Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

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Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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mercredi 9 novembre 2022

NATHALIE HAGGIAG ET SERGE REGGIANI

 

Lorsque j'ai partagé sur Facebook cette œuvre de NATHALIE HAGGIAG, Muriel Gabilan m'a donné l'idée d'un nouveau partage en  évoquant la chanson de Serge Reggiani écrite par Anne Sylvestre...

 

 


Maumariée, oh maumariée
Quand ils t'ont trouvée
Si blanche et dorée
Blonde blonde blonde
Maumariée, oh maumariée
Quand ils t'ont trouvée noyée
Dans le courant
Entre tes draps de mousse
Dans le courant
Les yeux fermés si douce
Comme un jardin de fleurs
Comme un jardin
Saccagé par l'orage
Comme un jardin
Comme une fleur sauvage
Tu fuyais ton malheur
Entre deux eaux
Entre deux eaux
Et tu étais là, toi
Tu étais là
Inutile et vain
Avec tes deux mains
Imbécile et froid
Avec tes deux bras
Avec tout ton corps
Qui regrette encore
Maumariée
Lui t'aurait consolée
Va, maumariée
Il aurait su t'aimer
Et tous les hommes qui sont là
T'auraient ouvert portes et bras
Tous auraient voulu empêcher
Cet irrémédiable péché
Toi si blonde, maumariée
Toi si blonde, mal aimée
Maumariée, oh maumariée
Quand tu t'es sauvée
Si blanche et dorée
Blonde blonde blonde
Maumariée, oh maumariée
Quand tu as désespéré
Ne pouvais-tu
Ne pouvais-tu m'attendre
Ne pouvais-tu
A cet instant comprendre
Que lui courait vers toi
Que lui courait
Comme vers une source
Qu'il courait, ignorant que sa course
Le conduisait là-bas
Au bord de l'eau
Au bord de l'eau
Et tu voilà, toi
Tu voilà
Avec tes deux mains
Qui ne tiennent rien
Son image en toi
Qui ne s'en va pas
Avec tout ton corps
Qui regrette encore
Maumariée
Poura pas l'oublier
Va, maumariée
Que l'aurait pu t'aimer
Et tous les hommes qui sont là
N'ont pas fini de pleurer sur toi
N'ont pas fini se reprocher
Cet irrémédiable péché
Toi si blonde, maumariée
Toi si blonde, mal aimée
Maumariée, oh maumariée
Quand ils t'ont trouvée
Si blanche et dorée
Blonde blonde blonde, blonde blonde blonde blonde
 
 
 

 
 
 
 
 
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mardi 9 août 2022

"BROADWAY" DE FABRICE CARO ET "SALVATORE" DE LANA DEL REY

 


"Du paddle à Biarritz. Si je devais établir une liste de mes vacances idéales, le paddle à Biarritz avec un couple d'amis n'apparaîtrait pas sur la feuille, ni au dos, ni dans le cahier tout entier. Le soir où il avait lancé cette idée, tout le monde était emballé, c'était l'idée du siècle, du paddle à Biarritz, youhou, champagne. Moi-même j'arborais un sourire franc pour ne pas détonner dans l'effervescence ambiante, un sourire de photo de mariage, sans même savoir ce que signifiait le mot paddle, quoique pressentant qu'il avait de bonnes raisons de ne pas faire partie de mon vocabulaire. En rentrant, j'avais tapé paddle sur Google images, et mes appréhensions s'étaient vues confirmées : on me proposait d'aller ramer debout sur une planche en caleçon de bain avec des gens, et je me suis aussitôt vu, le dos courbé sur un paddle qui n'avançait pas, voire reculait, transpirant et rougeaud, le visage grimaçant de douleur et d'effort, tentant de rattraper à vingt mètres devant moi Denis et ses pectoraux fermes et tendus sous le vent océanique."

Une femme et deux enfants, un emploi, une maison dans un lotissement où s'organisent des barbecues sympas comme tout et la perspective du paddle à Biarritz avec un couple d'amis l'été prochain... Axel pourrait être heureux, mais fait le constat, à 46 ans, que rien ne ressemble jamais à ce qu'on avait espéré. Il s'était rêvé scintillant et emporté dans une comédie musicale à la Broadway, il se retrouve dans un spectacle de fin d'année foireux. Et s'il était temps pour Axel de tout quitter, de partir dès ce soir à Buenos Aires, au lieu de rentrer du travail et malgré l'apéro chez les voisins ?

Après "Le Discours", Fabrice Caro confirme son talent unique pour mêler scènes désopilantes et mélancolie existentielle."


