ANDREA FIORINO ... MOI J'AIME

 

 Voilà une belle découverte que je dois à Cendrine Rovini ....

 

"Andrea Fiorino, né en 1990 à Augusta en Sicile, vit et travaille à Milan. Diplômé en art graphique à l'Académie des beaux-arts de Brera, il a participé à des expositions collectives et individuelles en Italie et à l'étranger."

UN LIEN QUI EN PARLE

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POURQUOI J'AIME SALAMANQUE ...

 

... Pour son musée bien sûr ....

 

 

 

"Les collections du musée de Salamanque sont organisées en trois sections : Archéologie, Beaux-Arts et Ethnologie.

La section d'archéologie s'agrandit continuellement. Outre les dépôts et les dons de particuliers, la législation stipule que les vestiges archéologiques provenant d'interventions planifiées doivent y être déposés.

La section des Beaux-Arts, la plus vaste, comprend des œuvres du XIVe siècle à nos jours. Le noyau initial est constitué par les œuvres du XIXe siècle. Par la suite, elle s'est enrichie de dépôts du Museo del Prado et du Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, ainsi que d'œuvres plus récentes d'artistes salamantins de premier plan.

La section ethnographique est basée sur la collection constituée par le père Morán et a été enrichie par des achats et des dons de pièces représentatives de la vie traditionnelle à Salamanque."

LE LIEN QUI EN PARLE

 LES MERVEILLES DE SALAMANQUE

 LE MUSÉE D'ART NOUVEAU ET D'ART DÉCO

 LA GRENOUILLE DE SALAMANQUE ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

 L'ESPAGNE ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

 

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OCTOBRE 2023

NATALIE LANSON ... MOI J'AIME

 

 Heureuse de reparler aujourd'hui de NATALIE LANSON sur les Grigris ...

 

Et pour accompagner mon choix de visuels un texte de Bénédicte HAAB-CAMON :

 

L'inspiration de Natalie LANSON visite aussi bien les espaces offerts par le végétal que ceux issus de l'imagerie médicale, mettant en lumière les territoires naturels. La finesse du trait d'encre noire surligne la transparence des couleurs choisies. Et pariant sur l'éternel, le solide et le fluide composent les dessins, dans une approche moléculaire. Les fils crochetés se font l'écho des dentelles végétales, ou des membranes cellulaires. L' « éternelle » est aussi le nom des plantes séchées que Natalie LANSON protège sous leurs globes de verre, précieuses. En s'approchant des objets, l'artiste s'écarte de la représentation. Ils paraissent alors comme suspendus, non figuratifs, et cependant liés au réel... tous, par un fil... Il s'agit de conserver la mémoire du fragile. Nous ferons ensemble une observation naturelle. Nous apercevrons les métamorphoses physiologiques. Notre intimité y rencontrera celle de l'arbre. Nous partagerons son oxygène. Ici, les fluides ficellent l'air de nos bulles, entortillent les petites âmes. Les sèves dans les ramures, comme un sang, une lymphe, résonnent en écho pulsatile : tout le vivant y croise son semblable. Et pourtant, si délicatement différent...

 

 

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