FOUED MOKRANI C'EST DANS LE 12 EME A PARIS !

 

J'avais évoqué cette découverte facebookienne en avril 2021 (ICI) et début janvier un mail est arrivé :

Bonjour et bonne année à toutes et tous

Premier rendez-vous de l’année, le Mercredi 22 Janvier à partir de 17h.

J’expose mes œuvres, peintures et céramiques au 50 Cour Saint Emilion 75012 Paris

Cela me fera plaisir de vous voir au vernissage sinon jusqu’au 15 Février 2025.

 

Il vous reste quelques jours pour découvrir cet artiste et cette nouvelle exposition  !

 

"Né en 1979 à Tunis, Foued grandit en Tunisie. Il vivra ensuite au Moyen-Orient pendant quelques années avant de s'établir en France.

Sans formation artistique académique, il met en valeur les imperfections  de son dessin et développe ainsi un style naïf, surréaliste et singulier. Il s'essaie à différents types de supports et de techniques.

Son œuvre illustre les relations humaines et les relations entre l'homme et l'animal, qu'elles soient réelles ou surréalistes et est porteuse de messages variés souvent non conformistes.

Son inspiration est nourrie par ses souvenirs de voyages, les arts ethniques mais aussi par les scènes de la vie quotidienne ou l'interprétation de ses propres rêves.

Ses références, il les trouve dans sa passion pour la calligraphie, le street art et les couleurs ainsi que dans les œuvres de Carlo Zinelli, Bill Taylor, Victor Brauner, Lesage et bien d'autres. "

LE SITE DE L'ARTISTE

RETROUVEZ FOUED SUR FACEBOOK

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JUSQU'AU 15 FÉVRIER

ELSA DUAULT ET REEM YASSOUF PROPOSENT "ECHOS" AU HANGAR 107 A ROUEN

 

Mon amie Isabelle Pulby a été mes yeux à Rouen pour cette exposition qui donne vraiment envie.

Si vos pas se font normands ne la manquez pas !

 

 

"Le Centre d'Art Contemporain du Hangar 107 propose l'exposition "ÉCHOS", des artistes Elsa Duault et Reem Yassouf, du jeudi 16 janvier au dimanche 23 mars 2025.

D'un côté, la Normande Elsa Duault se définit elle-même comme une sculptrice de mémoires et de draps anciens. De l'autre, Reem Yassouf, artiste plasticienne diplômée en peinture aux Beaux-Arts de Damas, en Syrie, et de l'Esadhar, à Rouen, ville où elle est installée depuis 2015. Reem Yassouf évoque notamment le corps et la mémoire, à travers le temps et les lieux.

"Bien que leurs pratiques soient distinctes, les œuvres d'Elsa et de Reem partagent ici un fondement commun : l'exploration de la mémoire comme un espace d'interactions et de dialogue, de l'intime à l'universel. Cette exposition souligne l'importance de la transmission, non seulement comme un acte de conservation, mais aussi comme un moyen de construire un présent commun entre les générations", note Claire Michel, commissaire de l'exposition dans sa présentation.

ÉCHOS nous rappelle que la mémoire est une force vivante, faisant de chaque œuvre présentée, une occasion de redécouvrir les échos du passé qui résonnent encore en nous aujourd'hui."

 

 

 

 

SUR INSTAGRAM 

 UN LIEN QUI EN PARLE

 LA PAGE D'ISABELLE PULBY

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107 Allée François Mitterrand
76100 Rouen

14H-18H // du mercredi au dimanche

Jusqu'au 23 mars.

 

 

CHIHARU SHIOTA "THE SOUL TREMBLES" AU GRAND PALAIS

 

 Mon fils ainé a été mes yeux à Paris pour cette exposition que j'aurais tant aimé voir !

 

"En avant-première de la réouverture de l’ensemble de ses galeries en juin 2025, le Grand Palais présente une exposition consacrée à l’œuvre poétique et sensible de l’artiste japonaise Chiharu Shiota.

Née à Osaka en 1972 et résidant à Berlin, Chiharu Shiota est mondialement reconnue pour ses installations monumentales faites de fils de laine entrelacés. Ces toiles gigantesques enveloppent très souvent des objets de son quotidien et invitent à un voyage onirique majestueux. Ses créations protéiformes explorent les notions de temporalité, de mouvement, de mémoire et de rêve, et requièrent l’implication à la fois mentale et corporelle du spectateur.

Co-organisée avec le Mori Art Museum de Tokyo, cette exposition est la plus importante jamais consacrée à l’artiste, en France. Déployée sur plus de 1 200 mètres carrés, elle offre une réelle expérience sensible. Avec sept installations à grande échelle, des sculptures, des photographies, des dessins, des vidéos de performance et des documents d’archives liés à son projet de mise en scène, l’exposition représente l’occasion de se familiariser avec la carrière de Shiota, qui s’étend sur plus de vingt ans."

 

 

 

"Un art de l’enchevêtrement qui explore des notions de temporalité et de mouvement, et cette fois-ci, la vulnérabilité, "les tremblements de sa propre âme", à partir de son expérience de vie qu'elle souhaite partager au public dans des mises en scène pleines d'émotions et de questionnements, à l'image de cette robe dans un miroir qui nous embrouille les sens ou cet escalier de valises qui ne cessent de s'accumuler."

 

 

 

 

"Née à Osaka au Japon en 1972, Chiharu Shiota combine performances, art corporel et installations dans un processus qui place le corps en son centre. Son œuvre sensible est basée sur des installations de fils de laine entrelacés, souvent de couleur rouge ou noire, créant des réseaux graphiques spectaculaires, un parcours dans lequel le visiteur doit trouver son chemin et sa place."

