" Pour cette expo 23, Dominique Guillo présente pour la première fois, une nouvelle série de bas-relief en boites : un chemin de croyance en vous en moi, en 14 stations plus une pour le fun.
Ce travail est une réflexion sur le corps, la douleur, la souffrance et l’espoir. Il s’agit de réinterpréter des thèmes inépuisables : la naissance, l’intime, la mère, l’amour, le don, la souffrance, la bienveillance, le jeu, l’enfance, la mort. Les stations du chemin permettent aux spectateurs de s’arrêter de faire une pause."
Né en 1957, vit et travaille
à La Roche sur Yon.
Autodidacte, aide-soignant en milieu hospitalier pendant 36 ans.
Confrontation permanente au corps, à la douleur et
à la mort. Des passions multiples : le sport, les
films d’auteur, Paris et les villes, l’art et les
objets anciens, la cuisine et la peinture des autres.
L’œuvre de Dominique Guillo a pour sujet principal
la représentation humaine, sujet qu’il a su
s’approprier pour le re-définir à
travers son intimité. Il lui donne une dimension collective
et permet au regardeur d’appréhender à
travers des données émotionnelles, des
évocations multiples de la complexité humaine. Il
a su trouver une technique adaptée à son
expression qui visualise la force et l’intensité
de son approche. Dans un premier temps, il découpe des
silhouettes en papier, carton, rhodoïd qu’il agence
en petits théâtres. Original et personnel, le
travail de Dominique Guillo est un témoignage authentique de
notre époque.
Raphaëlle
Nicolleau, 1980
« Il est des images
oubliées, enfouies, à jamais
reléguées. Aux souvenirs, j’ai
souhaité faire une nouvelle lecture de ces moments du
passé. Retrouver l’émotion des
mariés, du communiant, des demoiselles d’honneur,
de l’enfance et des secrets de famille. À travers
l’installation d’un nouveau processus de lecture,
je mixte images réelles et images intérieures car
il est ici des raisons d’exister, de croire, de vivre et
d’aimer. Loin des concepts habituels de peinture, ces
créations de figuration narrative laissent aux regardeurs de
ces histoires une marge ouverte aux possibles.
Autoportraits
fictifs, je mets en scène ma réflexion
forcenée sur les relations humaines, le regard de soi et des
autres en utilisant différents supports qui
s’imbriquent, se superposent, s’entrelacent,
s’opposent ou se complètent. Regarder sans trop
penser, surtout ne pas interpréter. Accepter ce qui existe
sans savoir pourquoi, ni comment. L’œuvre existe,
ni pour être utile, ni pour être jolie, ni pour
transmettre un message. Elle est et mène sa propre
existence. »
Dominique
Guillo
Ouverture de l’expo, les week-ends et jours fériés de 14h30 à 18h30
ou en semaine sur rdv.
Visite accompagnée les samedis et dimanches à 15h15.
Gratuit le week-end et jour férié. Payant sur la semaine.
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