Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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mercredi 17 mars 2021

CONFINEMENT # 22...DECONFINEMENT # 17 ...RECONFINEMENT

 

Des mois et des mois se sont écoulés ....

17 mars 2020 ... 17 mars 2021...

Qu'ils évoquent l'odieux virus, leur façon de l'anéantir, l'enfermement, les masques ...
Ou qu'ils se lancent dans des publications quotidiennes : une œuvre par jour pour compter les jours.  

Voici aujourd'hui sur les Grigris le nouveau  post sur le nouveau confinement...


" L'essence même de l'art est de savoir faire naître des images d'espérance."
 
 
 
 THIERRY FALIGOT 


 
 
 
 
 
PHOTOS CLAIRE RICHEZ 
 

 
 
 


 
 
 
PASCALE WARGNIER
 

 
 
 
 
 
 
MARIE PELTIER
 


 
 
 
MARGOT
 

 

FREDERIQUE LONGREE 


 
 
 
 
CATHERINE PRIOLI




Et cette découverte que je dois à Isabelle Pulby ....
 
 
 
 


Depuis le 1er février 2021, le Centre photographique Rouen Normandie habille sa vitrine des photographies d'Hubert Crabières, pour une exposition visible par tous... depuis la rue.

Le Centre photographique Rouen Normandie ne peut ouvrir ses portes à cause de la crise sanitaire ? Eh bien il affiche des œuvres en vitrine ! Et plus précisément les clichés d'Hubert Crabières, photographe diplômé de l'école d'art de Cergy. Depuis le 1er février dernier, chacun peut observer le résultat d'un travail déjanté, réalisé quotidiennement lors du premier confinement.

55 jours, c'est la durée du premier confinement, entre mars et mai 2020. C'est aussi le nombre de photographies réalisées par Hubert Crabières, dans l'appartement d'Argenteuil qu'il partage avec ses colocataires.

"Hubert ouvre une boîte, un carton, un tiroir, replongeant par la même occasion dans l’histoire de ses productions passées. Plutôt que d’extraire un échantillon de telle ou telle collection ( cartes, chaussettes, passoires, miroirs, crayons de couleur, sacs en plastique, demandez… ), il fait le choix du tout, absolument TOUT, quitte à se faire avaler. Les silhouettes deviennent des excroissances baroques de ses projets artistiques passés."











 
 
 
 
 
 
 

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