Entre Cornusson et Ginals, en suivant le dénivelé de la D33, on découvre
soudain, en contrebas, l' abbaye de Beaulieu en Rouergue.
Dans ce lieu magnifique trois expositions étaient et sont à l'honneur !
Dans la salle des convers L'exposition d'Art brut et singulier déjà évoquée sur les Grigris:
"De l'humaine condition. Pérégrinations, rencontres et songeries d'un amateur d'art brut"
s'est terminée le 2 octobre :
ICI
A découvrir jusqu'au 30 octobre " Te lucis ante terminum " par le photographe Michel Eisenlohr et ne manquez pas l'exposition de peinture de Pierre CELICE, Thibaut de REIMPRE, Jean-Pierre SCHNEIDER et sculptures de Patrick LAINVILLE.
" Après avoir été présentée au monastère de Saorge, puis dans le cloître de la cathédrale de Fréjus en 2014, à l’abbaye du Thoronet en 2015, l’exposition de Michel Eisenlhor, « Te lucis ante terminum » s’installe du 1er avril au 30 octobre 2016 dans un autre monument cette fois emblématique du patrimoine architectural du sud-ouest, géré par le Centre des monuments nationaux, l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue.
Au cours du printemps 2014, le photographe a effectué plusieurs séjours au monastère de Saorge (Alpes-Maritimes) afin de réaliser une série de clichés sur cet ancien couvent franciscain du XVIIe siècle qui surplombe la vallée de la Roya, aux portes du Parc national du Mercantour. Ce sont 24 de ces photographies, diurnes et nocturnes, qui seront exposées dans le cellier de l’abbaye de Beaulieu.
Au-delà d’une simple ambiance, ces photographies reflètent particulièrement bien la sobre beauté et l’esprit des lieux qui restent perceptibles encore aujourd’hui. Elles créent le lien entre deux ordres monastiques bien différents, les franciscains prêcheurs et les cisterciens laborieux, réunis par la même exigence spirituelle et la volonté de dépouillement.
Un catalogue rassemblant un plus grand nombre de photos, ponctuées par des haïkus de Chantal Robillard venue en résidence d’écriture littéraire au monastère de Saorge, a été publié chez Images du Sud et est proposé dans les libraires-boutiques du CMN."
Pierre CELICE
Thibaut de REIMPRE
Thibaut de REIMPRE
Patrick LAINVILLE
Patrick LAINVILLE
Jean-Pierre Schneider
Né en 1946 à Paris. Etudie à l’Ecole des Beaux-arts de Lille. Sa carrière de peintre s’accompagne d’un important travail de scénographe pour la danse, la musique et le théâtre (théâtre national de Chaillot, le lucernaire, Lausanne etc..).
Jean-Pierre Schneider, dans son expérience de peintre et de scénographe, fait sien le sujet, le mot, la matière qu’il travaille, incise, la couleur qu’il prépare.
Patrick Lainville
Né en 1969 dans la Drôme. Diplômé de l’Ecole des Beaux-arts de Valence.
Patrick Lainville travaille le métal dans sa forge lotoise depuis plus de 20 ans. Ses réalisations ont donné lieu à des saisissantes présentations et mises en perspectives aux côtés de préhistoriens d’un travail contemporain, en particulier la remarquable publication « Patrick Lainville, aux sources du geste », éditée en 2011.
Pierre Célice
Né en 1932 à Paris.
C’est avec Henri Hayden qu’il étudie et travaille, jusqu’à ses premières expositions dans les années 50. Ses toiles figuratives sont immédiatement appréciées par le public et la critique. Son passage dans l’atelier de lithographie de Peter Bramsen, où sont exécutées les œuvres du groupe Cobra, lui ouvrent d’autres perspectives, avec les créations d’Alechinsky, Bram Van Velde etc. L’abandon du figuratif devient une nécessité et le conduit à une profonde et longue remise en question personnelle. De cette période d’isolement volontaire, il conquiert une liberté créatrice totale.
Thibaut de Reimpré
Né en 1949, formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, il vit et travaille à Paris et dans la Sarthe. Sa production picturale représente près de 200 œuvres, souvent de grand format, où son expressivité s’épanouit pleinement. si l’acrylique est son medium favori, il utilise d’autres matériaux comme le pastel et, au-delà du support habituel, toile ou papier, s’intéresse à d’autres vecteurs. On lui doit ainsi trois vitraux (réalisés par le verrier Eric Boucher) pour l’église de Crannes-en-Champagne (Sarthe), hymnes colorés fantastiques.
