A chaque fois une nouvelle installation à découvrir...

 

 

 

 

  Dans un premier temps, guidée par la couleur, Laurence compose des tableaux en collant différentes matières perles, bois, boulons, tissus, objets… Puis elle commence à dessiner, et s’en délecte désormais. En partant d’une écriture automatique, elle nous livre le tréfonds de son âme.

 

 

 

 

 

Annie travaille sur le thème de la condition humaine à travers des portraits qui expriment son rapport au corps, à la féminité, à l’apparence physique, au vieillissement.… Ses ressentis psy chiques, mentaux, spirituels… Y compris son rapport au monde, à la culture, etc… Elle est attirée par la terre car ses propriétés sont extraordinairement riches. Elle peut enlever, rajouter, étaler, pétrir, coller, plier et surtout colorer ! Elle expose régulièrement au Salon d’Automne, La biennale 109, Art Capital à Paris, à la BHN de Lyon, etc..

 

 

 


Peintre autodidacte depuis 1982. Elle travaille d'abord essentiellement la miniature sur ivoire qu'elle délaissera au profit de la peinture à l'huile. Des êtres nouveaux apparaissent inconsciemment sur ses toiles prenant la dimension d'une foule en errance, des femmes en grande majorité dont les regards surgissent et nous interpellent avec toujours autant d'acuité. Adèle peint d'un style très personnel, en constante évolution. Membre de nombreux jurys, on la retrouve dans des COLLECTIONS PARTICULIÈRES en France, Belgique, États-Unis, Chine, Allemagne, Brésil, etc..

 

 

 

 

Anouk a toujours aimé lire, écrire et dessiner. Aujourd’hui, elle dessine surtout sur des pages de livres anciens et des matériaux de récup. Elle préfère le dessin à la peinture car cela reste une écriture. “Mon inspiration est intimement liée au support, auquel j'attache une grande importance. Avant je ne voulais pas dessiner sur des feuilles de papier nobles. Pour me sentir libre, j'avais besoin d'utiliser des supports de récupération comme des emballages dépliés, des étiquettes, des pages de livres anciens. Chaque support induit un style de dessin et les pages de livres sont plus propices à la réalisation de portraits, Je ne fais pas le même style de dessins sur les emballages. Je les vois déplier comme une sorte de théâtre très adapté à la narration d'une histoire avec de nombreux personnages.” Elle est présente dans de nombreux musées et collections..

 

 

 

 

“Je suis née en conscience ce jour là. Et à partir de ce moment, je garde gravés profondément mes souvenirs. L’enfance n’a donc rien d’abstrait, car elle est aussi proche de moi que mes vingt ans, mes trente ans. Ce que fait le mieux le cœur d’un enfant, c’est s’exprimer par l’art et vivre intensément l’instant présent. J’ai cheminé, appris de mes expériences, passé des portes, rempli des pages, affronté mes démons, subis des pertes. Pourtant, je reste fidèle à cette essence, celle de s’émerveiller d’une pâquerette ou d’une lumière, de rire pour le simple plaisir de rire.”

 

 

 


“Peintre autodidacte, je ne suis passée par aucune école d'art. Je me souviens avoir toujours dessiné, pas plus que ça. Le temps passe ... L'Art devient plus important en 2005 quand je m'inscris à un cours d'Arts Plastiques. C'est une révélation. Ma première expo se fait en 2007. Je dessine et peins suivant les émotions du moment : Joie, tristesse, mort, violence ... Quotidiennement submergée d'images morbides, j'ai besoin d'exprimer toutes les choses qui me sont insupportables et de le crier sur la toile : visages, personnages ravagés par la tourmente, angoisse, mal être .... Dominique est présente sur de nombreux événements Arts Singuliers en France.

 

 

 

 

Elle commence à peindre vers l’âge de 16 ans. En passant de la gouache au collage pour arriver aux tableaux en relief, sortes d’enluminures de la récupération, elle embaume, enfouit des morceaux de jouets de son enfance… Jusqu’à des grandes toiles où se juxtaposent des moments de vie. « Je ne sais pas si mon œuvre est triste ou gaie ; elle est telle que je vois la vie. Il y a des gens que mes créations angoissent… Normal, les œuvres libres terrorisent les oppressés, les trouilles-arts, ça les fait pâlir de voir ce naturel, cette vérité criée là. » 

 

 

 


Née en Afrique du Nord, Huguette étudie aux Beaux-arts d'Aix-en-Provence en 1962. Elle apprend les techniques de la laque en travaillant avec un peintre asiatique ; puis les tech niques de l'eau forte et de la gravure sur métal au Canada ; la tapisserie haute lice, les textiles, la terre et la lithographie à Paris. Après quelques années professionnelles, elle se consacre totalement à la peinture. Elle participe à de nombreuses expositions et salons en France et à l'étranger. Depuis 1980, installée à Vincennes, elle participe à la création de nombreux ateliers en Arts Plastiques dans le cadre de l’Éducation Nationale. Elle prolonge son travail de peintre par des incursions de plus en plus nombreuses dans la sculpture réalisée en papier mâché polychrome, en résine en terre et en assemblages de bois. Exposée régulièrement en galeries à Paris, en Province et à l’Étranger, on la retrouve dans des collections privées et publiques et en Musée en France et à l’Étranger



Monique est conviviale, gaie, rieuse même. Néanmoins, à considérer son œuvre, il semble que Monique Le Hingrat porte en ses gênes les dramatiques réminiscences d’une enfance passée à côtoyer la mort, fût-elle liée au décorum des Pompes Funèbres… Le noir intense de la mort s’est mué en bleu. Car le bleu est sa couleur. Pour l’artiste, rien de religieux ne vient hanter ces lieux ; et ces êtres ne sont pas des anges ; même si, dans ces ambiances chargées de mysticisme, ils seraient parfaitement chez eux ! Alors, pourrait-il s’agir de tous les morts de naguère dont le défilé dans le funérarium paternel perturba si fort ses jeunes années ? Monique est présente dans de nombreuses collections et musées.

