"L'amour est un poisson d'avril"
Joseph-Guillaume Barthe
VINCA ALBA MINOR
DIDIER TRIGLIA
DOMINIQUE LEMOINE

SEACH ART
PATRICK STRAUB
RUBY SILVIOUS
ROBERTO KUSTERLE
PATRICK STRAUB
NOEMIE BOULLIER
MONETTE CARPEDIEM
MARIANNE DELAMARRE ANCARNO
LYDIE ROLET
LMG NEVROPLASTICIENNE
LAURE KETFA
JULIA LILLARD
JULIA GEISER
JOSEPH KURHAJEC
JOHN BELLANY
JEAN CHANOIR
JACQUELINE LENOEL
AU GROENLAND
GILLES GUERRIER
GILLES LIZANET
FRED STONEHOUSE
ERICK LEPRINCE
ELKE TRITTEL
EFEE AIME
DIDIER TRIGLIA
DANIEL LE SAUX
CESAR ARAOS
CORINNA TARGI
CATERINA THEOHARIDOU
BETTY BUSBY
ANNE BERNASCONI
ALIK ASSATRIAN
DOMINIQUE LEMOINE

PIERRE ALBASSER
DOMINIQUE LEMOINE
GILLES LIZANET
DOMINIQUE LEMOINE
Les trois vagues
Ce conte, d’origine norvégienne, relate l’exploit d’un garçon aux pouvoirs exceptionnels.
En
bord de mer vivait un petit garçon, appelé Olaf, avec ses pauvres
parents. Le garçon avait malgré tout grandi heureux et aimait le
travail. Il avait le pouvoir de tout voir, même l’invisible, et de le
devenir lui-même juste en passant la main devant les yeux.
Un
jour, son père ne revint pas de la pêche. Olaf consola sa mère en lui
disant que son père était naufragé sur une île légendaire. Peu après, le
petit Olaf devint marin. Un jour, il décida de rester avec sa mère pour
l’aider à cultiver la terre. Mais il aida une dernière fois ses amis
marins à charger leurs bateaux sur les quais. Soudain, il entendit des
voix criardes dans la nuit. Il s’agissait d’un complot de trois mouettes
qui en réalité étaient des sorcières et qui détestaient les matelots.
Olaf passa sa main devant les yeux et devint invisible pour écouter les
trois mouettes. Le petit garçon comprit que les trois sorcières
voulaient couler le bateau et noyer son équipage par trois gigantesques
vagues mais qu’il suffirait à chaque fois de jeter un bois de bouleau
par-dessus bord pour les sauver.
Le moment de prendre la mer
arriva et Olaf demanda au capitaine d’embarquer trois bois de bouleau.
Ce dernier fut étonné mais accepta. La première vague les surprit et les
matelots crurent voir leur fin. Olaf leur ordonna de jeter un bois de
bouleau dans la mer. Tout d’abord étonnés, ils obéirent et aussitôt la
mer se calma. Olaf entendit une mouette qui criait « Aie ! Aie ! Aie !
Je vais couler » et le bateau continua son chemin. Ils répétèrent la
même chose ainsi de suite jusqu’à la troisième vague.
Puis l’île
légendaire apparut au loin, le bateau s’approcha du rivage et Olaf
reconnut son père. Ils retournèrent au village sains et saufs.
POUR TOI FRANÇOISE ...
POUR TON ANNIVERSAIRE !