Passionnante visite de cet été 2014 ...
Un site fabuleux riche de talents variés !
A DÉCOUVRIR SEUL OU EN FAMILLE !
Quelques artistes :
Richard CHAPO – 2010 – Zimbabwé.
Erdal CÉLIK 2005 – Turquie.
Claire GARGOU – 2006 – France
Tutu PATTNAIK - 2009-2010 – Inde (New-Delhi).
Sergey MILCHENKO - 2010 – Russie (Moscou).
Laurent ROUSSELY – 2005/2007 – France (Gironde).
Joël THÉPAULT – 2006/2007 – France. (Haute-Vienne)
Gadadhar OJHA – 2007 – Inde.
Hugo BATTISTEL – 2005 – France. (Charente-Maritime)
Alain TRÉHARD – 2007 – France (Charente-Maritime).
Alfredo PECILE – 2008 – Argentine.
Valentina DUSAVITSKAYA et Yury TKACHENKO – 2008/2009 – Russie.
Alain DONY – 2006 – France.
Paora Toi Te RANGIUAIA – 2009 /2011/2013 – Nouvelle Zélande.
Natalie STANIFORTH – 2008 – Angleterre.
Dann CHÉTRIT - 2006/2007/2009 – France.
Gérard QUÉHEILLALT – 2009/2010 – France.
Sandra BORGÈS – 2010 – Portugal.
Yasushi HORI - 2011 / 20122 - Japon
Alain VANDENBROUCK – 2010 – France.
Patrik VLECK – 2003 – République Tchèque.
Robert KÉRAMSI – 2004 puis 2011 – France.
Gérard PELLINI – 2002 – France.
Marc ZORO – 2003 – France.
Éric STAMBIROWSKI – 2002 – France
Alain TENENBAUM – 2003 – France.
Louis-Romain BARD – 2004 – France.
LES LAPIDIALES A PORT D'ENVAUX
L'histoire des rapports de ce village de Charente Maritime avec la pierre remonte à l'antiquité. Elle assura sa prospérité tant par son exploitation que par le commerce qui en découlait.
Au XIXème ainsi qu'au début du siècle dernier, un bon nombre d'agriculteurs étaient carriers à mi-temps et beaucoup des carriers travaillaient également la terre. Ainsi naquît une culture de la pierre dans toute la population dont les résonances portent encore aujourd'hui.
Voilà pourquoi Les LAPIDIALES ont trouvé naturellement leur place sur le site des Chabossières.
Là où intuitivement, nous souhaitions un possible accord entre l'ambition du projet et son lieu d'implantation, la municipalité de Port d'Envaux y a reconnu l'espoir d'une renaissance d'activité dans un des secteurs fondateurs de la mémoire collective des gens d'ici. Elle y a lu le prolongement d'un passé qui tend à s'estomper et sa projection dans un futur actif.
Mais l'inscription des LAPIDIALES à Port d'Envaux dépasse les limites du village. Alentours, la pierre de Crazannes s'est taillée une renommée qui va largement au-delà de ce petit coin de France. En Charente Maritime le patrimoine de pierre est reconnu comme un véritable enjeu du développement culturel et patrimonial.
C'est pourquoi les LAPIDIALES, avec leur ambition de marier les arts, ne pouvaient trouver ancrage plus favorable tant localement que régionalement."
Tous ces renseignements ont été trouvés sur le site DES LAPIDIALES !
Merci aux sculpteurs pour leur accueil !
Les LAPIDIALES Mairie
17350 Port d'envaux Téléphone : 06 76 82 11 02
LE SITE
LA LISTE DES ARTISTES
(cliquer sur les liens)
Un site fabuleux riche de talents variés !
A DÉCOUVRIR SEUL OU EN FAMILLE !
Quelques artistes :
Tapiwa CHAPO– 2006 – Zimbabwe
Raül Cortes CASTAÑEDA – 2003 – Colombie.
Antonia MIRALLES – 2004 – Principauté d’Andorre
Yglix RIGUTTO – 2007 – France (Charente-Maritime)
Thierry JIMÉNEZ – 2004 – France (Ardèche).
Yannick VEILLON – 2003 – France (Charente-Maritime).
Bruno FLEURIT– 2005 – France (Charente-Maritime).
Michel BONNAL – 2007 – France (Haute-Garonne).
Babacar NIANG - 2008/2010 – Sénégal.
Sylvie BERRY 2007 – France (Charente-Maritime).Richard CHAPO – 2010 – Zimbabwé.
Erdal CÉLIK 2005 – Turquie.
Claire GARGOU – 2006 – France
Tutu PATTNAIK - 2009-2010 – Inde (New-Delhi).
