Jean-Luc et Oana nous ont préparé un GRAND festival!
Mes amis seront au rendez-vous !
VOICI LE WEEK END !
5 sites : Salle des fêtes, château, église, salle Charpillon et Espace Huin
Cet ensemble regroupe un art réalisé avec d’autres approches que celles de l’art académique. Ces œuvres sont inventées le plus souvent par des autodidactes pour lesquels l’acte créateur est une pulsion voire une expulsion. Les appellations sont nombreuses, toutefois, Art Marginal est certainement celle qui convient le mieux, car elle est le pendant de ce que les Anglo-Saxons appellent l’Outsider Art.
L’Art Marginal peut être déroutant, poétique, souvent très coloré et pourtant toujours attachant et si « intimement-dans-le-monde »."
"La 8ème édition du Grand BAZ’ART, le Festival International d’Art Marginal, ouvre ses portes du 1 au 3 juillet 2016, à Gisors, la capitale du Vexin Normand (27).
Toujours plus ambitieux, le festival s’est proposé pour cette édition d’accueillir pour la première fois 20 invités des cinq continents. Ainsi, dans la salle principale, le public rencontrera des artistes – peintres, dessinateurs et sculpteurs – de France, Belgique, Pologne, Roumanie, Maroc, Australie, Pérou et des Philippines : Stéphanie Sautenet, Laure Ketfa, Jeanne Giraud, Hubert Duprilot, Jean-Pierre Faurie, Marcel Bénaïs, Stéphane Gillain, Eugeniusz Zegadło, Marian Simon, Mostafa Ben Malek, Liz Parkinson, Gerardo Boza et William Gaudinez.
Le fil rouge de cette édition est un double dialogue : d’un côté, le dialogue entre l’art vivant et le patrimoine historique et culturel de la vénérable ville normande, et de l’autre côté, le dialogue entre créateurs de cultures et d’horizons artistiques divers : savants et autodidactes ensemble, unis par leur refus de se laisser broyer dans le malaxeur industriel de l’art officiel.
Dans cette logique, l’invité d’honneur de cette année s’impose comme une évidence : Jean-Luc Giraud , « dessinateur virtuose et pionnier de l’image digitale en France » (L. Danchin), ainsi qu’une moitié du binôme qui a créé Mycellium, le réseau amical des créateurs savants ou autodidactes, mais décidément contre-courant. En pleine possession de son bagage technique, qu’il manie avec raffinement et versatilité, Jean-Luc Giraud est hors-normes dans sa démarche : des décennies d’autoportraits, déclinés de toutes les manières imaginables et bon nombre d’autres, bien peu imaginables. En effet, en s’imposant un seul sujet pour toute une vie de création, cet artiste s’est obligé à pousser les limites de l’imagination bien plus loin qu’on aurait pu le faire en conjurant de nouvelles fantaisies pour chaque toile.
L’autre moitié du binôme créateur de Mycellium, l’écrivain, critique d’art et théoricien de l’art brut et hors-les-normes Laurent Danchin signe, en tant que commissaire-invité, l’exposition-événement Chomo. L’Ange du dernier cri (assisté de Aurélien Demaison), dans la Salle Charpillon. Une sélection d’œuvres jamais montrées auparavant, pour rendre hommage à Chomo, cet artiste-philosophe exceptionnel, qui a vécu son art et ses convictions jusqu’au bout, et qui est le meilleur exemple pour cette philosophie de l’authenticité et de la sincérité créative, qui dépasse la petite taxonomie.
Le même dialogue savant-autodidacte se poursuit dans la très belle église médiévale Saint Gervais et Saint Protais, qui abrite l’exposition Ecce Homo : deux artistes, une peintre savante et une naïve, racontent avec les moyens propres à chacune, mais avec une sensibilité qui les unit, d’un côté, le parcours de l’homme qui devient Homme, et de l’autre, l’histoire de l’Homme qui s’est fait homme (Ecce Homo: Brigitte Breyton et Paraschiva Dumitru).
Au Château de Gisors, très vieille fortification (XIème siècle) sur la vallée de l’Epte, une exposition solo du sculpteur-céramiste Pierre Amourette et, dans la cour, une animation artistique interactive proposée par Mina Mond.
La tradition des Prix Osk’Art se poursuivra, avec un jury présidé par Françoise Monnin, rédactrice en chef de la revue Artension !, et des trophées réalisés pour le festival par le maître-verrier Francis Lefèvre.