"Là elle écoute en boucle une chanson de Lana Del Rey, Salvatore, et cette chanson sans même que j'en saisisse les paroles est de la même tristesse infinie, sa ritournelle d'une insondable mélancolie, et les yeux de ma fille se teintent d'une douleur tragique, ses sourcils ployant sous le faix de toute la misère du monde, elle va chercher la souffrance comme on descend à la mine, creuser dans ses entrailles pour en remonter tout ce qui pourrait l'alimenter, même si à dix-huit ans le minerai est encore pauvre, mais qu'importe, tout est bon à prendre, elle se regarde pleurer pour pleurer plus encore, véritable fontaine en circuit fermé ...."






LE LIEN 

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jeudi 19 novembre 2020

LA DANSE MACABRE DE CAMILLE SAINT-SAËNS

L'envoi d'Isabelle Pulby d'un article de Musiktips faisant écho à mes différentes publications sur les danses macabres me donne envie à mon tour d'un partage  ...

 "Les squelettes blancs vont à travers l’ombre, courant et sautant sous leurs grands linceuls." 

 Henri Cazalis

 

Janvier 1875, Paris. Tous les spectateurs sont installés, le concert peut commencer. Ils sont venus écouter la dernière création du compositeur Camille Saint-Saëns. Mais c’est la stupeur ! Car ce dernier n’hésite pas à bousculer les habitudes

 L’œuvre est un "poème symphonique", une musique pour orchestre inspirée d’un texte littéraire. Or, l’écrit sur lequel s’appuie Saint-Saëns parle d’une danse macabre.

Ces danses, qui datent du Moyen Âge, miment la Mort qui entraîne les humains dans une grande farandole. Le sujet a de quoi faire froid dans le dos !

 


 

 Et Saint-Saëns ne fait pas les choses à moitié. Comme souvent avec lui, tous les instruments ont un rôle. Les douze coups de minuit sont joués à la harpe. Les notes grinçantes du violon évoquent la Mort en personne. Tout est là pour créer un climat macabre, mais bizarrement joyeux.

Puis la mélodie annonce l’arrivée des squelettes, et là, coup de théâtre ! Saint-Saëns a choisi de les personnifier grâce à un instrument très original : le xylophone. En frappant à l’aide de baguettes des lattes de bois, on obtient des notes sèches, courtes, qui rappellent le cliquetis des os…

 


 C’est la surprise générale : cet instrument à percussion n’avait encore jamais fait partie d’un orchestre symphonique ! Ce choix est alors si peu conventionnel que Saint-Saëns préfère préciser sur la partition, à l’intention des futurs interprètes, l’adresse du magasin pour s’en procurer.

 Et cette audace fait son petit effet : on réclame un bis ! L’œuvre devient un succès, immédiatement adaptée par d’autres compositeurs.

Quant à Saint-Saëns, il n’hésitera pas à se parodier lui-même. Il réutilise l’air du xylophone dans une autre de ses célèbres compositions, Le Carnaval des animaux, dans la mélodie évoquant les vieux fossiles…



 SUR CAMILLE SAINT-SAENS

SUR LA DANSE MACABRE

 SUR LE THÈME DE LA DANSE MACABRE

 LE SITE DE MUSIKTIPS 

LES DANSES MACABRES ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

 (cliquer)

 

mardi 18 février 2020

LA LLORONA





Je sors du magnifique film de Jayro Bustamante " LA LLORONA"
"Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd'hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona...."
Le désir en rentrant chez moi d'écouter ce chant magnifique dont j'ai trouvé plusieurs versions sur YouTube ....












La Llorona

Todos me dicen el negro, llorona
Negro pero cariñoso
Todos me dicen el negro, llorona
Negro pero cariñoso
Yo soy como el chile verde, llorona
Picante pero sabroso
Yo soy como el chile verde, llorona
Picante pero sabroso
Ay de mí, llorona
Llorona, tú eres mi chunca
Ay de mí, llorona
Llorona, tú eres mi chunca
Me quitarán de quererte, llorona
pero de olvidarte nunca
Salías del templo un día, llorona
Cuando al pasar yo te ví
Salías del templo un día, llorona
Cuando al pasar yo te ví
Hermoso huipil llevabas, llorona
Que la virgen te creí
Hermoso hipil llevabas, llorona
Que la virgen te creí
Si porque te quiero quieres, llorona
Quieres que te quieres más
Si porque te quiero


Pour Apolline 



lundi 21 octobre 2019

THE BALLAD OF HENRY DARGER





Who'll save the poor little girl ? 
Henry Darger, Henry Darger
Who'll save the poor little girl ?
Henry, Henry Oh Henry Oh Henry, Henry
Who'll tell the story of her ? 
Henry Darger, Henry Darger
Who'll tell it to all the world ?
Henry, Henry Oh Henry Oh Henry, Henry
Who'll buy the carbon paper now ? 
Henry Darger, Henry Darger
Who'll trace the lines of her mouth?
Henry, Henry Oh Henry Oh Henry, Henry 
Who will conquer foreign worlds searching for the stolen girls ?
Princesses you'll never fear the patron saint of girls is here!
Who will draw the cavalry in and risk his very own precious skin 
To make our Angelinia a free and beautiful land again ?
Henry Who'll love a poor orphan child 
Henry Darger, Henry Darger
Lost, growing savage and wild ? 
Henry, Henry Oh Henry Oh Henry, Henry








