Nous sommes restés longtemps chez FRÉDÉRIQUE PROKOP ...
Nous avons beaucoup parlé de la vie, de nos vies et de nos envies, de l'Art ( des artistes qui l'inspirent, Eva Hesse, kiki Smith, Louise Bourgeois, Jana Sterbak, Ann Hamilton, Frida Kahlo, Désiré Dolron, javier Perez et Robert Morris BISE ... ) , de nos goûts, de ce qui nous inspire et nous pousse, de la souffrance aussi, du besoin de créer, de l'Art qui soigne et qui essaye de panser les plaies, du besoin de rester cachée, de l'envie parfois de montrer, de cette dualité douloureuse ....
FRÉDÉRIQUE a beaucoup travaillé et découvrir chez elle des oeuvres nouvelles est un vrai bonheur .
De nouvelles techniques apparaissent avec l'utilisation de la terre- papier mais on retrouve le travail du tissu, les broderies , les fils qui disent, soulignent, retiennent , les dessins, les gravures ... L'atelier est en désordre mais un atelier peut-il, doit-il être rangé ?
FRÉDÉRIQUE a envahi aussi la table de sa belle cuisine ...FRÉDÉRIQUE s'éparpille pour notre plus grand plaisir .
Quelques macarons, tasses de thé et gâteau au chocolat plus tard, nous sommes toujours là, devant le feu et je crois que nous n'avons pas vraiment envie de repartir .
En rentrant tout à fait par hasard je lis cette phrase d'Alessandro Baricco dans " Novecento Pianiste" :
" Et il savait lire, pas les livres, ça tout le monde peut, lui, ce qu'il savait lire, c'était les gens. Les signes que les gens emportent avec eux : les endroits, les bruits, les odeurs, leur terre, leurs histoires ... écrites sur eux, du début à la fin . "
..... FRÉDÉRIQUE est de ceux qui savent ....
Le mois de septembre sera faste avec deux expositions à venir chez " Rose et son roman" tout d'abord et à Vertus ...
A suivre ....
http://fprokop.canalblog.com/
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