J'ai connu VINCENT CORDEBARD grâce à mon amie Isabelle et j'ai mis cette photo en ligne dans un article sur le noir et blanc en 2008 :
http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2008/05/les-grigris-et-le-noir-et-blanc.html
" La petite a grandi ! En 1986, le fonds régional d'art contemporain de Champagne-Ardenne a fait l'acquisition d'une pièce intitulée "Les noces d'opale" . Cette série de 15 photographies fut l'occasion de ma première rencontre avec Suzanne. Depuis, sa « figure » a habité plus ou moins régulièrement l'espace de mes images. Dans « Prison du temps » Alain Lercher écrit : « la peinture du nu est rien moins qu'innocente, comme l'explique très bien Pontevia, et les vieillards lubriques de la Bible, qui nous représentent, nous avertissent que ce n'est pas la peine de jouer aux innocents lorsqu'on vient reluquer Suzanne. » "Suzanne et quelques autres figures du refus " constitue un ensemble d'une centaine de peintures réalisées entre ce jour et l'été 2008. Chacune d'elle fera l'objet d'une mise en ligne journalière au hasard des prises de vues et sans aucune prétention chronologique.
Libre à chacun de vous de bloquer l'accès à votre boite dés que las ou lasse. "
Voici ma sélection :
http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2008/05/les-grigris-et-le-noir-et-blanc.html
" La place du corps occupe une place centrale dans le travail de Vincent Cordebard. Mais pas n'importe quelle image du corps! Des corps cousus, fendus, tordus, ouverts, blessés, meurtris, marqués... Des corps qui souvent portent les traces d'une souffrance vue ou vécue, les marques d'une histoire violente : on peut même écrire histoire avec un grand H !Si les premières approches photographiques constituaient une forme d'inventaire , non des choses, des lieux, ou des êtres (fictifs et réels), mais des points de vue rapportés sur ceux-ci. Il semble que, depuis, ses travaux, s'appuyant souvent sur des reprises de clichés anciens, agissent davantage comme une sorte de catharsis de la nature événementielle de l'image. Autrement dit, ce qui dans ces images nous trouble, nous remue ou nous bouleverse, n'est pas tant lié à la nature des thèmes présents ou à leur origine (victimes, gueules cassées, déportés des camps de concentration, portraits de famille, noces et enfants...) qu'au retour graphique pratiqué sur ce support, en des gestes patients ou emportés, systématiques ou impulsifs."
Le 10 mars j'ai reçu un mail évoquant un envoi quotidien qui durerait 100 jours :
" La petite a grandi ! En 1986, le fonds régional d'art contemporain de Champagne-Ardenne a fait l'acquisition d'une pièce intitulée "Les noces d'opale" . Cette série de 15 photographies fut l'occasion de ma première rencontre avec Suzanne. Depuis, sa « figure » a habité plus ou moins régulièrement l'espace de mes images. Dans « Prison du temps » Alain Lercher écrit : « la peinture du nu est rien moins qu'innocente, comme l'explique très bien Pontevia, et les vieillards lubriques de la Bible, qui nous représentent, nous avertissent que ce n'est pas la peine de jouer aux innocents lorsqu'on vient reluquer Suzanne. » "Suzanne et quelques autres figures du refus " constitue un ensemble d'une centaine de peintures réalisées entre ce jour et l'été 2008. Chacune d'elle fera l'objet d'une mise en ligne journalière au hasard des prises de vues et sans aucune prétention chronologique.
Libre à chacun de vous de bloquer l'accès à votre boite dés que las ou lasse. "
Et c'est comme ça qu'a commencé le bonheur des Suzanne !
Si l'idée vous séduit n'hésitez pas à donner votre adresse à VINCENT CORDEBARD pour recevoir à votre tour votre mail quotidien, c'est un bonheur qui ne se refuse pas !
Voici ma sélection :
2 commentaires:
Très bon choix pour cette belle sélection personnelle !
HM
" Suzanne appartient à qui veut l'aimer. Contrairement à ce que prétendent la fable et livres de méditation à l'usage des femmes chastes..."
réponse de V.C. à qui je signalais la présence de Suzanne sur les Grigris de Sophie !
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