Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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lundi 7 octobre 2024

LE DÉTACHEMENT, GILLES RICHARD ET TONY LUCIANI




 
"Apprendre le détachement est l’une des choses les plus difficiles qui soient. Nous résistons parce que nous avons peur de perdre l’objet de notre attachement. Nous voulons que les choses se passent à notre façon, que les autres agissent comme nous le voudrions, que notre vie se déroule comme nous l’avions planifiée.

Et chaque fois que nous résistons, nous souffrons un peu plus.
Apprivoisons le détachement.
Apprendre à se détacher des résultats de nos efforts, du dénouement de nos attentes, de la réponse de l’autre à nos demandes est un grand exercice de confiance envers la Vie, d’ouverture du cœur et d’acceptation. 
 
Le détachement, ce n’est pas s’éloigner des autres pour ne pas vivre de l’attachement. Ce n’est pas non plus être indifférent à ce qui arrive comme résultats de nos attentes. C’est plutôt rester ouvert à ce qui arrivera, peu importe les résultats.
C’est accepter de composer avec ce que la Vie met sur notre chemin, sachant que c’est pour notre bien. C’est savoir que nous traverserons le pont une fois rendus à la rivière. 
 
C’est faire les efforts nécessaires pour obtenir la réalisation d’un projet, mais aussi accepter que le résultat puisse être différent de nos attentes, et faire avec. C’est aimer l’autre en offrant tout notre amour, tout en reconnaissant que l’autre puisse aimer de manière différente que ce que nous souhaitions.
C’est s’aimer soi, même les imperfections, en sachant qu’on ne peut rien améliorer si on ne l’accepte pas en premier lieu.
 
C’est vivre en faisant de son mieux, en donnant son maximum tout en sachant que parfois nous aurons du succès, et parfois non; parfois nous serons reconnus et parfois, non; parfois nous serons aimés, et parfois non.
Le détachement, c’est notre détermination à être libre et c’est un grand anti-stress ! C’est avoir la conviction profonde que tout est parfait, peu importe ce qui arrive. c’est surtout porteur d’une grande paix intérieure."
 
Gilles Richard
 
 
 
 
 
 
 
 
 Photos Tony Luciani
 
 
 

dimanche 6 octobre 2024

JEAN CLERTE ET LE FILM DE MARJANE SATRAPI : "PARADIS PARIS"

 

Ceux qui suivent mon blog savent que j'aime le cinéma et que j'aime lorsque des films entrainent des découvertes artistiques ou autres ...

Ce fut le cas pour "Paradis Paris" où dans un bel escalier est apparue une oeuvre magnifique de JEAN CLERTE. 

L'occasion bien sûr de faire des recherches et de découvrir un nouvel artiste...

 

"Le peintre, graveur et sculpteur Jean Clerté est né à Saint-Savin-Sur-Gartempe en 1930. Il peint dès l’âge de 16 ans. A la fin des années 50, il fait parti du groupe Images (avec Jacques Busse, Jean Cortot, Pierre Dmitrienko, Jacques Dufresne, Jacques Germain et d’autres encore). Il côtoie Pierre Alechinsky dès 1968, l’aidant à mettre au point son travail gravé et le marouflage sur toile de ses acryliques sur papier. Alechinsky l’initie à l’acrylique.
Artiste multidisciplinaire dont l’humour est souvent caustique et satirique, Jean Clerté crée un monde dans un espace où le dessin, la peinture, les sculptures, les mobiles, participe d’une figuration ludique. Jean Clerté œuvre par séries.
Ses narrations séquentielles témoignent à la fois d’une juvénile spontanéité et d’une parfaite maîtrise dans la répartition des formes et des images sur la surface peinte."

 














"Jean Clerté, né en 1930 à Saint-Savin-sur-Gartempe dans la Vienne est un peintre, graveur, dessinateur, aquarelliste et sculpteur français.

Biographie

Jean Clerté commence à dessiner et à peindre très jeune et, à l'âge de 15 ans, il est inscrit à l'École des Beaux-Arts de Poitiers. Puis en 1949, curieux de la capitale, il s'installe à Paris. Disposant de très peu de ressources financières, il ne peut d'abord pas poursuivre ses études, travaille comme modèle pour survivre, et rencontre d'autres artistes ; il est alors admis dans l'atelier d'Ossip Zadkine et, à partir de 1952, il peut également étudier la gravure à l'Atelier 17 de Stanley William Hayter, graveur, imprimeur anglais installé à Paris associé dans les années 1930 au surréalisme et à partir de 1940 à l'expressionnisme abstrait.

Élève de Jacques Busse, sur les conseils de celui ci, Clerté n'abandonne cependant pas la peinture et, à la fin des années 1960, il travaille aux côtés de Pierre Alechinsky, membre fondateur du mouvement Cobra, gravant les originaux de ce dernier, bénéficiant de ses conseils, et découvrant l'acrylique. À partir de 1976, Jean Clerté devient professeur associé chez Hayter. Clerté enseigne auparavant, en 1971 à l'Université d'été de Salzbourg et en 1972, il donne des cours à l'Université Paris-Sorbonne. En 1981, il est nommé professeur à l'École des Arts décoratifs, où il a pour élève Maïlys Seydoux-Dumas et, de 1983 à 1988, il est le professeur, adjoint d'Alechinsky à l'École des Beaux-Arts de Paris.

