Le Festival ORBIS PICTUS fait partie des indispensables bonheurs d'une année rémoise !
L’art et la création sont des espaces fédérateurs d’émotions et de réflexion, aussi singuliers que précieux. Et chaque geste de création est un geste de recherche, d’introspection, d’immersion, un geste vers le public en quête de liens nouveaux et captivants.
Convivial et populaire, Orbis Pictus provoque une rencontre forte entre le public et la marionnette contemporaine en invitant:
– Des artistes internationaux et de jeunes révélations,
– Des formes brèves innovantes et audacieuses,
– Des installations plastiques
– Des performances ancrées dans la mixité caractéristique de l’art marionnettique d’aujourd’hui.
Faire exister un festival comme Orbis Pictus, c’est s’engager dans un geste qui enrichit le travail artistique avec une vision transversale de l’art et du travail de création. C’est faire vivre notre ville et le Palais du Tau du même élan qui embrasse la Région Champagne-Ardenne et fait rayonner notre territoire au niveau international d’une aura marionnettique.
Entre la dynamique impulsée à Orgeval Pictus, véritable exercice de métamorphose urbaine ; jusqu’à l’animation du Palais du Tau, patrimoine d’exception ; en passant par une déambulation marionnettique au coeur de la ville et des rencontres professionnelles foisonnantes qui questionnent cet art et ses spécificités, Orbis Pictus reste une invitation au songe et à l’évasion pour tous."
Angélique Friant & David Girondin Moab
"De l’autre côté de la table, la couturière raconte ses origines lointaines et dévoile de fil en aiguille et de bobines en boutons, l’histoire d’une famille de migrants."
* La fabrique marionnettique
" Chaque année le festival Orbis Pictus invite un plasticien-marionnettiste à installer son atelier au sein du Palais du Tau, dans une petite salle, au détour d’un escalier en colimaçon. On découvre une partie du secret des secrets. Entre les mains des marionnettistes, la matière se travaille, se transforme et prend vie. Comment se fabrique une marionnette, qu’est-ce qu’un objet marionnettique, quels sont les matériaux d’aujourd’hui ? Outre des réponses à ces questions, vous pourrez observer les techniques de construction d’une marionnette et les nombreuses étapes qui précèdent l’objet fini."
Avec ici Paulo Duarte
" La Femme blanche, c’est une présence et une intensité à fleur de peau; une poésie visuelle en contre-point du temps et de l’espace où le silence vient toucher l’âme. En une succession de tableaux vivants, le personnage à la fois femme, enfant et vieille, loup et corbeau évoque la beauté de la solitude profonde.
Avec La Femme blanche, Magali pose un regard tendre sur la solitude en tant qu’espace privilégié pour multiplier les rencontres de soi.
Faisant le pari du silence, de la lenteur et de l’absence de ligne narrative, elle donne le plein pouvoir d’évocation à sa poésie; captant l’attention et suscitant l’émotion chez les spectateurs par un enchaînement d’images et d’allégories."
"Matija Solce est un manipulateur hors pair : d’os et d’objets inanimés, tel un alchimiste, il donne vie aux personnages et aux émotions.
Sans avoir recours aux mots, avec la seule musicalité du spectacle, il rend compréhensible pour tous l’histoire de simples ossements qui racontent leurs histoires de solitude.
A chaque seconde les perceptions du spectateur changent, de petites partitions dans un style Dada aux comédies noires, de surprises en éclats de rire… jusqu’aux retrouvailles finales avec un jeu plus fondamental : celui de la mort."
"Kumo signifie nuage en Japonais.
Elégance, légèreté, onirisme, les qualificatifs manquent pour décrire ce personnage qui semble flotter sur scène.
Son déplacement presque fantomatique perturbe et transporte. Le mime et la dansent s’associent au jonglage contact, au pliage et froissage de papier et à la manipulation de lumière"
"Ne paniquez pas, respirez profondément, nous sommes tous névrosés. Zelda peut vous montrer des gens pires que vous et les soigner. Elle a même peut-être un message personnel pour vous."
* Pygmalion Miniature – TJP de Strasbourg
" Pygmalion Miniature est une histoire d’amour impossible.
Pygmalion, sculpteur solitaire, tombe amoureux de sa création. Porté par le désir de la voir s’animer, il y croit tellement que son vœu finit par s’exaucer. Inspiré par la légende, telle qu’Ovide l’a raconté dans ses Métamorphoses, Renaud Herbin grâce aux jeux des marionnettes porte un regard amusé sur la naissance du vivant et sa disparition."
