dimanche 31 octobre 2010

LES PLAGES D' AGNES



Merci Antoine pour ce beau cadeau !
Revivre le film en lisant le livre fut un nouveau bonheur ....

samedi 30 octobre 2010

AVEC FRANCK DUVAL JE VOIS LA VIE EN BLEU !



" Dans la ville, en passant au détour d’une rue, vous apercevez au loin une silhouette qui se détache du paysage urbain. Sa couleur vive et son allure dynamique vous attirent. Vous vous approchez, et c’est finalement du vieux papier que vous découvrez. L’oeil se promène, séduit par ces brides de vies des années 20 aux années 70 qui apparaissent au travers de ces papiers déchirés et assemblés.
« Street artist collagiste », FKDL fait ainsi vivre une série de vingt personnages sur les murs de la ville. Passionné de vieux papiers, il anime sa « petite famille » par la récupération, le collage et la peinture.Sa technique originale de collage, qui se démarque dans l’univers du street art, joue avec plusieurs niveaux de lecture, pour mieux nous surprendre. À nous, passants, de lire entre les lignes ! "




UNE BONNE NOUVELLE FRANCK DUVAL SERA A REIMS, A LA GALERIE DU CARDO, LE VENDREDI 12 NOVEMBRE POUR UNE DEDICACE DE SON DERNIER OUVRAGE


FRANCK DUVAL sur LES GRIGRIS DE SOPHIE :

http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2008/08/dcouvert-avec-bonheur-grce-au-blog.html


http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2009/10/franck-duval-et-metro-monde.html


http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2009/01/franck-duval-colle-en-corse.html







http://www.fkdl.com/blog/

http://www.fkdl.com/

vendredi 29 octobre 2010

LA MERCERIE DE MICHEL JEANNES

J'ai reçu un jour un mail de mon Isabelle :
" j'ai appris hier dans une conférence l'existence de MICHEL JEANNNES , homme qui fait du bouton le "plus petit objet culturel commun".
j'ai aussitôt pensé à toi, regarde ça ! "


Google a fait le reste !



" Depuis 1997, MICHEL JEANNES développe le concept de « Zone d’Intention Poétique » (Z.I.P.) autour du bouton, objet usuel envisagé comme « Plus Petit Objet Culturel Commun » (PPOCC).
Co-fondateur et chargé de projets artistiques de La Mercerie-construction sociale par l’intervention artistique, il intervient dans les territoires physiques ou symboliques les plus divers, et plus particulièrement, depuis 1998, sur le quartier de la Duchère à Lyon où il instille, en sollicitant la participation des habitants, une « dynamique poétique révélatrice de culture commune ».
Ses travaux, transdisciplinaires, explorent et définissent des espaces interstitiels et utilisent tous les supports d’inscription et de diffusion, depuis l’entretien et la conférence, le projet pédagogique, la micro-performance, l’émission radio, le spot TV, la vidéo, le texte, l’événement, l’exposition, le site internet."





Un texte de Cecilia de Varine:
" Beaucoup de ceux qui sont en exil n’ont rien pu emporter avec eux. Ni souvenirs, ni affaires, ni photos.” Juste la chemise qu’on portait sur le dos.”, disent-ils. Ici, ils attendent parfois plusieurs années sans avoir le droit d’exister. Ils attendent qu’on leur dise si , oui ou non, ils sont admis sur le territoire européen. Ce sont donc des hommes sans terre qui espèrent un lieu pour se poser et prendre appui. Si on leur dit oui, ils resteront avec nous, ici, en Europe. Si on leur dit non, ils continueront à errer autour du monde et à attendre un peu plus loin. J’ai trouvé ce bouton le 17 avril 2000. Il était enfoncé dans l’herbe abîmée, au pied du foyer d’hébergement provisoire des demandeurs d’asile, à Vaulx-en-Velin. Il était à fleur de terre, rond comme le monde et si petit. Je me suis dit qu’il avait dû tomber d’une chemise de l’un d’entre eux. Je n’ai pas voulu le coudre pour ne pas lui faire perdre le peu de terre qu’il a su s’approprier dans son exil. "

jeudi 28 octobre 2010

mercredi 27 octobre 2010

OU MANGER A GAMMELSTAD EN SUEDE ?