(photos Google)



samedi 19 novembre 2016

ART BRUT A BELFORT : JEAN-MARIE MASSOU A L'HONNEUR

 Il y a quelques années j'ai été bouleversée par le film "Le plein pays" d'Antoine Boutet :
Un homme vit reclus depuis trente ans dans une forêt du sud-ouest de la France, creuse en solitaire de profondes galeries souterraines qu'il orne de gravures archaïques. Sans commentaire ni jugement, un documentaire sidérant. Prix du public au Festival de Belfort 2009".




 Je viens de recevoir un message de Matthieu Morin m'annonçant  la sortie du premier disque de Jean-Marie Massou et me disant que son travail musical est actuellement présenté à l'exposition  Art Brut Now à l'espace Gantner de Belfort jusque début janvier :

"Le disque Sodorome sortira  pour début janvier voire peut-être mi-décembre 
Enregistré en pleine forêt bouriane, dans le Lot, chez et avec Jean-Marie Massou, Sodorome présente plusieurs faces des expériences musicales de cet homme singulier. Entre complaintes chantées à genoux au-dessus de la citerne enfouie derrière sa maison et extraits des centaines d’heures de cassettes audio enregistrées sur plusieurs magnétos, Massou dévoile ici une part de ce qui l’occupe et de ce qui le préoccupe, l’univers imaginaire de l’enfance et son insouciance autant que l’imminence de la fin du monde et de ses habitants. Nous avions découvert Jean-Marie Massou, taillé comme un hercule, dans le documentaire “Le Plein Pays” d’Antoine Boutet, capable de redessiner le territoire en creusant des kilomètres de tranchées et de gouffres pendant près de quatre décennies et voulions en savoir plus sur son rapport à la musique et au monde."


 




L’art brut a été conceptualisé par Jean Dubuffet en 1945. Il a été le synonyme de récupération, de compulsion et de prolifération. On l’a souvent considéré à tort en opposition à la technologie. Pourtant, des artistes détournaient déjà des instruments de mesure ou de calcul. Aujourd’hui, certains vont même plus loin en s’attaquant aux opportunités créées par les nouveaux médias. C’est le thème retenu par cette exposition, « Brut data ou les nouveaux territoires… de l’art brut », la première du genre consacrée à cette interaction entre l’art brut et les nouveaux médias.
L’exposition s’intéresse à la vidéo et au documentaire, via le travail d’Antoine Boutet intitulé Le plein pays, aux programmes informatiques, grâce à Abdelmajid Mehdi, aux délires numériques d’Oscar Morales, mais aussi à la radio, avec Radio Autista, ou à la musique, avec Brut Pop’. Un tel projet ne pouvait être imaginé à Belfort sans un partenariat avec l’espace multimédia Gantner de Bourogne (Territoire de Belfort), qui explore au quotidien la culture numérique. Le commissariat de l’exposition a été confié à Christian Berstgaleriste parisien et new-yorkais, mais également critique d’art de renom.
- See more at: http://www.belfort-tourisme.com/patrimoine/brut-data.htm#sthash.nHQhdxNA.dpuf
L’art brut a été conceptualisé par Jean Dubuffet en 1945. Il a été le synonyme de récupération, de compulsion et de prolifération. On l’a souvent considéré à tort en opposition à la technologie. Pourtant, des artistes détournaient déjà des instruments de mesure ou de calcul. Aujourd’hui, certains vont même plus loin en s’attaquant aux opportunités créées par les nouveaux médias. C’est le thème retenu par cette exposition, « Brut data ou les nouveaux territoires… de l’art brut », la première du genre consacrée à cette interaction entre l’art brut et les nouveaux médias.
L’exposition s’intéresse à la vidéo et au documentaire, via le travail d’Antoine Boutet intitulé Le plein pays, aux programmes informatiques, grâce à Abdelmajid Mehdi, aux délires numériques d’Oscar Morales, mais aussi à la radio, avec Radio Autista, ou à la musique, avec Brut Pop’. Un tel projet ne pouvait être imaginé à Belfort sans un partenariat avec l’espace multimédia Gantner de Bourogne (Territoire de Belfort), qui explore au quotidien la culture numérique. Le commissariat de l’exposition a été confié à Christian Berstgaleriste parisien et new-yorkais, mais également critique d’art de renom.
- See more at: http://www.belfort-tourisme.com/patrimoine/brut-data.htm#sthash.nHQhdxNA.dpu
"L’exposition Brut Now, présentée par l’Espace multimédia Gantner et les musées de Belfort, réinscrit pour la première fois, l'art brut dans sa contemporanéité.
Avec plus de 200  œuvres issues de collections particulières, de fondations privées ou de structures publiques françaises et étrangères, elle place les nouvelles pratiques, les nouveaux médias, et le foisonnement international qui en découle, sur le devant de la scène artistique française.
 L’art brut a été conceptualisé par Jean Dubuffet en 1945. Il a été le synonyme de récupération, de compulsion et de prolifération. On l’a souvent considéré à tort en opposition à la technologie. Pourtant, des artistes détournaient déjà des instruments de mesure ou de calcul. Aujourd’hui, certains vont même plus loin en s’attaquant aux opportunités créées par les nouveaux médias. C’est le thème retenu par cette exposition, « Brut data ou les nouveaux territoires… de l’art brut », la première du genre consacrée à cette interaction entre l’art brut et les nouveaux médias."
 