LE SITE DE L'ABBAYE
(cliquer)
Dans ce lieu magnifique trois expositions étaient et sont à l'honneur !
Dans la salle des convers L'exposition d'Art brut et singulier déjà évoquée sur les Grigris:
"De l'humaine condition. Pérégrinations, rencontres et songeries d'un amateur d'art brut"
s'est terminée le 2 octobre :
ICI
A découvrir jusqu'au 30 octobre " Te lucis ante terminum " par le photographe Michel Eisenlohr et ne manquez pas l'exposition de peinture de Pierre CELICE, Thibaut de REIMPRE, Jean-Pierre SCHNEIDER et sculptures de Patrick LAINVILLE.
" Après avoir été présentée au monastère de Saorge, puis dans le cloître de la cathédrale de Fréjus en 2014, à l’abbaye du Thoronet en 2015, l’exposition de Michel Eisenlhor, « Te lucis ante terminum » s’installe du 1er avril au 30 octobre 2016 dans un autre monument cette fois emblématique du patrimoine architectural du sud-ouest, géré par le Centre des monuments nationaux, l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue.
Au cours du printemps 2014, le photographe a effectué plusieurs séjours au monastère de Saorge (Alpes-Maritimes) afin de réaliser une série de clichés sur cet ancien couvent franciscain du XVIIe siècle qui surplombe la vallée de la Roya, aux portes du Parc national du Mercantour. Ce sont 24 de ces photographies, diurnes et nocturnes, qui seront exposées dans le cellier de l’abbaye de Beaulieu.
Au-delà d’une simple ambiance, ces photographies reflètent particulièrement bien la sobre beauté et l’esprit des lieux qui restent perceptibles encore aujourd’hui. Elles créent le lien entre deux ordres monastiques bien différents, les franciscains prêcheurs et les cisterciens laborieux, réunis par la même exigence spirituelle et la volonté de dépouillement.
Un catalogue rassemblant un plus grand nombre de photos, ponctuées par des haïkus de Chantal Robillard venue en résidence d’écriture littéraire au monastère de Saorge, a été publié chez Images du Sud et est proposé dans les libraires-boutiques du CMN."
Pierre CELICE
Thibaut de REIMPRE
Thibaut de REIMPRE
Patrick LAINVILLE
Patrick LAINVILLE
Jean-Pierre Schneider
Né en 1946 à Paris. Etudie à l’Ecole des Beaux-arts de Lille. Sa carrière de peintre s’accompagne d’un important travail de scénographe pour la danse, la musique et le théâtre (théâtre national de Chaillot, le lucernaire, Lausanne etc..).
Jean-Pierre Schneider, dans son expérience de peintre et de scénographe, fait sien le sujet, le mot, la matière qu’il travaille, incise, la couleur qu’il prépare.
Patrick Lainville
Né en 1969 dans la Drôme. Diplômé de l’Ecole des Beaux-arts de Valence.
Patrick Lainville travaille le métal dans sa forge lotoise depuis plus de 20 ans. Ses réalisations ont donné lieu à des saisissantes présentations et mises en perspectives aux côtés de préhistoriens d’un travail contemporain, en particulier la remarquable publication « Patrick Lainville, aux sources du geste », éditée en 2011.
Pierre Célice
Né en 1932 à Paris.
C’est avec Henri Hayden qu’il étudie et travaille, jusqu’à ses premières expositions dans les années 50. Ses toiles figuratives sont immédiatement appréciées par le public et la critique. Son passage dans l’atelier de lithographie de Peter Bramsen, où sont exécutées les œuvres du groupe Cobra, lui ouvrent d’autres perspectives, avec les créations d’Alechinsky, Bram Van Velde etc. L’abandon du figuratif devient une nécessité et le conduit à une profonde et longue remise en question personnelle. De cette période d’isolement volontaire, il conquiert une liberté créatrice totale.
Thibaut de Reimpré
Né en 1949, formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, il vit et travaille à Paris et dans la Sarthe. Sa production picturale représente près de 200 œuvres, souvent de grand format, où son expressivité s’épanouit pleinement. si l’acrylique est son medium favori, il utilise d’autres matériaux comme le pastel et, au-delà du support habituel, toile ou papier, s’intéresse à d’autres vecteurs. On lui doit ainsi trois vitraux (réalisés par le verrier Eric Boucher) pour l’église de Crannes-en-Champagne (Sarthe), hymnes colorés fantastiques.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire