Lu dans « Le mauvais sang » de TCHICAYA U TAM’SI
C’était quand les soleils soufflaient sur les clairières
Tous deux dansions une valse lente et terrible
La pluie toujours venait lente à nous sa cible.
Nous étions Elle et moi que mains et paupières
Et dans nos voix toujours les chansons les lumières
S’enflammaient rêve ancré dans une belle eau paisible
Les vents étaient de taille volupté Terrible
Ce long chemin – toujours- où croisaient des sorcières
Les serpents dans leurs mains faisaient des sortilèges
Déments nos pieds dansant mille sons mille arpèges
Et toi voilée moi chaste après vigilant fou
Volupté volupté du sang sur la prairie
Je suis passé par là prés de l’arbre du génie
Les vents prêchaient le Christ est un fétiche à clous .
C’était quand les soleils soufflaient sur les clairières
Tous deux dansions une valse lente et terrible
La pluie toujours venait lente à nous sa cible.
Nous étions Elle et moi que mains et paupières
Et dans nos voix toujours les chansons les lumières
S’enflammaient rêve ancré dans une belle eau paisible
Les vents étaient de taille volupté Terrible
Ce long chemin – toujours- où croisaient des sorcières
Les serpents dans leurs mains faisaient des sortilèges
Déments nos pieds dansant mille sons mille arpèges
Et toi voilée moi chaste après vigilant fou
Volupté volupté du sang sur la prairie
Je suis passé par là prés de l’arbre du génie
Les vents prêchaient le Christ est un fétiche à clous .
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