"L’exposition s’intéresse à la vidéo et au documentaire, via le travail d’Antoine Boutet intitulé Le plein pays, aux programmes informatiques, grâce à Abdelmajid Mehdi, aux délires numériques d’Oscar Morales, mais aussi à la radio, avec Radio Autista, ou à la musique, avec Brut Pop’. 
 Le commissariat de l’exposition a été confié à Christian Berstgaleriste parisien et new-yorkais, mais également critique d’art de renom.

Avec les oeuvres de : Horst Ademeit, Éric Benetto, Terry Davis, Pepe Gaitán, Alexandro Garcia, Zdenek Kosek, Hans Krusi, Jean Lefèvre, Jean-Marie Massou, Dan Miller, Bintou Minte, Oscar Morales, Albert Moser, Jean Perdrizet, Lubos Plny, Rhalidou Diaby, Enzo Schott, Ionel Talpazan, Miroslav Tichy, John Urho Kemp, Eugene von Bruenchenhein, Melvin Way, Yoan, Zorro.

 UNE VIDEO SUR L'ART BRUT AU TEMPS DES TECHNOLOGIES 

 JEAN-MARIE MASSOU

 UN LIEN

 LE PLEIN PAYS ( EXTRAIT DU DOCUMENTAIRE)

 UNE VIDÉO

 ( cliquer)

 JUSQU'AU 16 JANVIER 2017

 RUE BARTHOLDI
ue Bartholdi
90000  BELFORT
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90000  BELFORT
 90000 BELFORT 

 
 






lundi 25 avril 2016

"EN ATTENDANT BOJANGLES" D'OLIVIER BOURDEAUT


Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n'y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui mène le bal, c'est la mère, imprévisible et extravagante. Elle n'a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l'inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte. L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.



 " Certains ne deviennent jamais fous ...
Leurs vies doivent être bien ennuyeuses "
Charles Bukowski

 " Son comportement extravagant avait rempli toute ma vie, il était venu se nicher dans chaque recoin, il occupait tout le cadran de l'horloge, y dévorant chaque instant. Cette folie, je l'avais accueillie les bras ouverts, puis je les avais refermés pour la serrer fort et m'en imprégner, mais je craignais qu'une telle folie douce ne soit éternelle . Pour elle le réel n'existait pas . J'avais rencontré une Don Quichotte en jupes et en bottes, qui chaque matin, les yeux à peine ouverts et encore gonflés, sautait sur son canasson, frénétiquement lui tapait les flancs, pour partir au galop à l'assaut de ses lointains moulins quotidiens. Elle avait réussi à donner un sens à ma vie en la transformant en un bordel perpétuel. "

" Elle lui avait appris à vouvoyer tout le monde car elle considérait le tutoiement comme le meilleur moyen d'être à la merci des gens, elle lui avait dit que le Vous était la première barrière de sécurité dans la vie, ainsi qu'une marque de respect qu'on devait à l'humanité tout entière."


 UNE CRITIQUE 

UNE AUTRE

ET ICI

ET LA 


(cliquer sur les liens)





mercredi 18 mars 2015

" AU SUD DE LA FRONTIERE, A L'OUEST DU SOLEIL" D'HARUKI MURAKAMI



"Hajime est un homme accompli, père de famille et heureux propriétaire d'un club de jazz de Tokyo. Lorsqu'un beau jour, son amour d'enfance, Shimamoto-san, surgit dans son bar. Les retrouvailles avec cette femme insaisissable, qui n'apparaît que les jours de pluie, plongent Hajime dans l'abîme d'une quête obsédante, contre la course du temps et des sentiments..."