Ses premières œuvres s'inscrivent dans le courant de l'abstraction lyrique, et sont nourries par des impressions de nature (motifs paysagers, par exemple feux de forêt, paysages aquatiques), puis vers 1968, encouragé par Alechinsky, il rejette l'abstraction, et son travail devient plus figuratif avec des éléments expressifs et humoristiques. À partir de cette période, ses couleurs sont plus atténuées, souvent avec des tons pastel, il travaille sur des séries. Jean Clerté a créé un monde dans un espace où le dessin, la peinture, les objets participent d'une figuration ludique. À partir de ses dessins sont nées des sculptures qui sont autant de dessins en volumes, parfois mobiles (Le Moulin à dessin). Si l’artiste fabrique des « jouets » étonnants, polychromes, fantasques, le peintre s’adresse également aux grandes personnes et l’humour devient caustique, satirique.

Ses premières expositions en France ont lieu à la galerie Massol, puis à la galerie Pascal Gabert et à la Villa Tamaris, et régulièrement au Salon des réalités nouvelles. En 1957, il obtient le premier prix de gravure du Musée de Philadelphie, et en 1963 le premier prix Adam du Salon de mai. "

 

 JEAN CLERTE SUR WIKIPEDIA

LE FILM  "PARADIS PARIS"

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samedi 5 octobre 2024

LES GALETS ....MOI J'AIME


YSABELLE VOSCAROUDIS

 


VINCA ALBA MINOR 




 

 

NATASHA NEWTON 




MONICA JOHNSON 

 




 

 

 

LORAN LEGOFF 



LORA LOILLEUX 


 

 

KERRIE ANN GARDNER 




KASIA ZARO 



FERO LIPTAK 


 

 

 

CLAIRE ROGER 


 
 
 
 
CHRISTINE SAWAS 

 

 

BRIGITTE BREYTON 


 

 

 

ANNE-SOPHIE DE BASSOFF



AGATHA UKEO 


 

 

 

PIERRE ALBASSER 



OSAMA EL HEFNY 



GÉRARD SENDREY 




 

 J'ATTENDS PAR MAIL OU VIA FACEBOOK VOS RÉALISATIONS !


 LES GALETS ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

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vendredi 4 octobre 2024

SEVERINE GALLARDO C'EST TELLEMENT BEAU

Encore une découverte magnifique !

"Ma démarche artistique se nourrit essentiellement des folklores et de leurs costumes, avec un intérêt tout particulier pour la parure de tête et le masque. Mon processus de création utilise des savoir-faire et des techniques traditionnels textiles, tels que le feutrage, la broderie, le tricot ou encore le crochet. Avec le temps, mes réalisations tendent plus précisément vers des formes architecturales, combinant des ornementations ou des motifs brodés que je prélève, le plus souvent, d’images anciennes et documentaires. Ces parures ainsi que ces masques sont présentées pour la plupart à l’occasion de défilés, de parades ou de performances."

 



 













 Le parcours artistique de Séverine
  
"Le parcours artistique de Séverine a commencé à l'âge de 11 ans. Elle était en vacances avec ses
grands-parents en vacances, un jour de pluie. "Je m'ennuyais et ne savais pas quoi faire.
quoi faire. Ma grand-mère m'a appris à faire du crochet. Elle est allée dans le placard et est revenue avec une boîte pleine de fils. Elle m'a dit : "Je vais t'apprendre à faire du crochet". J'ai adoré ça. J'aimais les gestes répétitifs, j'aimais la matière. Et j'aimais passer des moments privilégiés avec
avec ma grand-mère, et travailler ensemble. Tout a commencé à ce moment-là".

Même si le premier essai de Séverine n'avait "rien de spécial", c'était le début d'une vie de travail, de la fabrication de petits objets à la création de sculptures et de coiffes incroyables.

"J'ai commencé par les masques africains", explique Séverine. "Parce que j'aime la culture africaine et que je voulais essayer de construire un masque africain avec du tricot et du fil. Chaque masque m'a permis d'essayer quelque chose de nouveau avec le fil puis, petit à petit, mon travail est devenu plus sculptural et architectural".

Comme beaucoup d'artistes, Séverine a aussi un emploi de jour, ce qui lui permet de consacrer du temps à son travail créatif. Je suis éditrice et je travaille donc beaucoup avec des images et des illustrations", explique-t-elle. "Je suis également enseignante à l’École D'Art, qui est ouverte à tous ceux qui veulent faire de l'art. J'ai un cours spécial d'art textile que j'aime beaucoup parce que j'aime parler avec les gens".

Lorsque le travail quotidien de Séverine est terminé, elle passe du statut d'enseignante à celui d'artiste. Quand la plupart des gens sont assis sur le canapé à regarder un film, Séverine garde les mains occupées, se lançant dans ses œuvres complexes et incroyables."
 
 
 
 
 
 

 
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