 


 

Claudine est bien connue des personnes qui fréquentent le centre de Création Franche à Bègles. Elle pratique la gravure, peint à la gouache et à l'acrylique, dessine à l'encre de Chine, réalise des triptyques dont le cadre est un prolongement pyrogravé de l'œuvre. Elle illustre également un nombre considérable d'ouvrages de poésie. Discrète, elle nous offre à voir, avec grande délicatesse, la quintessence de sa rêverie infinie. Dans notre époque où les gens veulent en dire plus qu’ils ne peuvent, il devient de plus en plus rare de trouver des œuvres denses, discrètes, riches en multiples significations, capables d’attirer une attention soutenue. Celles de Claudine, toutes de pudeur, de réserve et de subtiles observations, émergent de toutes celles exubérantes et déferlantes qui étalent tripes et conscience sur la place publique…


 

 

Valérie utilise sa machine à coudre pour délimiter l’espace dans lequel elle nous emmène : son monde intérieur très personnel, plein d’imagination, quelquefois proche de la science-fiction. Elle utilise du carton sur lequel elle pique à la machine, des crayons de couleur, des stylos, de l’encre de chine, de l’acrylique ou tout simplement de la peinture pour les murs. Elle nous fait voyager aux confins du fantastique et de l’onirique, un univers peuplé d’animaux plus ou moins imaginaires, de fantômes et de « bestioles » quelquefois monstrueuses. Les réalisations de Valérie sont pleines de délicatesse, de spontanéité et de fraîcheur qui nous font du bien. La trame est souvent noire mais les couleurs vives et bien maîtrisées l’emportent sur le « noir de sa vie » qui ne l’a pas toujours gâtée…

 

 

 

 


Claire poursuit depuis de nombreuses années, une recherche personnelle en lien avec l'inconscient et les cultures du monde, vastes et infinis horizons, au sein desquels elle a posé ses propres jalons. La couleur, sa matière première, constitue l'approche initiale de son œuvre dans un saisissement immédiat, avant que ne se révèlent les formes et les symboles, les bestiaires fantasmagoriques et les corps transfigurés qui peuplent ses tableaux… Révéler la beauté dans un monde en crise, l’extraire même en sa propre absence, puiser dans ce que l’être humain offre de plus lumineux depuis ses origines et malgré ses tourments, œuvrer sur les communs archétypaux, tel est le propos de son œuvre, axée sur une recherche de la lumière. Claire Richez partage son temps entre son activité d’artiste peintre, l'animation d'ateliers spécialisés, et l’organisation d’événements culturels

 

 

 

 Danielle Compère, autodidacte, est née à Limoges en 1950 et vit à Flavignac.
Elle travaille principalement sur des supports papier, des toiles, des emballages de récupération.
Jusqu’à aujourd’hui, Danielle a toujours voulu préserver son monde du regard extérieur.
Un univers d’imbrication de formes, de couleurs qui explosent.
L’humain, l’animal, le végétal, tout est en lien. Danielle raconte toute son histoire. 

"Le monde que je peins est un refuge. Je commence par les traits, des fils que je tisse, puis je me glisse dans les formes, et leur donne vie par les couleurs."

 

 

DEUX HOMMAGES SERONT RENDUS :

A CAROLE BONAVENTURE

Carole est partie il y a un an maintenant, mais son œuvre reste parmi nous. Gaie, enjouée, le rire toujours sur les lèvres, elle aimait la vie et la croquait à pleines dents. Ses petites histoires quelles nous racontent à travers ses céramiques sont l’expression de la vie quotidienne, mais créées avec beaucoup d’humour. La couleur est partout, le décalage aussi, ces personnages sont gais, espiègles, prêts à toutes les farces. Nous ne l’oublions pas.

 

ET A JOËL BAST 

Parce qu’il est important d’intégrer les commerçants, artistes et artisans du village dans l’événement et de s’approprier une démarche artistique... Des présences féminines prendront place au détour d’une table de restaurant ou d’un atelier de mécanique..



Nous nous devons d’être un relais, un passeur pour les artistes féminines implantés sur la commune telle que : Claudine Guibert, Frédérique Thomas, Etc... Installer une ou deux pièces de chacun dans l’expo pour informer les visiteurs de leur présences dans le village afin d’inciter le public à leur rendre visite dans leurs ateliers


LE SITE DE MAISON MARGUERITES

LA PROGRAMMATION

(cliquer)


Maison du Patrimoine

4 route d’Aigre
16140 TUSSON


Du 24 juin au 21 septembre 2025

Jusqu’au 31 août
Mardi : 14h30-18h00
Du mercredi au dimanche : 10h00-12h30 / 14h30-19h00
En septembre
Vendredi, samedi, dimanche : 10h00-12h30  /  14h30-19h00
Entrée Libre


Contact

06 80 67 59 82 ou 07 71 35 15 45


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