Photo Art Heiner Liepke
J’ai sous la peau
le murmure des eaux
la patience infinie
des mères et des morts
le chant de mes ancêtres
les ciels ravagés d’hier
et les chemins de croix
J’ai sous la peau
des buissons sauvages
avec des oiseaux dedans
champs d’herbes grasses
des tremblements de terre
à secouer mes sommeils
et toutes mes croyances
J’ai sous la peau
un poème en partance
et des parterres de fleurs
des jours longs d’errance
du désir en rivières
des racines profondes
aux lèvres de ma chair
J'ai sous la peau ton odeur
une étreinte qui dure
des petits pas d'enfants
un monde qui se parle
un monde d'amour
où rien ne se blesse
le murmure des eaux
la patience infinie
des mères et des morts
le chant de mes ancêtres
les ciels ravagés d’hier
et les chemins de croix
J’ai sous la peau
des buissons sauvages
avec des oiseaux dedans
champs d’herbes grasses
des tremblements de terre
à secouer mes sommeils
et toutes mes croyances
J’ai sous la peau
un poème en partance
et des parterres de fleurs
des jours longs d’errance
du désir en rivières
des racines profondes
aux lèvres de ma chair
J'ai sous la peau ton odeur
une étreinte qui dure
des petits pas d'enfants
un monde qui se parle
un monde d'amour
où rien ne se blesse
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