 Né à Kyoto en 1949, Haruki Murakami est le traducteur japonais de Scott Fitzgerald, Raymond Carver et John Irving. Ne supportant pas le conformisme de la société japonaise, il s'est expatrié en Grèce, en Italie puis aux États-Unis. En 1995, après le tremblement de terre de Kobe et l'attentat du métro de Tokyo, il a décidé de rentrer au Japon. Haruki Murakami a rencontré le succès dès la parution de son premier roman, Écoute le chant du vent (1979), qui lui a valu le prix Gunzo. Suivront notamment Chroniques de l'oiseau à ressort, Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, Les Amants du Spoutnik, Kafka sur le rivage et Le Passage de la nuit. Il signe aujourd'hui une trilogie, 1Q84, dont les deux premiers tomes paraissent chez Belfond en 2011 et le dernier tome en 2012. Plusieurs fois favori pour le prix Nobel de littérature, Haruki Murakami est aujourd'hui un auteur culte au Japon et son œuvre est traduite dans plus de trente pays.



 " Quand j'étais étudiant, ou même ensuite quand je travaillais comme correcteur, le soir, je mettais le disque de Duke Ellington intitulé Such Sweet Thunder et me repassais en boucle ce morceau et le fabuleux solo de Johnny Hodges, alliant sensibilité et habileté technique . En écoutant cette mélodie belle et légère, je me rappelais toujours cette période de ma vie . On ne peut pas dire que j'étais très heureux alors. Pourtant, le souvenir de cette époque m'emplissait de nostalgie . J'étais plus jeune, plus affamé, plus solitaire que maintenant . Mais j'étais vraiment moi-même."




" - A ton avis d'où venait le problème avec ce concert ? demanda -t'elle . Le pianiste était pourtant excellent .
- Tu te rappelles ? Le disque que nous écoutions enfants était un peu rayé à la fin du deuxième morceau, on entendait un petit grésillement. Crr, crr, crr. Quand je n'entends pas ça, il me manque quelque chose" .

" Le trio de musiciens se mit à jouer comme d'habitude Star-Crossed Lovers " ....
-C'est joli 
- Oui, une très belle musique. Mais aussi très complexe, on s'en rend compte à force de l'écouter. Tout le monde ne peut pas la jouer . C'est Duke Ellington et Billy Strayhorn qui l'ont créée. En 1957, si je m'en souviens bien . " 
- Star-Crossed Lovers, dit Shimamoto-san . Qu'est ce que cela signifie ?
- Des amants nés sous une mauvaise étoile . Des amants au destin malheureux . Tu vois en anglais il existe un mot exprès pour exprimer ça . Il s'agit de Roméo et Juliette en fait . " 




 Pour Antoine et pour Nathalie .....

lundi 2 mars 2015

LISA LOUIZE

C'est MA rencontre de cette fin février 2015 !
Depuis j'écoute en boucle !

" Lisa Louize, c’est un univers sensible,

des textes truculents, un son électrique et intime,

quelques vacheries balancées comme des fléchettes,

des arrangements ciselés, une voix cristalline,

de l’émotion brute partagée …"











LISA LOUIZE ENTRE GRAVITE ET LÉGÈRETÉ .....




" Passionnée depuis de nombreuses années par le chant et le travail de la voix, Lisa s’échappe des «Mystérieux Chewing-Gums Electroniques» où elle officiait tantôt comme chanteuse, tantôt comme comédienne depuis 5 ans.
Sa voix, sa guitare, son clown et sa sensibilité l'accompagnent chaque jour dans ce projet très personnel.
Pour ce nouveau tour de chant, elle s’entoure de chics types !
Eric Mie, chanteur, comédien, dessinateur, écrit et coécrit des textes et des musiques.
Maël Nesti, guitariste et multi-instrumentiste l’accompagne sur scène et aux arrangements."


LE SITE DE LISA LOUIZE

D'AUTRES CHANSONS

DES VIDÉOS

(cliquer sur les liens)


Printemps 2015 :
Sortie du nouvel album !
  
Concert le Jeudi 19 Mars 2015 en TRIO :
GIF-sur-YVETTE - 91

Concert le Dimanche 22 Mars 2015 en TRIO :
FLEURY - 57

Concert le Dimanche 26 Avril 2015 ! en TRIO :
Anes Art'Gonne - EVRES en ARGONNE - 55

Concert le Mercredi 3 Juin 2015 en TRIO :
Médiathèque - Saint-DIZIER - 52 


vendredi 9 janvier 2015

HISTOIRE D'ALICE QUI NE PENSAIT JAMAIS A RIEN (ET DE TOUS SES MARIS, PLUS UN)