Voici quelques-uns des temps forts qui attendent le public !"
UNE BELLE PLACE EST DONNEE A CHOMO ...
" Dans le cadre du Grand Baz'art de Gisors du 1er au 3 juillet 2016, "Chomo - L’Ange du dernier cri" présente à la Salle Charpillon une sélection inédite de près de trente œuvres (sculptures, bas-reliefs, assemblages, peintures et dessins) exposées pour la majorité d’entre elles pour la première fois et couvrant plusieurs périodes de la création de l’artiste.
Autour de la figure de l’Ange, omniprésente dans l’œuvre et la vie de Chomo, sont réunies dans cette ancienne salle de justice, en une assemblée solennelle des sculptures de transfiguration hautes en couleurs mystiques. Des bois sculptés en bas-reliefs aux sculptures en siporex en passant par les grands grillages et les encrines, l’Art Sacré Préludien de Chomo se manifeste par un puissant œcuménisme de formes et une régénération des matières de son outremonde.
Du premier cri (Vierge à l’enfant) au dernier cri (L’enterrement de Chomo), l’exposition dévoile ainsi ces anges (que Chomo voyait au nombre de trois : celui du Matin, du Midi et du Soir) inspirant et protégeant l’ermite-guide dans sa quête de transcendance artistique.
Réalisée en partenariat avec l’Association des Amis de Chomo, cette exposition donne l’occasion au Grand BAZ’ART de rendre hommage à un créateur qui a su voyager en complète marginalité sur les terres du rêve et de l’imaginaire."
VERNISSAGE LE VENDREDI 1ER JUILLET A 19H15
LE SITE DU FESTIVAL
MOSTAFA BEN MALEK
GERARDO BOZA
L'ARTICLE DE LOUISA MONTEIRO
(cliquer)
Mes amis seront au rendez-vous !
VOICI LE WEEK END !
5 sites : Salle des fêtes, château, église, salle Charpillon et Espace Huin
1 évènement unique !
"Considéré comme une des cinq plus importantes manifestations d’Art Marginal en Europe, Le GRAND BAZ’ART, Festival International, accueille tous les ans à Gisors le 1er week-end de juillet, une sélection de 20 artistes qui représentent différentes facettes de l’Art Marginal, depuis l’Art Brut et l’Art hors-les-normes, jusqu’aux frontières de la Figuration Libre et du néo-expressionnisme.Cet ensemble regroupe un art réalisé avec d’autres approches que celles de l’art académique. Ces œuvres sont inventées le plus souvent par des autodidactes pour lesquels l’acte créateur est une pulsion voire une expulsion. Les appellations sont nombreuses, toutefois, Art Marginal est certainement celle qui convient le mieux, car elle est le pendant de ce que les Anglo-Saxons appellent l’Outsider Art.
L’Art Marginal peut être déroutant, poétique, souvent très coloré et pourtant toujours attachant et si « intimement-dans-le-monde »."
"La 8ème édition du Grand BAZ’ART, le Festival International d’Art Marginal, ouvre ses portes du 1 au 3 juillet 2016, à Gisors, la capitale du Vexin Normand (27).
Toujours plus ambitieux, le festival s’est proposé pour cette édition d’accueillir pour la première fois 20 invités des cinq continents. Ainsi, dans la salle principale, le public rencontrera des artistes – peintres, dessinateurs et sculpteurs – de France, Belgique, Pologne, Roumanie, Maroc, Australie, Pérou et des Philippines : Stéphanie Sautenet, Laure Ketfa, Jeanne Giraud, Hubert Duprilot, Jean-Pierre Faurie, Marcel Bénaïs, Stéphane Gillain, Eugeniusz Zegadło, Marian Simon, Mostafa Ben Malek, Liz Parkinson, Gerardo Boza et William Gaudinez.
Le fil rouge de cette édition est un double dialogue : d’un côté, le dialogue entre l’art vivant et le patrimoine historique et culturel de la vénérable ville normande, et de l’autre côté, le dialogue entre créateurs de cultures et d’horizons artistiques divers : savants et autodidactes ensemble, unis par leur refus de se laisser broyer dans le malaxeur industriel de l’art officiel.