" Ce spectacle laissera un goût savoureux en bouche aux amateurs d’absurde et de bizarre. Et pour cause, Le rat et le serpent est une pièce d’une vingtaine de minutes pour marionnettes d’après un texte de Jean Pierre Brisset, celui qu’on appelait le « fou littéraire » et qui mit au point un vaste système linguistique. Il y déconstruit la langue française par le procédé du calembour et la reconstruit en s’appuyant sur le fait que « l’homme est né dans l’eau, son ancêtre est la grenouille ». Au passage il invente une étonnante et drôle de mécanique poétique."
"Les Rats dans les Murs est une forme brève pour comédien, marionnettes et masques, librement adaptée de la nouvelle éponyme de Lovecraft. Dans sa nouvelle demeure ancestrale rénovée, le personnage principal et son chat sont sans cesse réveillés en sursaut par des grouillements et des sons écoeurants venant de derrière les murs et leur évoquant une inquiétante cavalcade de rats. Peu à peu, l’implacable et macabre machine lovecraftienne s’emballe : apprenant l’horrible vérité sur ses ancêtres, notre héros devient fou et commet finalement… l’impensable… Au travers de l’expérience schizophrénique du comédien, nous pourrons enfin nous libérer de l’héritage de nos propres rats inconscients et subconscients tout en goûtant avec délice au frisson « Lovecraft »"
" Violaine Fimbel nous raconte, à sa manière et avec des visions fortes, l’histoire d’un père « momentanément éloigné » et d’une mère rendue folle par cette disparition, au point de vouloir quitter sa nature humaine pour se transformer en oiseau.
Le père revient, taiseux, déshumanisé. La mère n’est plus de ce monde, mais…
L’histoire d’une quête pour deux rescapés en sursis, dans une humanité où ils ne se reconnaissent plus. Restent les oiseaux…"
( ces photos appartiennent à la compagnie)
"Partant du principe du « cut », Aurélia Ivan « découpe » dans sa dernière pièce pour en extraire la matière d’une nouvelle performance. Celle-ci prend la forme d’un dialogue lapidaire entre l’artiste et son double humanoïde : un échange où la question de l’identité est centrale. Pour se mettre à l’épreuve, elle s’enfermera dans la Chapelle Basse pendant 5 heures, 3 jours d’affilée. Et pour la traverser, seulement trois mots : Soi, Moi, Je. Au travers d’un hublot – fenêtre s’ouvrant sur l’inconscient ? – on pourra suivre l’évolution de cette relation installée/instaurée au-dessus de vestiges de pierre"
" Une Verrue est une petite excroissance de la peau…
Une petite lésion qui peut être induite par un microtraumatisme et qui peut apparaître sur presque toutes les régions du corps. Mais là, ce qui nous intéresse, c’est la sorcière, juste derrière la verrue. Et dans la sorcière, toutes les sorcières des contes…"
( ces photos appartiennent à la Compagnie)
LE SITE D'ORBIS PICTUS
2014 fut exceptionnelle ! De superbes spectacles et un inoubliable spectacle inaugural !
Bravo aux organisateurs pour la richesse de cette programmation et pour la gestion parfaite des journées . Les spectacles s'enchainent pour notre plus grand plaisir !
ORBIS PICTUS
Un festival de formes brèves marionnettiques
" Faire vivre un festival, c’est dire combien le regard des artistes sur le monde est, de tous temps, pertinent et combien l’esprit critique et l’analyse sont essentiels lorsqu’une époque les met à mal. Ces ovnis du présent ont vocation à exister et rencontrer les publics.L’art et la création sont des espaces fédérateurs d’émotions et de réflexion, aussi singuliers que précieux. Et chaque geste de création est un geste de recherche, d’introspection, d’immersion, un geste vers le public en quête de liens nouveaux et captivants.
Convivial et populaire, Orbis Pictus provoque une rencontre forte entre le public et la marionnette contemporaine en invitant:
– Des artistes internationaux et de jeunes révélations,
– Des formes brèves innovantes et audacieuses,
– Des installations plastiques
– Des performances ancrées dans la mixité caractéristique de l’art marionnettique d’aujourd’hui.
Faire exister un festival comme Orbis Pictus, c’est s’engager dans un geste qui enrichit le travail artistique avec une vision transversale de l’art et du travail de création. C’est faire vivre notre ville et le Palais du Tau du même élan qui embrasse la Région Champagne-Ardenne et fait rayonner notre territoire au niveau international d’une aura marionnettique.