"Paul a cinquante-six ans. Il vient de perdre sa mère. À son enterrement, il rencontre la sœur de celle-ci pour la première fois. Il ne connaît d'elle que son prénom, Alice. À soixante-treize ans, sa tante ne lui apparaît pas comme une vieille dame. Elle est séduisante, un peu mystérieuse et, surtout, pleine de vie et de fraîcheur. Elle invite son neveu à venir la voir à son hôtel et là, en face à face, elle va lui raconter son incroyable existence. Alice fait partie de ces êtres rares qui ont vécu dix vies en une seule. Et s'il est vrai que tous les hommes sont mortels, les maris d'Alice le sont tout particulièrement : elle est veuve pas moins de huit fois ! La vie d'Alice n'est pas un roman, c'est une série romanesque qui nous emporte, nous enchante et nous fait voyager durant cinquante ans autour du monde au rythme de ses joies mais aussi de ses peines – qui, de façon peu commune, la bouleversent mais sans la détruire ou la rendre amère. Car Alice s'adapte au cours des choses, elle réfléchit peu. Dit toujours oui aux chances qui s'offrent à elle. Légèreté ou sagesse ? C'est ce que Paul va découvrir tandis qu'Alice ouvre pour lui la malle de ses secrets. Dans cette comédie dramatique au charme très " british ", on suit le parcours extraordinaire d'une femme attachante qui, au fil de ses mariages et de ses rencontres, va découvrir – et nous avec elle – les choses de la vie : l'amour, le sexe, les relations avec autrui, la perte et la faculté de reconstruire – et par-dessus tout l'émerveillement."



" Si les anges peuvent voler, c'est parce qu'ils se prennent à la légère "

" Ce jour là il m'a dit qu'il m'aimait, ce qu'il m'avait déjà dit et il a fait la liste complète de ce qu'il aimait en moi . Les catalogues c'était son point fort . Il m'a fait beaucoup rire . A la fin il a ajouté qu'il aimait que je ne pense jamais à rien . Je lui ai dit que c'était vrai , je n'avais jamais d'idées avant de voir ce qui se passait , et je ne pensais pas à des choses tristes, je me contentais des films et des romans, et c'était là que je pleurais si j'en avais besoin. Ethan, lui, pensait toujours à tout . Et je l'aimais pour ça aussi .

"Je me suis souvenue d'une des phrases que Bill avait inscrites sur le mur des toilettes de son appartement à New York . C'était une citation de Mark Twain :
" Let us so live that when we come to die, even the undertaker will be sorry "
" Vivons de telle sorte que, lorsque viendra le temps de mourir, même le fossoyeur soit désolé "

"Quand je ferme les yeux, j'entends les musiques de Nino Rota dans les films de Fellini, quelque chose de nostalgique et de si joyeux en même temps .



" Il s'est assis au piano sans dire un mot et il s'est mis à jouer " Willow Weep for me " . Puis un contrebassiste et un batteur l'ont rejoint. Lui, il a continué au piano puis il est passé à la guitare et, plus tard, au saxophone . Il a demandé de fermer les yeux et d'imaginer un vieil hôtel, avec des gens qui dansent. Il a joué " Blue Moon" et les trois douzaines de personnes qui écoutaient ont fait le voyage avec lui ."






"En 1966 Nick et moi avons rencontré Blossom Dearie... J'ai adoré sa façon de jouer et de chanter, elle avait une énergie et une bonne humeur incroyables . Et une voix si étrange . Une voix de poupée . On aurait dit une fille de quatorze ans parfois ."



"Loch Lomond" une vieille chanson écossaise . Dans les années trente, cette chanson avait été le premier grand succés de la chanteuse de jazz Maxine Sullivan. J'avais dit un jour à Nick que lorsque j'avais besoin de pleurer, il suffisait que je l'écoute pour verser des torrents de larmes"


" Cette mélodie c'était celle de la chanson " Chambre avec vue", sur le disque du même nom d'Henri Salvador


"Non , c'était un ancien professeur de littérature qui était devenu journaliste. Il s'était fait éjecter de l'université où il enseignait . Trop excessif, trop contestataire. Quand il m'a dit que son héros était Groucho Marx depuis qu'il l'avait entendu chanter " I'm Againt It" dans le film Hose Feathers, je n'ai pas été
surprise . "




" Les chansons de George Harrison m'ont aidée . Plus d'une fois. Et il y en a une différente des autres, plus joyeuse, dont un fragment me revient souvent en tête : " In the fog and in the rain, through the pleasures and the pain "






samedi 22 février 2014

ALBIN DE LA SIMONE A LA COMEDIE DE REIMS REIMS


PASSAGE TRÈS REMARQUÉ D'ALBIN DE LA SIMONE A LA COMÉDIE DE REIMS LE 23 JANVIER 2014 !


ACTUALITÉ : Albin de la Simone est nominé aux Victoires de la musique dans la catégorie « Révélation scène » !

Musicien autodidacte, Albin de la Simone dessine, avec son dernier album, le portrait d’un homme sensible. Qui lui ressemble.

