Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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mercredi 30 septembre 2015

DES JOURS PARFAITS D'ANNIE LEMOINE





" Un nouvel amour viendra bientôt, j'en ai la conviction . Je me sens protégée, me dis que je n'ai pas traversé cette épreuve pour rien . Que j'ai été malgré moi initiée à quelque chose qui me dépasse . Sans doute cet amour à venir sera-t-il différent . J'ai hâte d'en goûter les saveurs, d'en découvrir les contours. Quel visage aura-t-il ? " 

Pour toi mon amie ...


mardi 29 septembre 2015

LA CHAUSSEE DES GEANTS EN IRLANDE DU NORD

ÉTÉ 2012 
Et un rêve devient réalité ....

40 000 colonnes hexagonales en basalte, atteignant pour certaines jusqu’à 12 mètres de haut ! 

A DÉCOUVRIR ABSOLUMENT !















"La Chaussée des Géants (en anglais : Giant's Causeway ; en irlandais : Clochán na bhFómharach, ce qui signifie « Le petit tas de pierre des Fomoires ») est une formation volcanique située sur la côte d'Irlande du Nord. Située à 3 km au nord de la ville de Bushmills dans le Comté d'Antrim, à l'extrémité septentrionale du plateau d'Antrim, elle se caractérise par environ 40 000 colonnes hexagonales verticales juxtaposées (colonnes ou orgues basaltiques). L'ensemble, érodé par l'action de la mer, évoque un pavage qui débute de la base de la falaise et disparait dans la mer. Les colonnes sont visibles sur l'estran mais aussi dans la falaise haute de 28 mètres, qui constitue la bordure du plateau d'Antrim.
Le site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1986. Classé réserve naturelle nationale en 1987 par le Département de l'Environnement d'Irlande du Nord, le site et sa côte ont également intégré le réseau Area of Outstanding Natural Beauty en 1989. Le site appartient et est entretenu par le National Trust.

La Chaussée des Géants forme un promontoire qui s'avance sur la mer ; il est constitué de la juxtaposition de prismes de lave refroidie. Les plus grands de ces prismes atteignent près de 12 mètres de haut. La plupart ont une section de forme hexagonale, mais environ 30 % sont des pentagones et certaines colonnes ont quatre, sept, huit voire neuf ou dix faces. La section des prismes peut avoir une surface plane, convexe ou concave. L'ensemble évoque une chaussée ancienne au pavage irrégulier.

ET LE LEGENDE ....

Selon la légende, deux géants ennemis vivaient de chaque côté de la mer, l'un en Écosse, appelé Benandonner, et l'autre en Irlande, nommé Finn Mac Cumaill. Le géant écossais parlait de son rival irlandais comme d'une personne négligée et froussarde jusqu'au jour où celui-ci, piqué au vif, dit à l'Écossais de venir se battre pour lui prouver qu'il était le plus fort ! Mais comment franchir la mer ? L'Irlandais jeta des pierres dans l'eau pour construire un chemin praticable, une "chaussée" entre l'Écosse et l'Irlande. Mais quand il vit approcher son adversaire, l'Irlandais fut pris de panique car il était beaucoup plus petit que son adversaire ! Il courut demander conseil à sa femme, Oonagh, qui eut juste le temps de le déguiser en bébé avant l'arrivée du géant écossais. À ce dernier, elle présenta son "fils", qui n'était autre que son mari déguisé. Le géant écossais, voyant la taille de ce "bébé", prit peur. Affolé à l'idée de la taille du père et par conséquent de sa puissance, il prit ses jambes à son cou et s'en retourna dans ses terres d'Écosse en prenant soin de démonter la chaussée pour que l'Irlandais ne risque pas de rejoindre son île. Et depuis cette chaussée est restée à jamais gravée dans une des nombreuses légendes irlandaises."