Entre la dynamique impulsée à Orgeval Pictus, véritable exercice de métamorphose urbaine ; jusqu’à l’animation du Palais du Tau, patrimoine d’exception ; en passant par une déambulation marionnettique au coeur de la ville et des rencontres professionnelles foisonnantes qui questionnent cet art et ses spécificités, Orbis Pictus reste une invitation au songe et à l’évasion pour tous."
Angélique Friant & David Girondin Moab
* Hilum - Compagnie Les Antliaclastes – Maillet
" Hilum est une micro tragédie comique basée
sur les cycles d’une machine à laver. Un mélange de comptines, d’images
de dessins animés, de fragments d’objets et d’autres références aux
locutions de l’enfance sont jetés dans le tourbillon du tambour, pour
offrir au spectateur le linge sale du conte des contes de fée.
Hilum se déroule dans la laverie du
sous-sol d’un Museum d’Histoires Naturelles de seconde catégorie. Cette
cave est peuplée de mioches douteusement adorables qui, pour une raison
ou pour une autre, ont été exclu du reste du royaume des curiosités,
bien ordonné à l’étage supérieur. Orphelins et libérés de leurs hôtes,
ces racailles prénatales s’amusent comme s’amuseraient tous les enfants
de cet âge. Les blanchisseuses vaquent à leur opus ménager malgré les
fréquentes chamailleries des enfants. Ce qui débute comme une simple
tâche ménagère entourée de jeux d’enfants devient une mission
impossible. Dans le chaudron cubique, le blanc se mêle aux couleurs, la
laine est rincée à l’eau brûlante, le chat est jeté à l’essorage
intensif… et la récréation tourne au théâtre de la cruauté pur et dur. "
* Donde estas corazon ? – Minus Théâtre - Lille
"De l’autre côté de la table, la couturière raconte ses origines lointaines et dévoile de fil en aiguille et de bobines en boutons, l’histoire d’une famille de migrants."
* La fabrique marionnettique
" Chaque année le festival Orbis Pictus invite un plasticien-marionnettiste à installer son atelier au sein du Palais du Tau, dans une petite salle, au détour d’un escalier en colimaçon. On découvre une partie du secret des secrets. Entre les mains des marionnettistes, la matière se travaille, se transforme et prend vie. Comment se fabrique une marionnette, qu’est-ce qu’un objet marionnettique, quels sont les matériaux d’aujourd’hui ? Outre des réponses à ces questions, vous pourrez observer les techniques de construction d’une marionnette et les nombreuses étapes qui précèdent l’objet fini."
Avec ici Paulo Duarte
* La Femme Blanche – Magali Chouinard – Québec (Canada)
" La Femme blanche, c’est une présence et une intensité à fleur de peau; une poésie visuelle en contre-point du temps et de l’espace où le silence vient toucher l’âme. En une succession de tableaux vivants, le personnage à la fois femme, enfant et vieille, loup et corbeau évoque la beauté de la solitude profonde.
Avec La Femme blanche, Magali pose un regard tendre sur la solitude en tant qu’espace privilégié pour multiplier les rencontres de soi.
Faisant le pari du silence, de la lenteur et de l’absence de ligne narrative, elle donne le plein pouvoir d’évocation à sa poésie; captant l’attention et suscitant l’émotion chez les spectateurs par un enchaînement d’images et d’allégories."
* Happy Bones - Teatro Matita - Slovénie
"Matija Solce est un manipulateur hors pair : d’os et d’objets inanimés, tel un alchimiste, il donne vie aux personnages et aux émotions.
Sans avoir recours aux mots, avec la seule musicalité du spectacle, il rend compréhensible pour tous l’histoire de simples ossements qui racontent leurs histoires de solitude.
A chaque seconde les perceptions du spectateur changent, de petites partitions dans un style Dada aux comédies noires, de surprises en éclats de rire… jusqu’aux retrouvailles finales avec un jeu plus fondamental : celui de la mort."
* Kumo – Romain Lalire – Paris
"Kumo signifie nuage en Japonais.
Elégance, légèreté, onirisme, les qualificatifs manquent pour décrire ce personnage qui semble flotter sur scène.
Son déplacement presque fantomatique perturbe et transporte. Le mime et la dansent s’associent au jonglage contact, au pliage et froissage de papier et à la manipulation de lumière"
* Macao & Cosmage – La Soupe Compagnie – Metz
" La dernière création de la Soupe Cie,
à mi chemin entre le kamishibaï (théâtre de papier japonais) et les
techniques du pop-up. Deux êtres : Adam blanc et Eve noire, vivent
heureux au coeur de la nature sur une île paradisiaque et ignorent tout
du reste du monde, mais tout bascule lorsque la civilisation vient à la
rencontre de cet éden.
