« Exubérant, mystérieuse et magique à la fois l’œuvre polymorphe de Sepùlveda foisonne de références à ses racines sud-américaines et aux différentes cultures auxquelles il a été exposé lors de ses nombreux et incessants voyages. Les critiques se sont penchés sur son travail et parlent de la Galaxie Sepùlveda, la palette des dieux et ils le comparent à un ogre joyeux au rire tonitruant, un géant vorace et insatiable, qui dévore des univers, s’en repaît, pour mieux n’en modeler qu’un : le sien, unique, éclatant, fascinant. »
Micheline Vorbe – Images entre rêve et réalité
"Le fil rouge de Francisco Sepulveda…
Francisco Sepulveda utilise la peinture comme médium afin de
transmettre ses sentiments les plus profonds, faisant allusion à ses
origines familiales et culturelles.
Il mêle rêve et réalité pour
raconter des histoires, se nourrissant des mythes et contes amérindiens,
du Moyen-Orient, d’Afrique ou d’Asie…
Tout est une excuse pour
inventer une histoire, en mêlant ces mythes avec notre histoire
contemporaine, il questionne notre rôle.
Les êtres humains ont créé des sociétés qui ne semblent plus fonctionner ; il est temps de trouver
des alternatives. Les peintures de l’artiste invitent alors à une
réflexion, une prise de conscience sur l’avenir de notre planète.
En quelques mots, son premier choc artistique…
Dans un premier temps, la rencontre avec l’art Précolombien, en
particulier l’art Mochica au Musée d’art Précolombien de Santiago.
Puis l’art Aztèque au Musée Nacional de Anthropologie à Ciudad de México.
Le portrait chinois de Francisco Sepulveda
Si vous étiez une oeuvre, vous seriez : Le Mural de Bonampak.
Si vous étiez une couleur, vous seriez : Bleu saphir.
Si vous étiez un pays, vous seriez : L’univers entier.
Si vous étiez un livre, vous seriez : Altazor de Vicente Huidobro."
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