Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

.......................................................................................
........................................................................................
........................................................................................
.........................................................................................

Affichage des articles dont le libellé est Victor Soren. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Victor Soren. Afficher tous les articles

mardi 26 mai 2020

VICTOR SOREN ... MOI J'AIME



























Un texte de Pierre Vavasseur pour accompagner mon choix de photos :

« Victor Soren est  né le 15 février 1967 à Paris. Il a grandi au Pouliguen, un petit port de pêche breton. Après une scolarité des plus médiocres, il entre à l’école des Beaux-Arts de Nantes et en ressort quelques mois plus tard avec peu de pertes mais beaucoup de fracas, pour cause de « régression constante ».
Dès lors, il s’enferme dans une vielle maison nantaise, prêtée par sa grand-mère. C’est là que son univers prendra naissance. Chaque nuit il dessine dans une grande exaltation rehaussée par une intense consommation d’alcool. Très solitaire, il ne fréquente pas le milieu artistique local et ne montre jamais ses dessins. Il subsiste grâce aux minimas sociaux et à divers petits boulots très ponctuels (ouvrier, plongeur, manœuvre, éboueur…).
A partir de 1999 et durant quelques années, il sillonne la Bretagne avec sa compagne Chloé avant de se fixer à Paris en 2006.
Un jour par hasard, il tombe en arrêt devant un dessin de Louis Pons. Un grand rat traversant une ville la nuit. Il est subjugué par cette œuvre et réalise quelque chose : il est ce rat.. Se trouvant en si bonne compagnie, il ose avouer à la galeriste qu’il dessine. Peu de temps après, elle organise sa première exposition. Il a alors 42 ans. Il n’est pas précoce. Il boit moins. Depuis 2014, il réside à Nancy. »

«Ce que c’est que l’ombre, Soren le sait, et ce qu’il sait,
il ne nous appartient pas de le savoir, mais nous puisons dans son trait gratté
les blessures qui nous façonnent, il nous découd, il va chercher nos bêtes intimes, (…)
Derrière l’attrait du désastre, Soren est dans la beauté grave, le débord des voyages (..)
Et puisque nous sommes plusieurs en une seule peau, il va là où nous sommes dans nos ombres sans mots.»



UN LIEN VERS ART COMPULSION

SUR CRTIC'ART

SUR LE HANG ART DE SAFFRE 

UN AUTRE LIEN

SUR GALERIE ART AUJOURD'HUI

CHEZ BÉATRICE SOULIE



(cliquer)



mercredi 12 juillet 2017

HUBERT DUPRILOT ET VICTOR SOREN AU GRAND BAZ'ART A GISORS



LA FRESQUE D'HUBERT DUPRILOT


LE CAUCHEMAR DE DARWIN, 2ème volet (2017)
Le Cauchemar de Darwin, la peinture-puzzle monumentale qui a été présentée au public pour la première fois lors de l’édition 2016 du Grand BAZ’ART continue son épanouissement tentaculaire à travers une nouvelle très grande « fresque » dans laquelle se poursuit la recherche obsessive de quelque chose d’inaltéré et de vrai au milieu du train-train sans âme du quotidien, une quête aussi inarrêtable que la prolifération de silhouettes aveugles et de choses brisées dans les deux oeuvres majestueuses.

LE CAUCHEMAR DE DARWIN, 1er volet (2016)
Jean Rustin, Bosch, Dix, Dürer – toutes ces références fulgurent dans la tête du regardeur devant la dernière création de grandes dimensions de Hubert Duprilot, Le Cauchemar de Darwin, sans pouvoir chasser l’impression que tous ces visages d’emprunt ne sont qu’un appât, une paire de gants nécessaire à cet hyper-sensible pour pouvoir manipuler ses propres visions. Son langage esthétique, personnel et cohérent, se décline en lignes à la fois précises et évanescentes, en traits hâtifs en fusain, en encres écoulés et acryliques sales, en contours désintégrés – proliférations de chaires sans âme –, en rouges viscéraux, bruns putrides et bleus troubles ; toute la chromatique d’une psyché torturée, qui n’est pas celle de l’artiste, mais celle d’une époque. La dissolution fluide des monstrueuses créatures est tenue en équilibre par la rigueur architecturale des décors, par le blanc-noir de l’échiquier, par la tuyauterie ondulante qui structure l’espace. Un désordre savamment contrôlé, une orgie au souffle baroque qui se compose d’une multitude de petits effets, soigneusement dosés.





















VICTOR SOREN

"Un virtuose du dessin, Victor Soren pratique une espèce de grisaille au crayon pour aboutir à un photo-graphisme qui impose l’admiration et la peur, comme toute chose qui frôle la perfection. 
L’Étrange jaillit des associations incongrues des tableaux qu’il dessine : des belles jeunes filles aux jambes en bois, des animaux empaillés mais toujours animés… des êtres vivants se font enfermer dans des gouttes d’ambre, qui ne protègent pas leurs captifs d’un pourrissement ralenti et perpétuel, que même pas la mort ne saurait interrompre…"









LE SITE DU GRAND BAZ'ART

(cliquer)

GRAND BAZ ’ART 2017

10 rue de Cappeville - 27140 Gisors

Jean-Luc BOURDILA 06 62 62 57 72 
Oana Amaricai 06 70 56 63 88



contact@grand-baz-art.fr