Sergey MILCHENKO - 2010 – Russie (Moscou).
Laurent ROUSSELY – 2005/2007 – France (Gironde).
Joël THÉPAULT – 2006/2007 – France. (Haute-Vienne)
Gadadhar OJHA – 2007 – Inde.
Hugo BATTISTEL – 2005 – France. (Charente-Maritime)
Alain TRÉHARD – 2007 – France (Charente-Maritime).
Alfredo PECILE – 2008 – Argentine.
Valentina DUSAVITSKAYA et Yury TKACHENKO – 2008/2009 – Russie.
Alain DONY – 2006 – France.
Paora Toi Te RANGIUAIA – 2009 /2011/2013 – Nouvelle Zélande.
Natalie STANIFORTH – 2008 – Angleterre.
Dann CHÉTRIT - 2006/2007/2009 – France.
Gérard QUÉHEILLALT – 2009/2010 – France.
Sandra BORGÈS – 2010 – Portugal.
Yasushi HORI - 2011 / 20122 - Japon
Alain VANDENBROUCK – 2010 – France.
Patrik VLECK – 2003 – République Tchèque.
Robert KÉRAMSI – 2004 puis 2011 – France.
Gérard PELLINI – 2002 – France.
Marc ZORO – 2003 – France.
Éric STAMBIROWSKI – 2002 – France
Alain TENENBAUM – 2003 – France.
Louis-Romain BARD – 2004 – France.
LES LAPIDIALES, UN HOMME, UN CONCEPT
" Alain Tenenbaum se présente à la fois comme homme de théâtre et sculpteur. Il passe sa vie à mettre en forme ses sensations.
Formé parallèlement aux arts plastiques et au théâtre (Académie Charpentier et Conservatoire National d'Art Dramatique), il exerce les métiers de comédien et celui de décorateur, offrant une place de plus en plus importante à la sculpture dans ses créations scéniques. Sa pratique le conduit à explorer toutes les techniques et matériaux que notre époque met à la disposition des plasticiens.
Après quinze ans de décentralisation théâtrale, Tenenbaum s'intéresse au film et à l'image tout en poursuivant son travail personnel de sculpteur et dessinateur.
Auteur de courts métrages puis, assistant et décorateur de cinéma, il réalise une centaine de vidéos institutionnelles pour les plus grandes firmes françaises avant de se voir confier par la télévision la réalisation de cinquante émissions hebdomadaires (« Demain les Métiers » et « Des Idées pour Demain ») traitant de la création d'activité sur la Cinquième chaîne. Dans ce contexte, il rencontre un autre genre de créateurs: ceux qui ont mis en œuvre une économie solidaire et plus humaine, fondée sur l'enthousiasme et l'imagination de quelques uns, déterminés à ouvrir des voix parallèles qu'on aurait pu croire inaccessibles au plus grand nombre.
C'est ainsi que, peu à peu, naît le concept des LAPIDIALES dans lequel, Alain Tenenbaum espère synthétiser ses différentes activités dans une entité qui les transcendera, leur donnant ainsi le sens d'une vie d'artiste citoyen.
Formé parallèlement aux arts plastiques et au théâtre (Académie Charpentier et Conservatoire National d'Art Dramatique), il exerce les métiers de comédien et celui de décorateur, offrant une place de plus en plus importante à la sculpture dans ses créations scéniques. Sa pratique le conduit à explorer toutes les techniques et matériaux que notre époque met à la disposition des plasticiens.
Après quinze ans de décentralisation théâtrale, Tenenbaum s'intéresse au film et à l'image tout en poursuivant son travail personnel de sculpteur et dessinateur.
Auteur de courts métrages puis, assistant et décorateur de cinéma, il réalise une centaine de vidéos institutionnelles pour les plus grandes firmes françaises avant de se voir confier par la télévision la réalisation de cinquante émissions hebdomadaires (« Demain les Métiers » et « Des Idées pour Demain ») traitant de la création d'activité sur la Cinquième chaîne. Dans ce contexte, il rencontre un autre genre de créateurs: ceux qui ont mis en œuvre une économie solidaire et plus humaine, fondée sur l'enthousiasme et l'imagination de quelques uns, déterminés à ouvrir des voix parallèles qu'on aurait pu croire inaccessibles au plus grand nombre.
C'est ainsi que, peu à peu, naît le concept des LAPIDIALES dans lequel, Alain Tenenbaum espère synthétiser ses différentes activités dans une entité qui les transcendera, leur donnant ainsi le sens d'une vie d'artiste citoyen.
Qu'est ce que les Lapidiales ?
"L’IDÉE
Sur un
site adapté, créer un espace d’art en perpétuelle évolution où des
sculpteurs de tous pays, au fil des décennies, travailleront à l’œuvre
commune qui témoignera devant les générations futures de leur état
d’hommes dans leur époque.