Si vous allez en Suède n'oubliez pas de visiter le charmant village de GAMMELSTAD !

" Gammelstad, au fond du golfe de Botnie, est l'exemple le mieux préservé d'un type de ville unique répandu dans le nord de la Scandinavie, la ville-église. Ses 424 maisons en bois serrées autour de l'église en pierre du début du XVe siècle n'y étaient utilisées, en effet, que les jours de culte et de fêtes religieuses par les fidèles venus des campagnes environnantes que l'éloignement et des conditions naturelles difficiles empêchaient de rentrer chez eux. "




Sans hésiter au Margaretas Värdshus !

Le midi le menu à 10 euros propose les mêmes plats que le soir c'est à dire un fabuleux repas !
Nous nous sommes régalés, le cadre est magnifique et le service très plaisant.
Nous avons mangé ce jour là un Norrbottenstallrik (Lax, sikrom, rippaté, ren, björn) DÉLICIEUX !!!!

mardi 26 octobre 2010

LE MUSEE D'ART NAIF DE BERAUT


" Tout ce qui est vrai n'est pas naïf mais tout ce qui est naïf est vrai, d'une naïveté piquante, originale et rare"a dit Diderot









Un musée à visiter pour la petite salle d'ART BRUT ....




* CAROLYN LAMMERT






* MANERO








* CHRISTIANE ALANORE


*MONIQUE LE CHAPELAIN


* BEDARRIDES


* BASI


* PIERRE CARESSE




* GINTINGS




MAN

Musée d'Art Naïf, marginal et populaire

Château d'Ensoulès

32100 Béraut




dimanche 24 octobre 2010

AUGUSTE, LE FIL INTERROMPU A LA GALERIE DU CARDO


LA GALERIE DU CARDO propose un apéritif dédicace le jeudi 28 octobre 2010 à 18h30 !

A l'honneur la présentation d'une édition de l'atelier Recto Verso "Auguste, le fil interrompu ".
Ce livre écrit par Marie Odile GUY comporte neuf gravures originales de Marie Christine Bourven . J'ai eu la chance de le découvrir à l'Atelier Recto Verso mercredi et je suis tombée sous le charme des gravures ...
C'est un superbe livre d'art !
Pour le plaisir tout simplement ou comme cadeau à offrir ou s'offrir ...

" Auguste Marcot et Lucie Dupays, mes grands-parents, se marièrent il y a cent ans. Lucie conserva précieusement sa collection de cartes postales, complétée par celle de son époux. Au verso des cartes, je découvris une correspondance : un puzzle à reconstituer, une trame de vie, un fil interrompu… Par un bel été de 1916, au beau milieu de la guerre, quelque part dans la Somme… C’est ainsi que commence le livre. Auguste, depuis son lit d’agonie, revoit des fragments de sa vie. Munie de quelques éléments réels, photographies, objets, livret militaire et surtout des 845 cartes postales de la collection de Lucie, l’auteur Marie-Odile Guy a pu reconstituer la vie de son grand-père. L’idée du puzzle a inspiré l’artiste-graveur Marie-Christine Bourven qui a réalisé pour chacun des 25 exemplaires linogravures et eaux fortes. La plus grande plaque, après tirages sur papier, a été découpée pour en faire un puzzle disséminé dans le livre. Ce travail, écriture et gravure, a permis de faire le portrait d’un homme de son temps dont le fil d’un avenir prometteur s’est brutalement interrompu, à l’image des millions de sacrifiés de la Grande Guerre. "
http://www.galerie-du-cardo.fr/
http://www.destampes.com/at/AimeCBAime/

samedi 23 octobre 2010

MA COQUE DE BOUDHA





Ma coque de Boudha ...cadeau rare et précieux !
MERCI BAKOU ET MARIE !

