Debout comme un gratte-ciel, l’horizon donne le vertige…
Les lendemains ne chantent plus.
A l’aube des nuits verticales, plus rien ne trouble la lenteur de l’été.
Le paysage s’épanche et se déverse à l’envers du ciel.
Il se creuse à mains nues, à la pioche, au couteau.
L’avenir se débite à l’égoïne, tandis que j’égraine en rosaire des copeaux d’incertitude, un rêve me coule entre les doigts !
Pas de vacances, ni de vacarme, ni d’errance, ni de douceur, ni de moiteur. Pas de hasard, pas de fortune… Pas d’équivalent général… Pas de sources, ni de ressources…
Le Général est équivalent ! Le Général est au zénith…
Et moi, la miette, la particule, la molécule, la parcelle, le grain… Je n’équivaux à rien !
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