Dans cette logique, l’invité d’honneur de cette année s’impose comme une évidence : Jean-Luc Giraud , « dessinateur virtuose et pionnier de l’image digitale en France » (L. Danchin), ainsi qu’une moitié du binôme qui a créé Mycellium, le réseau amical des créateurs savants ou autodidactes, mais décidément contre-courant. En pleine possession de son bagage technique, qu’il manie avec raffinement et versatilité, Jean-Luc Giraud est hors-normes dans sa démarche : des décennies d’autoportraits, déclinés de toutes les manières imaginables et bon nombre d’autres, bien peu imaginables. En effet, en s’imposant un seul sujet pour toute une vie de création, cet artiste s’est obligé à pousser les limites de l’imagination bien plus loin qu’on aurait pu le faire en conjurant de nouvelles fantaisies pour chaque toile.
L’autre moitié du binôme créateur de Mycellium, l’écrivain, critique d’art et théoricien de l’art brut et hors-les-normes Laurent Danchin signe, en tant que commissaire-invité, l’exposition-événement Chomo. L’Ange du dernier cri (assisté de Aurélien Demaison), dans la Salle Charpillon. Une sélection d’œuvres jamais montrées auparavant, pour rendre hommage à Chomo, cet artiste-philosophe exceptionnel, qui a vécu son art et ses convictions jusqu’au bout, et qui est le meilleur exemple pour cette philosophie de l’authenticité et de la sincérité créative, qui dépasse la petite taxonomie.
Le même dialogue savant-autodidacte se poursuit dans la très belle église médiévale Saint Gervais et Saint Protais, qui abrite l’exposition Ecce Homo : deux artistes, une peintre savante et une naïve, racontent avec les moyens propres à chacune, mais avec une sensibilité qui les unit, d’un côté, le parcours de l’homme qui devient Homme, et de l’autre, l’histoire de l’Homme qui s’est fait homme (Ecce Homo: Brigitte Breyton et Paraschiva Dumitru).
Au Château de Gisors, très vieille fortification (XIème siècle) sur la vallée de l’Epte, une exposition solo du sculpteur-céramiste Pierre Amourette et, dans la cour, une animation artistique interactive proposée par Mina Mond.
La tradition des Prix Osk’Art se poursuivra, avec un jury présidé par Françoise Monnin, rédactrice en chef de la revue Artension !, et des trophées réalisés pour le festival par le maître-verrier Francis Lefèvre.
Voici quelques-uns des temps forts qui attendent le public !"
UNE BELLE PLACE EST DONNEE A CHOMO ...
" Dans le cadre du Grand Baz'art de Gisors du 1er au 3 juillet 2016, "Chomo - L’Ange du dernier cri" présente à la Salle Charpillon une sélection inédite de près de trente œuvres (sculptures, bas-reliefs, assemblages, peintures et dessins) exposées pour la majorité d’entre elles pour la première fois et couvrant plusieurs périodes de la création de l’artiste.
Autour de la figure de l’Ange, omniprésente dans l’œuvre et la vie de Chomo, sont réunies dans cette ancienne salle de justice, en une assemblée solennelle des sculptures de transfiguration hautes en couleurs mystiques. Des bois sculptés en bas-reliefs aux sculptures en siporex en passant par les grands grillages et les encrines, l’Art Sacré Préludien de Chomo se manifeste par un puissant œcuménisme de formes et une régénération des matières de son outremonde.
Du premier cri (Vierge à l’enfant) au dernier cri (L’enterrement de Chomo), l’exposition dévoile ainsi ces anges (que Chomo voyait au nombre de trois : celui du Matin, du Midi et du Soir) inspirant et protégeant l’ermite-guide dans sa quête de transcendance artistique.
Réalisée en partenariat avec l’Association des Amis de Chomo, cette exposition donne l’occasion au Grand BAZ’ART de rendre hommage à un créateur qui a su voyager en complète marginalité sur les terres du rêve et de l’imaginaire."
VERNISSAGE LE VENDREDI 1ER JUILLET A 19H15
LE SITE DU FESTIVAL
MOSTAFA BEN MALEK
GERARDO BOZA
L'ARTICLE DE LOUISA MONTEIRO
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GRAND BAZ ’ART 2016
10 rue de Cappeville - 27140 Gisors
Téléphone : Jean-Luc BOURDILA 06 62 62 57 72 / Oana Amaricai 06 70 56 63 88
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