Aux Mains Vertes
15 rue saint Jacques
59800 Lille

vendredi 22 octobre 2010

UN CADEAU POUR ANNIE


Le trèfle à quatre feuilles

La légende dit qu'Eve portait un trèfle magique quand elle fut chassée du paradis. Quant aux chevaux de Zeus, ils en tiraient toute leur force. Pour les druides celtiques, cette plante était sacrée, éloignant les mauvais esprits de son heureux propriétaire. Plus concrètement, c'est à sa rareté que le trèfle à quatre feuilles doit son statut de porte-bonheur. En le portant sur soi, on s'attire espoir, foi, amour et chance, quatre pouvoirs correspondant chacun à une feuille.

jeudi 21 octobre 2010

RAYMOND LOEWENTHAL ET CHRISTIAN LAPIE


Ce vendredi 15 octobre la place Stalingrad à Reims a accueilli des œuvres monumentales de l’artiste CHRISTIAN LAPIE .

"Les structures de Christian Lapie ont pris possession du musée des Beaux- arts dès 2002. Elles se dressent en groupe dans la cour.
Les figures de Christian Lapie sont extraites d’imposants troncs d’arbres qu’il choisit pour la rectitude de leur fût, puis fendus manuellement, taillés à la tronçonneuse en forme humaine, recouvertes d’une gangue sombre qui les charge d’intemporalité. L’imbrication des figures totémiques au centre du bâtiment suggère la possible ouverture de la cour aux rues avoisinantes, autorise le dialogue avec la vie de la cité, entre l’histoire présente et passée… vers un renouveau d’espérance de l’homme « re-dressé » sur ses cendres.

Vous pouvez également retrouver les œuvres monumentales de l'artiste « la constellation de la douleur », près de la Caverne du dragon sur le Chemin des Dames !"



Ce même 15 octobre 2010, et ceci jusqu'au 13 décembre 2010 , le Musée des Beaux Arts de Reims présente " L'ATELIER DE TOUS LES VENTS " une exposition consacrée à une rencontre, celle du photographe RAYMOND LOEWENTHAL et du sculpteur CHRISTIAN LAPIE .

RAYMOND LOEWENTHAL a au fil des saisons suivi le sculpteur dans son travail, il a aussi sillonné la France dans une quête des oeuvres et des lieux .

J'ai eu la chance de découvrir ces photos en avant -première mais les voir habiter une des salles du rez-de-chaussée du Musée fut pour moi un moment de grande émotion.








" Une nouvelle œuvre de CHRISTIAN LAPIE est installée à Reims, là où le tramway pénètre dans le cœur de la cité . A cette occasion, le Musée des Beaux-Arts de Reims présente le travail que RAYMOND LOEWENTHAL réalise depuis 3 ans sur le lieu où l’ensemble de cette œuvre est conçu dans la concentration de la pensée créatrice et réalisé dans la violence d’un travail de force. Ce, dans les lumières changeantes des saisons, les atmosphères des matins de givre ou les brumes douces qui flottent sur la Vesle, l’or rouge du dernier soleil, la blancheur des neiges inattendues , les fumées qui s’élèvent des champs où l’agriculteur prépare les semailles. A l’affût des ciels qui s’éclairent ,des ombres qui passent,des saisons qui s’achèvent Il cherche à saisir le dialogue intime entre ces figures noires, signes universels qui lancent à tous les horizons appels et interrogations et cette campagne silencieuse, témoin de ce surgissement. Il observe comment ces troncs enlevés à leur forêt, dévêtus de leur écorce , fendus par le coin et la masse et la force de l’homme , taillés et retaillés et sculptés dans une proximité fraternelle et la chaleur d’un toucher brut prennent silhouette peu à peu, pour se dresser par la suite , altiers et définitifs à scruter les confins , vigiles à l’orée de nos oublis ou passeurs d’espérances en tous ces lieux, proches où éloignés, où ils sembleront profondément enracinées en leur terre d’accueil ."


J'imagine et je devine CHRISTIAN LAPIE ... heureux !






RAYMOND LOEWENTHAL est à l'honneur sur Reims puisqu'il sera aussi à partir du 12 novembre 2010 à la Galerie du Cardo !