Nous voulons entamer un chantier "perpétuel" pour offrir à des sculpteurs la possibilité de poursuivre un travail commencé par d’autres en créant des œuvres aux côtés de celles de leurs prédécesseurs, les prolongeant en quelque sorte. Une œuvre à redéploiement constant comme si, du XIIème siècle jusqu’à nos jours, des générations d’artistes avaient pu poursuivre et faire évoluer le style d’une cathédrale tout en préservant l’esprit de ses bâtisseurs.
Nous voulons entamer un chantier "perpétuel" pour offrir à des sculpteurs la possibilité de poursuivre un travail commencé par d’autres en créant des œuvres aux côtés de celles de leurs prédécesseurs, les prolongeant en quelque sorte. Une œuvre à redéploiement constant comme si, du XIIème siècle jusqu’à nos jours, des générations d’artistes avaient pu poursuivre et faire évoluer le style d’une cathédrale tout en préservant l’esprit de ses bâtisseurs.
LE MANIFESTE DES LAPIDIALES
Pour qu’une œuvre d’art acquière sa dimension sociale, elle doit s’offrir à la vue d’un public.
Malheureusement, la plupart de ces créations ne sont visibles que dans des musées où, transplantées, elles éprouvent bien du mal à exister dans leur idée première.
Il en va ainsi de la sculpture qui, bien qu’étant par essence un art public, ne trouve que très rarement dans et hors la cité, la respiration qu’elle appelle.
En investissant un site, des artistes, invités à travailler la pierre et la terre du lieu, pourront faire œuvre commune autant qu’individuelle, sur un chantier exponentiel dont il conviendrait de ne pas connaître le terme…
En accord intime avec la nature qui les environne, ils feront sortir de la matière des espaces scéniques, des décors, des acteurs, des danseurs, des musiciens et des spectateurs ... tous faits de terre ou de pierre, comme témoins permanents d’une émotion fugitive.
Le ciment qui doit lier tous ces talents venus de cultures et de pays différents, année après année, c’est la pétrification de l’éphémère, c’est la pérennité offerte aux arts vivants que sont le théâtre, la musique ou la danse.
Il s’agit non seulement d’instaurer dans le temps un rapport émotionnel entre la vie et la matière, mais aussi, dans le même élan, de jeter un pont en direction des générations futures, en témoignage des êtres que nous sommes aujourd’hui.
La sensibilité et la force d’expression devront prendre le pas sur le concept.
Si, d’une idée puissante, peut naître une œuvre d’art en dépit de l’académisme « conceptuel » de l’establishment qui a ravagé le paysage artistique de la seconde moitié du vingtième siècle et sévit encore en ce début de vingt et unième, seuls auront fait œuvre d’artistes ceux qui l’auront traduite en formes, en mots, en gestes, en images ou en notes, passés au crible de la sensibilité, de l’imagination et du savoir faire.
Notre ambition : commencer un chantier dont on ne verra pas la fin, mettre son savoir faire et son talent au service d’une œuvre commune tout en sachant que, même anonymes, inspiration et travail participent d’une essence unique : celle de l’humain.
Pour rassembler des personnes partageant la même aventure artistique, pour leur permettre d’exprimer la diversité des sources d’inspiration dans un creuset qui dépasse la mesure individuelle, il faut créer un chantier qui prenne en compte son propre développement au sein d’un espace dont l’extension doit s’envisager dès la conception.
Sur ce site, proclamation vivante d’une démarche créatrice commune, ils inscriront dans l’espace une sorte de charte transmissible aux hommes qui, demain, prendront le relais et perpétueront la vie de ce qui sera devenu un foyer de rencontres comme il n’en existe nulle part au monde à ce jour.
Des auteurs, des chorégraphes, des metteurs en scène, des musiciens ou des conteurs auront la possibilité, à certaines périodes, d’investir tout ou partie de l’espace dégagé pour s’y produire en harmonie avec l’âme du lieu.
Ils devront naturellement créer spécifiquement pour l’endroit, nourrissant par là même l’inspiration et le travail des sculpteurs et si, au hasard disons Shakespeare... devait apparaître aux LAPIDIALES ce serait en pierre, regardant une création contemporaine...
Ainsi, d’année en année, chacun des spectacles ayant vu le jour aux LAPIDIALES inscrira dans la pierre la trace de son éphémère existence pour une part d’éternité.
Malheureusement, la plupart de ces créations ne sont visibles que dans des musées où, transplantées, elles éprouvent bien du mal à exister dans leur idée première.