LE SITE

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UN AUTRE LIEN

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lundi 28 septembre 2015

LES SCULPTURES DE JACQUES SERVIERES A CHESSY-EN-BRIE


" A la fois musée champêtre évoluant avec les saisons, les couleurs de la végétation, les caprices de la rivière, et fabuleux et mystérieux jardin de l'onde. Situées en bord de Marne, à Chessy-en-Brie, sur l'ancien chemin de Meaux, dans un espace encore non urbanisé, les sculptures de la Dhuys, mystérieuses et fascinantes surprennent et étonnent par leur caractère parfois inachevé, à la fois insolite, et majestueux, tels des champignons géants qui auraient poussé là ans ordre apparent, ou un Jurassik Park pétrifié.
De nombreuses images viennent à l'esprit, Carnac, Stonehenge, le désert blanc égyptien, l'ile de Pâques, l'art des Cyclades ou précolombien en passant par le bestiaire roman et Brancusi. L'éclectisme et le syncrétisme de l'inspiration surprennent sans nuire à l'unité liée au cadre et au matériau.
La matière, vulgaire au départ, qui en fait provient des pierres de l'ancien pont-aqueduc de la Dhuys, qui comme pour la Vanne transportait l'eau vers Paris et dont il ne reste plus que quelques vestiges, remplacés par des conduites souterraines à la joie des randonneurs, va ici prendre vie."



















" Le jardin de sculptures de la Dhuys se situe dans le nord de la commune de Chessy en Seine-et-Marne, sur la rive sud de la Marne. Il occupe un espace au débouché de la rue de la Marne, à son intersection avec l'ancien chemin de Meaux. Le jardin comprend une quarantaine de statues, réparties en deux groupes : un premier groupe où les statues sont disposées sur une pelouse d'environ 80 m sur 50 m, et un deuxième groupe où les statues s'élèvent le long d'un chemin de 200 m de long, entre la Marne et un champ. Le site est librement accessible.
Les statues sont monumentales, certaines atteignant 4 m de hauteur, et sont sculptées dans des blocs de pierre calcaire blanche assemblés par mortier. Elles représentent principalement des personnages humains, essentiellement féminins, ou des animaux, mythiques ou réels. Chaque sculpture porte l'initiale du sculpteur, ainsi que sa date de réalisation.

Le site du jardin de sculptures est occupé à partir des années 1860 par l'aqueduc de la Dhuis, construit afin d'acheminer l'eau de la Dhuis (ou Dhuys) jusqu'au réservoir de Ménilmontant à Paris. Entre Chessy et Dampmart, l'aqueduc franchit la Marne par un pont-aqueduc. En 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, le pont est bombardé et détruit ; les pierres de l'ouvrage restent à l'abandon.
En 1987, le sculpteur Jacques Servières s'installe sur le site et décide de réutiliser les pierres du pont pour créer ses statues ; la municipalité de Chessy participe gracieusement à l'entretien du site. Le site cambodgien d'Angkor lui inspire ses premières réalisations, puis son inspiration évolue. Il réalise environ deux statues par an."




Pour accéder à ce jardin, dans le village, prendre la rue de la Marne et descendre jusqu’au parking.

RUE DE LA MARNE
77700 CHESSY


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dimanche 27 septembre 2015

LES SCULPTURES DE JACQUES SERVIERES A CHESSY -EN-BRIE


" En se promenant sur les bords de Marne, Jacques Servières, ancien instituteur, découvrit un jour de gros blocs de calcaire provenant d’un ancien aqueduc de la Dhuys, détruit par les Allemands lors de la Seconde Guerre Mondiale.
Il se mit alors à les tailler et au rythme de 2 sculptures par an, il réalisa ces sculptures originales qui sont un véritable musée à ciel ouvert.
Il en a dit : 

"La Marne est près de moi et me donne du courant. C'est mon petit parc de rêve, ma Folie !"
Ces sculptures, au nombre de 40 aujourd’hui, inspirées d’un bestiaire imaginaire et du corps de la femme surprennent par leur caractère à la fois insolite et majestueux. "





















"C'est à partir de pierres de l'ancien aqueduc de la Dhuys bombardé en 1939, durant la Deuxième Guerre mondiale, que je réalise depuis 1987 ce jardin de sculpture en plein air au bord de la Marne.
Je poursuis mes recherches à contre-courant de la berge et tente de remonter vers la source de la rivière sculpture après sculpture.
Par la taille directe que je pratique sur ces blocs assemblés, je découvre des formes inexplorées au fil des saisons et des cultures.

Sur la même commune que le parc Disneyland Paris, j'offre à ma façon, un lieu de rêverie et d'imaginaire aux randonneurs, cyclistes et touristes fluviaux. La commune de Chessy entretient le parc et le préserve."


Pour accéder à ce jardin, dans le village, prendre la rue de la Marne et descendre jusqu’au parking.

