CONFINEMENT # 18...DECONFINEMENT # 13 ...RECONFINEMENT

Quelques mois se sont écoulés ....

17 mars ...vendredi 30 octobre  et aujourd'hui

Qu'ils évoquent l'odieux virus, leur façon de l'anéantir, l'enfermement, les masques ...

Ou qu'ils se lancent dans des publications quotidiennes : une œuvre par jour pour compter les jours.  

Voici aujourd'hui sur les Grigris le nouveau  post sur le nouveau confinement...

" L'essence même de l'art est de savoir faire naître des images d'espérance."

 

 *** LE BEAU CADEAU DE FRANÇOIS SCHMIDT

Le feuilleton "BAMBOUS" qui en comptera 13. Chaque soir, imprimez le dessin paru (clic droit sur le dessin, copier l'image et l'enregistrer). A la fin, vous obtiendrez une bande de 4 mètres x 22 cm (que vous pourrez consommer en tranches fines avec une sauce barbecue ou un Aïoli ). A vos imprimantes ! (Chaque dessin mesure environ 31 cm x 22 cm). 

A découvrir sur sa page Facebook ICI 

 

 ***Connaissez-vous le mukimono ?

 

Si on ne sait pas exactement de quel pays elle vient, cette technique ancestrale consistant à sculpter des fruits et légumes, était déjà pratiquée au Japon au XVIème siècle.

L’artiste japonais Gaku est, sans aucun doute, un maître en la matière…

 

 

 

 

 *** MARIE PELTIER

 

 

 

 

*** JIMMY LAWLOR 

 

 

 *** MIKYOUI OO

*** UN TEXTE D'ERIC EMMANUEL SCHMITT "SE TAIRE AVEC LES GENS QU’ON AIME"
            Bien sûr, il y a le téléphone. Bien sûr, il y a le tête-à-tête en vidéo. Bien sûr, je reçois la voix et l’image grâce aux techniques qui assurent un contact à distance. Fort heureusement, je ne suis pas, tel un homme du XVIIIe siècle, condamné à écrire une lettre que la poste à cheval acheminera en une semaine, et dont la réponse m’arrivera une semaine plus tard. Je profite de la communication instantanée.
Mais le son et l’écran ne m’offrent pas mon interlocuteur tout entier, ils le réduisent à un ersatz bidimensionnel et métallique. Un corps est bien davantage qu’une image. La vidéo nous prive de la présence, de la chair, de sa chaleur, de ses vibrations.
Durant ce confinement, ce qui me manque, ce n’est pas de parler, mais de me taire avec quelqu’un que j’aime. Laisser palpiter l’émotion entre nous. Permettre aux derniers mots d’occuper pleinement le silence. Partager le moment sans discourir. Toucher une main, une joue. Respirer le même air. Entendre battre nos cœurs dans ce lieu sur la Terre.
Avec mes proches, je le goûte, ce miracle précieux de la rencontre. Et je le goûterai encore mieux, avec le souvenir du manque et la volupté de l’instant, quand le cercle des proches s’élargira de nouveau.

 LE CONFINEMENT ET LES GRIGRIS

(cliquer)

 

 *** ET DES ANONYMES ....

 

 SUR RADIS NOIR ....