Il en va ainsi de la sculpture qui, bien qu’étant par essence un art public, ne trouve que très rarement dans et hors la cité, la respiration qu’elle appelle.
En investissant un site, des artistes, invités à travailler la pierre et la terre du lieu, pourront faire œuvre commune autant qu’individuelle, sur un chantier exponentiel dont il conviendrait de ne pas connaître le terme…
En accord intime avec la nature qui les environne, ils feront sortir de la matière des espaces scéniques, des décors, des acteurs, des danseurs, des musiciens et des spectateurs ... tous faits de terre ou de pierre, comme témoins permanents d’une émotion fugitive.
Le ciment qui doit lier tous ces talents venus de cultures et de pays différents, année après année, c’est la pétrification de l’éphémère, c’est la pérennité offerte aux arts vivants que sont le théâtre, la musique ou la danse.
Il s’agit non seulement d’instaurer dans le temps un rapport émotionnel entre la vie et la matière, mais aussi, dans le même élan, de jeter un pont en direction des générations futures, en témoignage des êtres que nous sommes aujourd’hui.
La sensibilité et la force d’expression devront prendre le pas sur le concept.
Si, d’une idée puissante, peut naître une œuvre d’art en dépit de l’académisme « conceptuel » de l’establishment qui a ravagé le paysage artistique de la seconde moitié du vingtième siècle et sévit encore en ce début de vingt et unième, seuls auront fait œuvre d’artistes ceux qui l’auront traduite en formes, en mots, en gestes, en images ou en notes, passés au crible de la sensibilité, de l’imagination et du savoir faire.
Notre ambition : commencer un chantier dont on ne verra pas la fin, mettre son savoir faire et son talent au service d’une œuvre commune tout en sachant que, même anonymes, inspiration et travail participent d’une essence unique : celle de l’humain.
Pour rassembler des personnes partageant la même aventure artistique, pour leur permettre d’exprimer la diversité des sources d’inspiration dans un creuset qui dépasse la mesure individuelle, il faut créer un chantier qui prenne en compte son propre développement au sein d’un espace dont l’extension doit s’envisager dès la conception.
Sur ce site, proclamation vivante d’une démarche créatrice commune, ils inscriront dans l’espace une sorte de charte transmissible aux hommes qui, demain, prendront le relais et perpétueront la vie de ce qui sera devenu un foyer de rencontres comme il n’en existe nulle part au monde à ce jour.
Des auteurs, des chorégraphes, des metteurs en scène, des musiciens ou des conteurs auront la possibilité, à certaines périodes, d’investir tout ou partie de l’espace dégagé pour s’y produire en harmonie avec l’âme du lieu.
Ils devront naturellement créer spécifiquement pour l’endroit, nourrissant par là même l’inspiration et le travail des sculpteurs et si, au hasard disons Shakespeare... devait apparaître aux LAPIDIALES ce serait en pierre, regardant une création contemporaine...
Ainsi, d’année en année, chacun des spectacles ayant vu le jour aux LAPIDIALES inscrira dans la pierre la trace de son éphémère existence pour une part d’éternité.
L'histoire des rapports de ce village de Charente Maritime avec la pierre remonte à l'antiquité. Elle assura sa prospérité tant par son exploitation que par le commerce qui en découlait.
Au XIXème ainsi qu'au début du siècle dernier, un bon nombre d'agriculteurs étaient carriers à mi-temps et beaucoup des carriers travaillaient également la terre. Ainsi naquît une culture de la pierre dans toute la population dont les résonances portent encore aujourd'hui.
Voilà pourquoi Les LAPIDIALES ont trouvé naturellement leur place sur le site des Chabossières.
Là où intuitivement, nous souhaitions un possible accord entre l'ambition du projet et son lieu d'implantation, la municipalité de Port d'Envaux y a reconnu l'espoir d'une renaissance d'activité dans un des secteurs fondateurs de la mémoire collective des gens d'ici. Elle y a lu le prolongement d'un passé qui tend à s'estomper et sa projection dans un futur actif.
Mais l'inscription des LAPIDIALES à Port d'Envaux dépasse les limites du village. Alentours, la pierre de Crazannes s'est taillée une renommée qui va largement au-delà de ce petit coin de France. En Charente Maritime le patrimoine de pierre est reconnu comme un véritable enjeu du développement culturel et patrimonial.
C'est pourquoi les LAPIDIALES, avec leur ambition de marier les arts, ne pouvaient trouver ancrage plus favorable tant localement que régionalement."
Tous ces renseignements ont été trouvés sur le site DES LAPIDIALES !
Merci aux sculpteurs pour leur accueil !
Les LAPIDIALES Mairie
17350 Port d'envaux Téléphone : 06 76 82 11 02
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