Ode visionnaire à l’écologie, dénonciation
de l’industrialisation à outrance, remise en question du colonialisme,
recherche du bonheur, l’histoire de Macao et Cosmage résonne davantage
encore aujourd’hui."
* Madame de Zelda, la Reine du Psychonet – Green Ginger – Wiseppe
"Ne paniquez pas, respirez profondément, nous sommes tous névrosés. Zelda peut vous montrer des gens pires que vous et les soigner. Elle a même peut-être un message personnel pour vous."
* Pygmalion Miniature – TJP de Strasbourg
" Pygmalion Miniature est une histoire d’amour impossible.
Pygmalion, sculpteur solitaire, tombe amoureux de sa création. Porté par le désir de la voir s’animer, il y croit tellement que son vœu finit par s’exaucer. Inspiré par la légende, telle qu’Ovide l’a raconté dans ses Métamorphoses, Renaud Herbin grâce aux jeux des marionnettes porte un regard amusé sur la naissance du vivant et sa disparition."
* Le rat et le serpent – Les ateliers du spectacle – Paris
" Ce spectacle laissera un goût savoureux en bouche aux amateurs d’absurde et de bizarre. Et pour cause, Le rat et le serpent est une pièce d’une vingtaine de minutes pour marionnettes d’après un texte de Jean Pierre Brisset, celui qu’on appelait le « fou littéraire » et qui mit au point un vaste système linguistique. Il y déconstruit la langue française par le procédé du calembour et la reconstruit en s’appuyant sur le fait que « l’homme est né dans l’eau, son ancêtre est la grenouille ». Au passage il invente une étonnante et drôle de mécanique poétique."
* Les rats dans les murs- Compagnie Ka - Besançon
"Les Rats dans les Murs est une forme brève pour comédien, marionnettes et masques, librement adaptée de la nouvelle éponyme de Lovecraft. Dans sa nouvelle demeure ancestrale rénovée, le personnage principal et son chat sont sans cesse réveillés en sursaut par des grouillements et des sons écoeurants venant de derrière les murs et leur évoquant une inquiétante cavalcade de rats. Peu à peu, l’implacable et macabre machine lovecraftienne s’emballe : apprenant l’horrible vérité sur ses ancêtres, notre héros devient fou et commet finalement… l’impensable… Au travers de l’expérience schizophrénique du comédien, nous pourrons enfin nous libérer de l’héritage de nos propres rats inconscients et subconscients tout en goûtant avec délice au frisson « Lovecraft »"
* Retrouvailles – Violaine Fimbel - Charleville-Mézières
" Violaine Fimbel nous raconte, à sa manière et avec des visions fortes, l’histoire d’un père « momentanément éloigné » et d’une mère rendue folle par cette disparition, au point de vouloir quitter sa nature humaine pour se transformer en oiseau.
Le père revient, taiseux, déshumanisé. La mère n’est plus de ce monde, mais…
L’histoire d’une quête pour deux rescapés en sursis, dans une humanité où ils ne se reconnaissent plus. Restent les oiseaux…"
( ces photos appartiennent à la compagnie)
* ± A [HU#1] – [SOI/MOI/JE] - Compagnie Tsara - Clichy
"Partant du principe du « cut », Aurélia Ivan « découpe » dans sa dernière pièce pour en extraire la matière d’une nouvelle performance. Celle-ci prend la forme d’un dialogue lapidaire entre l’artiste et son double humanoïde : un échange où la question de l’identité est centrale. Pour se mettre à l’épreuve, elle s’enfermera dans la Chapelle Basse pendant 5 heures, 3 jours d’affilée. Et pour la traverser, seulement trois mots : Soi, Moi, Je. Au travers d’un hublot – fenêtre s’ouvrant sur l’inconscient ? – on pourra suivre l’évolution de cette relation installée/instaurée au-dessus de vestiges de pierre"
* Verrue – Compagnie Pseudonymo – Reims
" Une Verrue est une petite excroissance de la peau…
Une petite lésion qui peut être induite par un microtraumatisme et qui peut apparaître sur presque toutes les régions du corps. Mais là, ce qui nous intéresse, c’est la sorcière, juste derrière la verrue. Et dans la sorcière, toutes les sorcières des contes…"
( ces photos appartiennent à la Compagnie)
LE SITE D'ORBIS PICTUS
FESTIVAL ORBIS PICTUS
Le Jardin Parallèle
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