mardi 5 novembre 2019

JEAN-LOUIS CERISIER EXPOSE AU CHATEAU DU PARC ANGER A REDON


Voici une exposition que je ne pourrais aller voir mais qui me fait bien envie et que je vous conseille !
J'attends vos retours et vos photos ! 




Je suis né à Châteaubriant en Loire-Atlantique en 1957. Je crée depuis l’âge de 15 ans. Autodidacte, je me suis formé au gré de découvertes et de rencontres artistiques.
         Je tisse la toile de ma vie entre quatre ancrages, mes quatre M (Aime) : Catherine, ma compagne à Montrouge ; mes racines artistiques en Mayenne ; ma maison à Marlais en Brière ; mon atelier à Malansac dans le Morbihan.
Je poursuis mon chemin sur la voie d’une création libre. J’explore des possibilités nouvelles d’expression, cherchant à traduire mon interprétation poétique des vibrations du monde.
L’exposition au château du Parc Anger à Redon m’offre l’opportunité d’une deuxième exposition en Bretagne.
Jean-Louis Cerisier













Jean Louis Cerisier

 Né le 21 mai 1957 à Chateaubriant en Loire-Atlantique, Jean-Louis Cerisier a passé son enfance et son adolescence en Mayenne. Ses premières réalisations artistiques remontent à 1972. Il rencontre en 1974 le peintre Jacques Reumeau. Il se façonne une culture artistique en autodidacte par ses lectures,au contact des œuvres qu’il découvre. Il complète sa formation auprès des peintres lavallois.
Dans les années 1980, il découvre les œuvres de Tatin, Lacoste, Nitkowski, Hernandez, Sanfourche, Nidzgorski, étendant ainsi ses centres d’intérêt au domaine de l’art singulier. Remarqué par Gérard Sendrey, il exposera au site de la Création Franche à Bègles en 1994, 1998, puis une nouvelle fois dans ce musée en 2011. Ses œuvres entreront dans la collection permanente du musée.
En 1992, au terme d’un séjour de trois ans en Pologne où il a exercé le métier d’instituteur, il part à la découverte des créateurs inspirés autodidactes en région Pays de la Loire. Les résultats de ses recherches, qu’il aime qualifier d’ethno-artistiques, sont publiés dans la revue 303. Dans l’une de ces publications (Mondes insolites et créations artistiques, La Mayenne à l’œuvre, Revue 303, nos 57 et 58, 1998),  une première synthèse de ses recherches est proposée, complétée par deux conférences à Laval, à la Maison du Tourisme en 1997 et au musée d’art naïf et des arts singuliers MANAS en 2013.
Son intérêt particulier pour les œuvres des autodidactes, ne le quittera plus. Il conçoit dorénavant la création comme un objet de rencontre et de mise en relation entre les artistes. En 2013, il fonde avec des amis l’association CNS53, Création Naïve et Singulière. Depuis cinq ans celle-ci organise une ou deux expositions annuelles dans le domaine de l’art singulier, principalement au musée de la Perrine à Laval et à l’étranger.
 Jean-Louis Cerisier a d’abord puisé son inspiration chez les surréalistes puis chez les primitifs italiens et les maîtres de l’art naïf. Il réalise d’abord dans les années 1970 des dessins d’inspiration fantastique au stylo, à la plume et à la gouache. Dans les années 1980-90, il  met en scène des personnages dans des intérieurs ou des cadres urbains. Depuis les années 2000, il se diversifie, explorant les possibilités offertes par différents supports : le collage, le surlignage,la composition par assemblages de matériaux de récupération, le dessin etla peinture sur des supports variés, ardoises, radiographies, ….Son œuvre est ancrée dans la figuration poétique.



JUSQU'AU 16 NOVEMBRE

Ouverture en présence de l’artiste
du mardi au vendredi de 14h30 à 18h
le samedi de 10h à 12h30 et de 14h30 à 18h



JEAN-LOUIS CERISIER ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

JEAN-LOUIS CERISIER


(cliquer sur les liens)


Le  jeudi 7 novembre 2019 à 18 h, rencontre lecture et dédicace avec Annick Walachniewicz et Jean-Louis Cerisier


         Le vernissage de l'exposition de Jean-Louis Cerisier sera précédé d’une rencontre avec l'auteure Annick Walachniewicz  et d’une  lecture et dédicace de son roman "Il ne portait pas de chandail" dans lequel elle explore le passé de son père, réfugié polonais déporté pendant la Seconde Guerre Mondiale. Un roman poignant sur la mémoire, la vie, la mort, l’exil et le pouvoir thérapeutique des mots.  
         Jean-Louis Cerisier présentera lors de cette soirée le carnet de dessins qu’il a réalisé à partir du texte d’Annick Walachniewicz. 
 Une rencontre rare et puissante.

En voici quelques uns en avant-première ...









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