 

 

LE SITE DU GRAND PALAIS

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JUSQU'AU 19 MARS 2025

MAKIKO FURUICHI " LE VENT, LA VAGUE, L’ÉTOILE" AU MUSÉE DES SABLES D'OLONNE

Françoise Mittelette a été mes yeux aux Sables d'Olonne pour une exposition tout particulièrement poétique.

 

"Pour l’année du Vendée Globe, le musée de l’abbaye Sainte-Croix a demandé à l’artiste Makiko Furuichi d’investir les combles. Dans cet endroit, qui peut évoquer un bateau renversé, « j’ai tout de suite eu l’impression d’être dans le ventre d’une baleine, j’ai pensé à Pinocchio », explique l’artiste japonaise, qui a vécu à Nantes avant de rejoindre Toulon. Avec de grands voilages peints, des barques et des masques disposés çà et là, elle représente le sentiment japonais Niyari. Il peut traduire une atmosphère indécise, entre abstraction et répulsion, ombres et lumière."

 

 

 "La couleur envahit l’œuvre de Makiko Furuichi, qui affectionne les effusions aquarellées. Ses motifs, jetés sans préméditation à la surface, apparaissent, presque hésitants, puis s’attardent ou s’écoulent sans jamais se fixer. Présences énigmatiques, ils entretiennent leur ambiguïté. Son univers trouble nage entre deux eaux : d’un côté, une palette volontiers charmeuse, chatoyante ; de l’autre, des ombres au tableau qui laissent poindre l’inquiétude. Cette atmosphère indécise, qui balance entre abstraction et répulsion, correspond au sentiment que l’on nomme en japonais Niyari. Le climat, rayonnant, paisible ou tempétueux, peut changer à l’improviste, au détour d’un détail incisif ou d’une tonalité assombrie.

L’artiste puise dans les souvenirs de son enfance à Kanazawa, dans les mangas mais aussi dans la peinture occidentale ou dans la vie qu’elle mène aujourd’hui en France, l’inspiration de ses images et de ses personnages. La nature s’y taille la part du lion, fourmillante, animée, peuplée de créatures étranges, démons malfaisants ou esprits malicieux tout droits sortis du folklore japonais. Rien n’est jamais acquis ou assené dans sa manière libre et fluide de provoquer les images et d’en jouer. Tout est suggéré, par petites touches, par intuition et suggestion, au gré d’une matière liquide, aqueuse, comme portée par les courants.

Makiko Furuichi décline son univers flottant et fantomatique en petites formes, sur les pages d’un livre, d’une revue ou d’un programme de théâtre mais aussi à grande échelle. Elle tire parti avec brio de l’esprit des lieux les plus étonnants : elle a ainsi décoré une chambre d’hôtel, réalisé un rideau de scène, gravé la cloche d’une abbaye ou peint à fresque une cave troglodytique. Elle s’emparera cette fois-ci des combles du XVIIᵉ siècle du musée où son monde hybride et onirique, en écho à la dixième édition du Vendée Globe, prendra des accents maritimes.

Makiko Furuichi est née en 1987 à Kanazawa (Japon). Elle vit et travaille à Nantes."

 

 Le vent, la vague, l’étoile, à découvrir jusqu’au 2 mars 2025. Accès limité à 30 personnes, de 11 h à 13 h (week-ends, jours féries et vacances scolaires toutes zones) et de 15 h à 17 h.

 

 JUSQU'AU 2 MARS 2025

 

 LE SITE DU MUSÉE

 DANS OUEST FRANCE

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 Musée de l'Abbaye Sainte-Croix
Rue de Verdun – 85100 Les Sables d’Olonne

 

BRITTA MARAKATT-LABBA A LA PINACOTHEQUE DE CÔME

 

Voici une belle découverte faite à la pinacothèque de Côme....

"Les broderies de Britta Marakatt-Labba renvoient aux conceptions du monde dans la tradition autochtone Sámi. Leurs déploiements horizontaux permettent d’imaginer les espaces grandioses du territoire scandinave."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Et les si fabuleuses broderies ....

 

 

"Britta Marakatt-Labba est née en 1951 à Idivuoma au nord de la Suède, dans une famille de gardiens de rennes. Elle s’est formée à l’École du design et de l’artisanat de l’Université de Göteborg (1978) et à l’Université Sámi de Kautokeino et a reçu un doctorat honorifique de l’Université d’Umeå. Elle fonde le Sámi Artist Group en 1978 et la Sámi Association of Artists en 1979. Marakatt-Labba a participé à la Documenta 14 (Cassel) et exposé ses broderies à l’Arts Club of Chicago, au Witte de With Center for Contemporary Art (Rotterdam), à la Scandinavia House (New York) et au Norrbottens Museum (Luleå)."

 

 UNE THÈSE QUI EN PARLE

 LA PINACOTHÈQUE DE CÔME

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 "Inauguré en 1989 dans le Palazzo Volpi du XVIIe siècle, la Pinacothèque (Art Gallery) abrite les œuvres picturales et sculpturales du patrimoine de la ville. La collection, qui va du Moyen-âge à l'époque contemporaine, s'est formée par des legs, des dons, des achats et documente les œuvres d'art du territoire des bâtiments religieux, au portrait, des paysages, de la peinture de genre, puis aux études du XXe siècle liées au futurisme, au rationalisme et au design. Les pièces maîtresses des collections sont la collection Portraits d'hommes illustres du VIe siècle de Paolo Giovio, dessins de l'architecte futuriste Antonio Sant'Elia et quelques-unes des œuvres les plus importantes du Gruppo Como, le « astrattisti comaschi » du XXe siècle (un groupe d'artistes abstraits de Côme)."

 
Via Diaz 84, Côme
Téléphone : 39 031 269869

 

 Pour mémoire car cette exposition s'est terminée le 13 octobre 2024  ....