LE SITE DE RAYMOND 

LE SITE DE CHRISTIAN

LA VILLE DE REIMS


RAYMOND LOEWENTHAL sur LES GRIGRIS :

ICI 
 ET LA 

(cliquer sur les liens)


* "L'ATELIER DE TOUS LES VENTS" sera proposée à Aachen du 15 avril au 19 août 2011
Vernissage le 14 avril à 19 heures !


mercredi 20 octobre 2010

HURFANE ET LA FEUILLERAIE (DETAILS)

Quelques détails techniques donnés par HURFANE :
« C’est très simple. On fait d’abord, sur un carton, un dessin du sujet principal. On en reproduit les contours sur le support puis on choisit les couleurs. On se met à tailler les matériaux avec une petite pince de carreleur et on les assemble avec de la colle.
Les motifs difficiles, qui requièrent un long travail de mise au point (personnages, animaux) sont d’abord préparés en atelier sur un support provisoire (filet de verre) qui est ensuite scellé avec du ciment sur le support définitif.
Les matériaux sont surtout des pâtes de verre d’Italie, des émaux de Briare , du grès cérame, parfois quelques morceaux de faïence ou de porcelaine. »


mardi 19 octobre 2010

LA FEUILLERAIE ET HURFANE

La visite de LA FEUILLERAIE fut notre premier bonheur de cet été 2010 .
L'accueil fut chaleureux et la visite passionnante !

" Oui, nous sommes encore dans le Perche ! En plus de ses beautés naturelles et de son patrimoine historique, le Perche a vu se construire, petit à petit, en un quart de siècle, un site insolite qui émerveille les visiteurs : Des Jardins de Mosaïques entourent désormais ce qui fut une petite ferme percheronne. C’est un décor de conte de fées, où les bêtes heureuses de nos contrées font place peu à peu à une méditation sur la vie et le temps qui passent. C’est l’œuvre d’une artiste, HURFANE, née en 1927, et mosaïste sur ses vieux jours. Après en avoir rêvé, par jeu, pendant une cinquantaine d’années, HURFANE a pu enfin passer à l’acte en 1980. Le site est inscrit au Patrimoine National du XXème siècle depuis l’an 2000. En 2007, HURFANE a fait don de sa propriété à la Communauté de Communes du Perche Thironnais. Selon l’expression des visiteurs, les Jardins d’HURFANE sont tantôt « Pompéi au Perche », tantôt un Orient plus lointain…. mais c’est toujours le Paradis."





« Tous ces bâtiments au milieu des champs de blé constituaient autrefois une ferme.
On les a d’abord restaurés. Ce n’est qu’au début des années 80 que l’on a entrepris la création du premier jardin : un bassin central, autour duquel se sont organisées les autres structures, par une sorte de nécessité logique.
Vous rencontrerez l’auteur de tous ces travaux, à la fois terrassier, maçon, architecte, mosaïste : c’est HURFANE (née en 1927) qui a réalisé ici un vieux rêve d’enfance, car sa mère, douée pour tous les arts, avait, dans sa prime jeunesse , décoré de mosaïques sa maison de Provence . Mais le rêve d’HURFANE s’est animé comme un jeu purement mental pendant prés de cinquante ans.
On commence donc la visite par LE JARDIN ROSE, en examinant bien tous les détails du décor. C’est un peu le chant de la Terre, avec les hommes, les bêtes, les feuilles, les fleurs, jusqu’au bâtiment du fond dans l’escalier, orné d’un chemin de fleurs, représente les douze mois de l’année, depuis décembre, tout en bas, avec le houx, jusqu’en Novembre avec les chrysanthèmes.
On remonte ensuite pour trouver LE JARDIN BLEU d’une inspiration toute différente. Plus libre, plus exotique, il chante la mer, le voyage, le temps, l’espace, les méandres de l’existence. Arrêtez vous devant le cadran solaire. Le personnage en marche est le Temps, Pèlerin de l’éternité, vu dans la lumière du présent, alors que de chaque côté s’étend la nuit des temps. Devant lui au sol quelques constellations et l’allée sur laquelle vous marchez figure l’océan des âges. »