O créature raisonnable
qui désire vie éternelle,
tu as ici doctrine notable
pour bien finir vie mortelle.
La danse macabre rappelle
que chacun à danser apprend
à homme et femme est naturelle,
la mort n’épargne ni petit ni grand.
qui désire vie éternelle,
tu as ici doctrine notable
pour bien finir vie mortelle.
La danse macabre rappelle
que chacun à danser apprend
à homme et femme est naturelle,
la mort n’épargne ni petit ni grand.
"La mort était particulièrement présente au XVe.
 Les pestes et les guerres (guerre de Cent Ans) décimaient la population
 qui allait, en Europe, être réduite de moitié entre 1350 et 1450. 
L’Église faisait de la préparation à la mort un sujet de réflexion très 
important. L’art de cette époque en porte la marque, qu’il s’agisse des 
poèmes (François Villon), des jeux scéniques dans les églises, des 
peintures et sculptures.
Le thème de la danse macabre, illustré pour la première fois au cimetière des Saints-Innocents à Paris au début du XVe,
 vise à montrer l’égalité de tous devant la mort et son inexorabilité. 
Il est illustré par des personnages squelettiques entraînant vers la 
mort des vivants, puissants de ce monde ou hommes du peuple, religieux 
ou laïcs.
A La Chaise-Dieu, les morts ne sont pas des squelettes, 
mais plutôt des transis avec la peau sur les os ; les morts dansent et 
se livrent à de nombreuses facéties. Les vivants, au nombre de 24 sont 
répartis en 3 panneaux, les puissants, les bourgeois et le peuple. Entre
 eux, peints sur des piliers, se retrouvent des personnages expliquant 
le thème : Adam et Ève sur le premier, un prédicateur sur le premier et 
le dernier. En-dessous un espace était réservé à un texte, message 
catéchétique ou poème."
Ailleurs dans l'Abbatiale ...
La tombe de Renaud de Montclar, abbé de La Chaise-Dieu
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Septembre 2018
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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