Ce film dure 2h30 ... il pourrait durer 5 heures.
A la fin j'ai failli applaudir et crier BRAVO.
J'ai aimé ce film totalement, chaque scène, chaque minute, chaque acteur... Vous le retrouverez forcément dans ma sélection 2023.
COUREZ-Y !!!!
*** Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.
Anne-Claire Cieutat (ICI)
*** Explorant à la fois des enjeux intimes, la poursuite du rêve américain et le Nouvel Hollywood, le réalisateur d'E.T. filme sur la corde sensible entre émerveillement, nostalgie et créativité.
Closer
*** Un long-métrage intimiste et sublime, qui fuit l’enfermement égotique au profit de l’universel.
Jean-François Dickeli (ICI)
*** Magistral, bouleversant mais aussi drôle. Du très très grand Spielberg.
Filmsactu (ICI)
*** Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence, composant des plans sublimes pour déclarer son amour à sa famille et dire la nécessité de croire en ses rêves.
Le journal du dimanche (ICI)
*** On aura rarement vu un tel concentré de lumière et de tristesse mêlées dans un seul film, qui se regarde yeux mouillés et sourire aux lèvres. On savait le cinéma de Spielberg personnel depuis les débuts, mais on n’aurait jamais pu imaginer le degré d’intimité auquel soixante ans de films le mèneraient, capable de livrer ainsi une histoire-monde, simple comme bonjour, pleine de vie, de rebondissements, encapsulant ses souvenirs sans une once de mièvrerie, mais avec une bonne dose de malice.
Libération (ICI)
*** Après avoir arpenté sa cinémathèque intérieure durant plus d’une décennie, Steven Spielberg parachève son œuvre avec The Fabelmans, synthèse à la fois ingénue et érudite de l’obsession ineffable du réalisateur pour le cinéma, ultime refuge du faiseur de rêves, capable de transcender le réel.
(ICI)
***Autour du jeune Gabriel LaBelle, Paul Dano et Michelle Williams livrent une partition subtile dans un film qui laisse toute sa place à l’imaginaire de l’enfance et aux pouvoirs mystérieux des images.
La Croix (ICI)
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