"Albin de la Simone promène, depuis plus de dix ans, son charme discret et son doux grain de voix. Si le musicien a conservé un certain anonymat, doublé d’une modestie rare, rappelons qu’il accompagne de nombreux artistes, comme pianiste et arrangeur talentueux  – Vanessa Paradis, Keren Ann, Alain Souchon, Mathieu Boogaerts, Vincent Delerm, Arthur H ou encore Iggy Pop.
Avec un quatrième album solo intitulé Un homme, sorti en 2013, Albin de la Simone signe un opus unanimement apprécié. En dix chansons, de « Mes épaules » à « Un homme », il dresse avec une grande sensibilité, le portrait multiple d’un homme à la fois père et amant. Mi-ange, mi-démon, Albin de la Simone confesse ses angoisses sur un ton pince-sans-rire. Les mélodies sont accrocheuses, soigneusement arrangées et portées le plus souvent par des guitares électriques tamisées, de l’orgue ou des claviers chaloupés et un peu de cordes lyriques.
La Comédie est heureuse d’accueillir, pour un concert intime, cet artiste qui a trouvé sa voix, entre doutes et tendresse."

AVEC ALBIN DE LA SIMONE(CHANT, CLAVIER),ANNE GOUVERNEUR (VIOLON, PETIT CLAVIER), MAËVA LE BERRE (VIOLONCELLE)
LUMIÈRES QUENTIN VOUAUX









LE SITE DE LA COMÉDIE DE REIMS




mardi 11 février 2014

ELLE AIME D'ALBIN DE LA SIMONE

Elle aime les films hongrois
Sous-titrés en tchèque
Bach, Repac, Bartók
Et l'opéra chinois
Les culottes en velours
Les vapeurs de gasoil
Le civet de bulot
Et les œufs de cent jours
Et c'est moi qu'elle aime
Il aime les joues de dinde
Les restaurants anglais
La mythologie suisse
Et l'odeur des bébés
Les orchestres de bal
Le kiwi au maroilles
Les mélopées pépères
Et les films de bègues
Et c'est moi qu'elle aime
Elle aime le cri des poux
Et le lait faisandé
Les tipis et les gnous
Le chlore et la mélasse
Elle chérit un hibou
Elle dépèce des taupes
Vénère les papous
Et les kangourous myopes
Et c'est moi qu'elle aime
J'ai beau chercher partout en moi, c'est un mystère
Je ne me sens pas gnou ni kangourou pépère.
Ni papou ni bulot ni bébé au maroilles
Absolument jamais tchèque, hibou ni tchik-tchik
Tchèque, hibou ni tchik-tchik
Et c'est moi qu'il aime...







Elle aime la photographie et les films de Tim Burton
Elle aime Sherlock Holmes revisité par Benedict Cumberbatch
Elle aime couper les cheveux en 16
Elle aime faire des pancakes à ses amis 
Elle aime les autres, le chocolat et les musiques de films 
Elle  aime Terry Gillian et " Le fil de la vie "
Elle aime chanter dans les pubs irlandais et sur la place Stanislas  
Elle aime Pierre Bottero pour toujours 
Elle aime les films japonais et Yslaire, dessiner et fabriquer d'incroyables petites vitrines
Elle est pleine d'humour .......

JOYEUX ANNIVERSAIRE APOLLINE !!!!!










dimanche 1 décembre 2013

GLADYS HULOT: LA MEDITATION DE THAIS ET LES NOUVELLES SOUS SOMMEIL PARADOXAL


Promenez vous longuement sur le site de Gladys
C'est la plus jolie des  femmes-cerf  !
C'est une artiste brillante ... musique (elle joue de la lame sonore) , dessins, vidéos...
ELLE SAIT TOUT FAIRE !

 Un livre à paraître que nous attendons avec impatience:

"Nouvelles sous sommeil paradoxal" est un recueil de micro nouvelles illustrées. À l'instar des récits de "La Boutique obscure" de Georges Perec, les micro nouvelles de ce recueil ont pour origine mes rêves les plus délirants. Tel un journal intime oublié par son propriétaire, ce livre confie les aventures oniriques d'un dormeur à l'identité incertaine, souvent en proie aux étranges intentions d' interlocuteurs déroutants tels que Nicola Sirkis, John Lennon ou Henri Michaux (entre autre). Réalisés dans le soucis d'épouser au mieux la forme initiale des rêves par le dessin, la composition graphique et l'écriture, ces récits sont issue d'une sélection effectuée parmi tous les récits comptabilisés au fil des nuits. Ainsi, choisies pour la richesse de leur contenu poétique, inquiétant tragique ou drolatique, ces récits à l'univers sombre révèlent des thèmes tels que l'identité, la sexualité, le pouvoir des mots, le doute et l'aliénation.








