Dans le cadre des Extras, programme arts visuels de la Ville de Reims, nous avons pu découvrir, au travers d’un parcours mêlant performances, expositions et concerts, de nouveaux artistes .
J'ai aimé le travail de JOSEPH TERON
" Mon travail tente d’établir le potentiel d’un milieu entre le corps et l’espace en révélant ce qui se joue entre ces deux entités.
J’essaie, à travers chaque série de sculptures, de volumes et de dessins, de redéfinir notre espace quotidien en le transposant dans un ailleurs : l’œuvre et son exposition. En d’autres termes, c’est questionner ce que l’on nomme «ici».
Ma démarche vise à révéler l’espace comme jeux de rapports en exposant une double relation : entre les objets et les corps ; entre les objets entre eux.
Ma pratique mêle les notions d’espace et d’étendue, d’horizon, de structure et d’échelle à l’intérieur desquelles j’invite le spectateur à déambuler sans prescription. Elle s’inspire des paysages naturels et culturels qui nous entourent. Par elle, Je veux explorer et faire explorer l’épaisseur d’un lieu. J’entends par là l’ensemble des représentations superposé à la réalité d’un lieu. C’est pourquoi mes dispositifs sculpturaux sont pensés comme les prolongements d’une architecture ; leurs dimensions intègrent celle du visiteur, son parcours et sa présence.
Ma dernière réalisation «carte blanche» a été l’occasion d’explorer de nouvelles dimensions : le travail à grande échelle d’une part et l’aspect performatif d’autre part : là où le corps intègre et donne son ampleur à l’œuvre. C’est dans ce sens que j’entends continuer mes recherches."
J’essaie, à travers chaque série de sculptures, de volumes et de dessins, de redéfinir notre espace quotidien en le transposant dans un ailleurs : l’œuvre et son exposition. En d’autres termes, c’est questionner ce que l’on nomme «ici».
Ma démarche vise à révéler l’espace comme jeux de rapports en exposant une double relation : entre les objets et les corps ; entre les objets entre eux.
Ma pratique mêle les notions d’espace et d’étendue, d’horizon, de structure et d’échelle à l’intérieur desquelles j’invite le spectateur à déambuler sans prescription. Elle s’inspire des paysages naturels et culturels qui nous entourent. Par elle, Je veux explorer et faire explorer l’épaisseur d’un lieu. J’entends par là l’ensemble des représentations superposé à la réalité d’un lieu. C’est pourquoi mes dispositifs sculpturaux sont pensés comme les prolongements d’une architecture ; leurs dimensions intègrent celle du visiteur, son parcours et sa présence.
Ma dernière réalisation «carte blanche» a été l’occasion d’explorer de nouvelles dimensions : le travail à grande échelle d’une part et l’aspect performatif d’autre part : là où le corps intègre et donne son ampleur à l’œuvre. C’est dans ce sens que j’entends continuer mes recherches."
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