A l’origine, Serge Ramond de Marc Nadaux :
" L’homme, animateur d’un atelier d’art graphique, découvre en 1969 ses premiers graffiti sur les murs des églises de Senlis et à Saint Leu d’Esserent, dans le département de l’Oise. Dès lors, il se fait collectionneur de ces témoignages fugitifs, simple griffe sur un mur ou au contraire véritable œuvre d’art. Citadelles, églises, cachots, caves, carrières … Serge Ramond prospecte à la recherche de ces traces du passé, ces « moyens d’expression gratuite, impulsive et populaire » ou au contraire plus profondes. Et ce passé, lorsqu’il s’agit de ces dessins, incisions ou sculptures s’étend sur une très longue période, la plus longue qui soit, du néolithique à nos jours. Après avoir effectué un inventaire des lieux, l’ethnologue, l’archéologue fait un relevé d’empreinte du trésor découvert, qui se transforme plus tard en moulage en plâtre.
Depuis quatre décennies, le prospecteur a réuni plus de 3.500 de ces moulages, de ces graffiti. Aujourd’hui ceux-ci sont visibles à l’intérieur d’un musée qui porte son nom, le musée Serge Ramond, « Les Pierres gravées », à Verneuil-en-Halatte, près de Compiègne. Sur quatre niveaux différents, vingt-et-une salles et deux vidéos de présentation sont dédiés à cette collection exceptionnelle. Celle-ci raconte l’évolution de l’écriture depuis le Moyen-Age jusqu’à nos jours, les pensées des marins des ports de France, des Poilus du Chemin des Dames … Animaux, symboles religieux, écritures, personnages et vêtements, dessins érotiques … constituent un patrimoine qui permet d’entrer dans l’univers mental des générations passées."
LE LIEN VERS L'ARTICLE
UN AUTRE LIEN
UNE VIDÉO
UN LIEN
LE MUSÉE DES GRAFFITI ET LES GRIGRIS DE SOPHIE
(cliquer)
Place de Piegaro à Verneuil-en-Halatte 60550
ouvert tous les jours de 14 heures à 18 heures (sauf mardi et jours fériés).
" L’homme, animateur d’un atelier d’art graphique, découvre en 1969 ses premiers graffiti sur les murs des églises de Senlis et à Saint Leu d’Esserent, dans le département de l’Oise. Dès lors, il se fait collectionneur de ces témoignages fugitifs, simple griffe sur un mur ou au contraire véritable œuvre d’art. Citadelles, églises, cachots, caves, carrières … Serge Ramond prospecte à la recherche de ces traces du passé, ces « moyens d’expression gratuite, impulsive et populaire » ou au contraire plus profondes. Et ce passé, lorsqu’il s’agit de ces dessins, incisions ou sculptures s’étend sur une très longue période, la plus longue qui soit, du néolithique à nos jours. Après avoir effectué un inventaire des lieux, l’ethnologue, l’archéologue fait un relevé d’empreinte du trésor découvert, qui se transforme plus tard en moulage en plâtre.
Depuis quatre décennies, le prospecteur a réuni plus de 3.500 de ces moulages, de ces graffiti. Aujourd’hui ceux-ci sont visibles à l’intérieur d’un musée qui porte son nom, le musée Serge Ramond, « Les Pierres gravées », à Verneuil-en-Halatte, près de Compiègne. Sur quatre niveaux différents, vingt-et-une salles et deux vidéos de présentation sont dédiés à cette collection exceptionnelle. Celle-ci raconte l’évolution de l’écriture depuis le Moyen-Age jusqu’à nos jours, les pensées des marins des ports de France, des Poilus du Chemin des Dames … Animaux, symboles religieux, écritures, personnages et vêtements, dessins érotiques … constituent un patrimoine qui permet d’entrer dans l’univers mental des générations passées."
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Place de Piegaro à Verneuil-en-Halatte 60550
ouvert tous les jours de 14 heures à 18 heures (sauf mardi et jours fériés).
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