RUE DE LA MARNE
77700 CHESSY


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samedi 26 septembre 2015

LES SCULPTURES DE JACQUES SERVIERES A CHESSY-EN-BRIE


"Le Jardin de sculpture de la Dhuys, sur la commune de Chessy, s'étend le long d'un petit terrain au bord de la Marne. A cet emplacement passait, depuis la fin du XIXe siècle, l'aqueduc de la Dhuys permettant l'acheminement d'eau potable jusque dans Paris. Détruit par un bombardement allemand au cours de la Seconde Guerre Mondiale, l'aqueduc aérien a depuis été remplacé pour un réseau de conduites souterraines et laisse la place aux pistes cyclables et aux chemins de randonnées jusqu'aux portes de la capitale.
Dans la commune de Chessy, les pierres de son ancien pont sont aujourd'hui recyclées en un véritable musée à ciel ouvert. Depuis 1987, le sculpteur Jacques Servières utilise cette matière première, trouvée sur place, pour réaliser des sculptures monumentales regroupant femmes, oiseaux, portails... en un bestiaire fantastique. Le jardin se peuple au rythme de deux nouvelles sculptures par an et s'étend petit à petit tout au long du sentier de Grande Randonnée GR14. Ces figures, imposantes, répondent aux noms de Rois et Lunes, Tango... et puisent avant tout leur inspiration dans la statuaire géante océanienne. Une Offrande a Mickey située à quelques pas de l'entrée du jardin, rappelle ironiquement que le parc d'attraction Disneyland Resort Paris, première destination touristique européenne, se trouve lui aussi sur le territoire de Chessy."



























Un texte de Frédérique Chapuis écrit  pour Télérama en 2008:

"Sur les bords de Marne, à l'écart du toc de Disneyland, Jacques Servières réalise depuis vingt ans un monde de pierre féérique.
Dans le vallon de Chessy-en-Brie, à une encablure du tohu-bohu de Disneyland qui règne en maître sur le plateau, se cache Le jardin de sculptures, de Jacques Servières. Un surprenant théâtre de hautes pierres dispersées le long d'un chemin qui longe la Marne. Jadis on y venait le dimanche déguster des fritures de poisson et assister à des matchs de catch. Ici passait l'aqueduc de la Dhuys servant à alimenter Ménilmontant en eau potable. Après son bombardement en 1939, les ruines restèrent de longues années à l'abandon. Une passerelle de bois le remplaça avant de s'écrouler à son tour. Jacques Servières, sculpteur régional, las de taper la pierre dans son jardin et pressé par ses voisins de cesser ce raffut, finit par s'installer au grand air à portée de main des cailloux. Sans référence artistique particulière, il laissa d'abord filer son imagination. Ses voyages à Angkor inspirèrent ses premières arches de pierres où fourmillent bêtes fantastiques et déesses. « Je revois encore les sculpteurs cambodgiens rire et chanter tandis que les singes venaient chiper leurs bananes, raconte-t-il. Il y avait chez eux une vivacité, un tempérament délirant d'une force incroyable. »

Puis au fil des ans - cela fait plus de deux décennies que le lieu est son unique atelier -, lentement son travail s'épure, les formes s'élancent vers le ciel. On pense à Antoine Bourdelle et parfois à Henry Moore. Mais lorsqu'on lui demande d'où surgissent ces œuvres, il répond en souriant : « La nature tout autour m'influence : sans doute la Marne qui me donne ce courant, les piverts qui me donnent le tempo... Si j'ai mangé du canard à midi, devinez ce qu'il me vient à l'esprit après digestion sur la pierre, sourit-il. Après m'être prouvé que je pouvais avoir une maîtrise de la taille, je me suis dégagé des cultures de l'Asie. A présent, j'essaie d'ajouter plus de réflexion sur la forme que sur le sujet. » L'homme est ici été comme hiver, tous les mercredis et les week-ends, vêtu de son bleu de travail recouvert d'une pellicule de poudre blanche. A côté de sa vieille bagnole équipée d'un générateur dans le coffre pour brancher ses machines à tailler. Les autres jours, il enseigne à des enfants en difficulté. A raison de deux sculptures par an, le jardin en compte aujourd'hui une quarantaine, et une madone de plus de 4 mètres de haut, son petit dans ses jupes, attend d'être achevée. Dans ce gigantesque atelier, Jacques Servières a de quoi voir venir. La municipalité de Chessy laisse quartier libre à ce doux rêveur qui n'en a pas fini d'égrener au bord de l'eau son bestiaire poétique."

Pour accéder à ce jardin, dans le village, prendre la rue de la Marne et descendre jusqu’au parking.

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77700 CHESSY


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