LE SITE DE GLADYS


(cliquer sur le lien)

mardi 19 novembre 2013

LA RUE DES CASCADES A BELLEVILLE ET ENDER


Coup de cœur pour la rue des Cascades en ce samedi 16 novembre ( Merci Marie-Christine !  ) . 
Un peu de Fred Le Chevalier, beaucoup de Ender, un mur sculpté, un tigre, un squelette d'élan et un squelette chapeauté .... Que du bonheur !












" Sur les murs de Paris fleurissent des papiers collés signés Ender, tout en nuances de gris. Ils représentent des anges, des gargouilles, des monstres, des démons, des chimères ou autres stryges.
Ender, artiste pochoiriste parisien, originaire de Belleville, s'inspire des éléments architecturaux et de photographies existantes pour créer ses œuvres. Il colle sur les murs de Paris des images retravaillées à partir de photographies."




« Mes interventions dans la rue ne sont pas si éloignées de mon activité de comédien, mes pochoirs sont mes personnages, la rue, le théâtre. Le tout est de mettre en scène, de faire correspondre les deux pour que le mur donne du sens aux pochoirs, le pochoir du sens au mur. Une fois le collage réalisé il vivra sa courte vie, il devient la propriété des passants qui poseront ou pas le regard sur lui. Avant d'être arraché, tagué, volé parfois, ou nettoyé, j'espère qu'il aura étonné et donné un sourire à ceux qui auront eu la gentillesse de la regarder. »





" Le plus souvent, ses interventions dans les rues, sont des pochoirs réalisés préalablement sur papier et collés sur les murs. Le choix du collage plutôt que de la peinture directe sur le mur provient d'une double nécessité.

D'une part, ses pochoirs sont composés de 3 à 6 layers (matrices utilisées pour chaque couleur, et peintes en couches successives), la mise en œuvre, longue, est donc peu compatible avec le travail dans la rue sans autorisation…

D'autre part, les œuvres sur papier ont vocation à exister sur le mur de manière extrêmement éphémère, l'objectif est de surprendre le passant-spectateur, de le faire sourire devant l'apparition soudaine, au matin, d'un pochoir sur le mur. Sa disparition, parfois rapide, parfois moins, due aux services de nettoyage de la ville, aux « collectionneurs », aux intempéries, à l'action du temps qui irrémédiablement effacera le pochoir, cette disparition, donc, est partie intégrante de l'œuvre, et du support utilisé. "





 

 

FRED LE CHEVALIER découvert à Nantes puis retrouvé sur facebook et dans le film
 " Les Petits Princes"







Un grand merci à Maryvonne et à Jean pour cette belle découverte !


POUR EN SAVOIR PLUS SUR ENDER :

"Quels sont tes outils de prédilection pour créer et comment prépares-tu tes collages ?
Mon appareil photo en premier lieu, mon cutter, mes bombes et l'acrylique depuis peu. Je pose mes pochoirs sur du papier fin (nappe en papier) et surtout je pense au mur qui va le ou les recevoir."

UN ARTICLE DANS LE NOUVEAU CÉNACLE 

ENDER SUR FLICKR 

D'AUTRES PHOTOS



**** Petite info de dernière minute ENDER expose :

Ender - Anges et démons 

Du 21 novembre au 6 décembre 2013
Du mardi au samedi de 14h à 19h
Le dimanche de 14h à 17h

Vernissage le jeudi 21 novembre à partir de 18h


Le Cabinet d’amateur12, rue de la Forge Royale
75011 Paris
M° Ledru-Rollin ou Faidherbe-Chaligny

www.lecabinetdamateur.com

**** UN LIVRE VIENT D’ÊTRE PUBLIE




Opus #40 Ender - La comédie urbaine

« Le monde entier est un théâtre ».
"Cette réplique shakespearienne, Ender en a fait son refrain quotidien.
Mariolles, gargouilles, anges… sont autant de personnages
abracadabrants qui s'offrent à nous dans une constante représentation,
grâce à ses pochoirs en noir et blanc posés sur les murs gris de Paris.
Les saynètes s'enchaînent sous nos yeux, passant allègrement
du comique au tragique, sans jamais nous laisser indifférents.
Et c'est au cours de ce spectacle, tant classique que moderne,
que nous sommes conviés à nous interroger sur notre propre rôle
dans cette pièce de théâtre qu'est la vie."



Sur ce lien au prix de 10,10 euros ...

LE BLOG DE FRED LE CHEVALIER 


Et pour terminer LA RUE DES CASCADES PAR YANN TIERSEN



... D'après Wikipédia ...

La rue, qui existe depuis la fin du XVII e siècle comme sentier, doit son nom aux trois regards de l'aqueduc de Belleville  qu'elle abrite :

L'ART DE LA RUE ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

(cliquer sur tous  les liens)